Mon enfance, je l'ai vécu particulièrement dans la joie, le bonheur et la tranquillité, nous étions nombreux dans notre famille, être la première, l'aînée, cela n'a jamais été facile. Mes deux sœurs étaient plus jeunes que moi, nous avions beau vivre dans la royauté, vivre dans un beau château, mon père était ce que l'on appelait un homme de la terre, pendant longtemps, il a rendu bon nombre de ses services pour des constructions de forteresse, il faisait aussi de la vente de bétails pour d'autre village. Seulement, je ne vous ai pas dit où je suis née... C'était pas un froid d'automne, dans le nord de la Slovaquie, ma mère eue une grossesse et un accouchement difficile, si bien que le docteur lui disait qu'elle ne pourrait probablement plus avoir jamais d'enfanté Pour mes parents, c'était un coup dur, mais la misère dans notre temps fut extrêmement difficile.

Seulement, lorsqu'on pris résidence en Allemagne, ma mère nous annonça à mon père et à moi qu'elle attendait la venu d'un enfant, C'était comme un miracle qui s'était abattu sur notre famille. Je venais d'atteindre mes 15 ans lorsque les jumelles eurent sept ans, elle étaient les plus belles des fillettes, toujours avec notre mère pour l'aider dans les tâches ménagèrent et les travaux au château. Puis ce fut le début d'une vie difficile, des étrangers firent leurs apparitions dans notre village, en bon souverain, mon père les accueillit à bras ouvert, moi j'étais un peu dans une phase où je me remettais en question, où je changeais physiquement et mon caractère devient plus dur, plus indépendant de la fille à son père que j'étais. Puis, j'eus 23 ans, les années avaient passé, cet étranger était quelque peu étrange, ils nous arrivaient de nous croisions lorsque nos deux familles se rencontraient pour de grands repas. Lorsque j'ai appris par mon père que j'étais destinée à l'épouser, lui, cet homme dont je n'étais en aucunement amoureuse, il me paraissait étrange, mais il faisait toujours en sorte de redoubler ses avances, plus oser les uns que les autres, j'étais mal à l'aise face à tout ça.

Cet étranger, il eu ce qu'il voulait, me faisant chanté en menaçant ma famille si je n’acceptait pas ce mariage, j'avais vraiment peur de cet homme, il me paraissait trop étrange et sur réaliste pour exister et surtout pour qu'il aille une quelconque fascination pour ma personne, cette femme qui n'avait pas grand chose dans sa vie. Peu à peu, des phénomène étrange se produisis autour de moi, des choses dont je ne pouvait expliquer, tous ses mort et puis, les agissement étrange des villageoient, je n'ai jamais eu l'impression d'appartenir à ce monde, l'impression que j'étais destiné à une autre vie. L'apparition de mes don se manifesta deux ans après mon mariage, les gens agissait étrangement, comme s'il faisait une chose, mais que ce n'était jamais la même routine, comme si le temps se déstabilisait à mon contact, phénomène étrange que je pris suite au mariage et le fait que j'allais pas vraiment bien.

Les morts et phénomènes étrange diminuait lentement, j'étais dans une période où j'allais mal, lorsqu'on m'a appris que ma famille furent tous massacré, j'en était bouleversé, si bien que je noyais ma peine dans les bras de mon mari, je commençais à ressentir certaines choses, certaines envies à son égard. À mes trente ans, ont m'a annonça que j'étais enceinte, mais que cette grossesse était fatale pour mon corps, je ne comprenais pas comment un petit être pouvait grandir aussi rapidement. Peu à peu, je perdais du poids, n'arrivant à rien avalé, lorsque mon mari me révéla enfin sa condition, qu'il était un vampire et que j'étais à lui, car il m'avait séduite, mon monde s'écroulait, il ne m'aimait pas, il voulait seulement mon corps pour pouvoir me mettre enceinte et s'enfuir avec l'enfant qui me brisait les os à chaque jours. Je crois bien avoir sombré dans l'inconscience et le néant lorsque je perdis mon dernier souffle, seulement au lieu de mourir, je me réveillais quelques jours plus tard, 3 pour être précise, nue et abandonnée dans une chambre dont j'ignorais tous de l'endroit, des vêtements parfaitement plier, mais une chose m'intriguait. Ma force sur-humaine, mes sens ultra-développer me fit comprendre qu'il m'avait pris mon humanité et mon humanité, il avait aussi pris la fuite avec ma fille, que je n'aurais jamais la chance de connaître et soudain, une vengeance immense me poussa à partir à sa recherche.

Traversant l'Europe tous entier, mon pouvoir se manifesta alors que je me trouvais dans le sud de l'Italie, c'était la nuit noire lorsque j'étais en plein combat avec ce qu'on appelait les enfants de la lune. J'avais osé tuer leur chef, un des leurs, j'avais osé le mettre à mort et il me le payait. C'est alors que le temps se déroula au ralenti (participe passé) ou ralentit (présent)."ralentit, alors qu'un des Lycans venait pour me sauter dessus, je n'avais eu qu'à poser un seul regard pour qu'il m'apparaisse beaucoup plus lent et je l'ai tué d'autres."plusieurs autres ont tenté de contre-carré mon pouvoir, je pouvais faire en sorte de maintenant la scène sous mes yeux au ralentit, de changer la perception du combat en changeant certaine partie du temps, de mélanger les événements autour de moi pour faire croire qu'une se produisait et que le moment suivant, ce n'était plus la même chose. Ce que j'aimais? Jouer avec le combat, montrer aux autres que je pouvais combattre un clan de lycan tous entier en les tuant puis dans une autre temps montrer des dizaines d'entre eux mort, éventrer et charcuté, étaler au sol.

Cependant, Malgré les nombreux combats, malgré les nombreux voyagent pour rechercher Les fleurs qu'il m'avait données."ma fille, je n'avais plus aucune trace d'elle, si auparavant, je pouvais la sentir à travers ce lien si puissant, si inexplicable, maintenant ce n'était qu'un grand murmure dans mes pensées et dans ma mémoire. Alors que je la voyais disparaître, alors que je la voyais S'éteindre au moment où par pur plaisir, je retrouvai la trace de mon cher mari, un combat puissant s'engageait entre nous. Finalement, j'avais eu le dernier mot, le tuant d'un simple coup, ma satisfaction de le voir mourir, de le voir s'éteindre, mais le fait que ma fille n'était pas avec lui me bouleversa. C'est à ce moment-là que Aro entra en scène, j'étais certes en Italie, mais j'ignorais dans quel partis de l'Europe j'étais, Aro avait regardé toute Les fleurs qu'il m'avait données. la scène, il m'a vu à l'oeuvre avec mon pouvoir. Lorsqu'il me proposa de rejoindre son clan et ses rangs dans la garde, j'étais méfiante, qu'avais-je à perdre alors que j'ai déjà perdu ma fille? Celle que j'espérais tant retrouver venait de me glisser d'entre les mains.Six siècles avant que j'intègre ses rangs, on m'obligea à faire part de mes talents face à tous les Volturi, qu'-ent), par ex.: les gens disent. A vous de vérifier!"ils saches ce que j'étais et combien je savais me défendre, pendant 600 ans, j'étais un bon soldat, je n'ai jamais eu de compagnon après avoir tué mon mari de sang froid. Puis, aux fils des siècles, j'ai fini par arrêter et espérer que ma fille soit encore en vie, déjà, j'avais tué son géniteur, le seul qui aurait pu me faire avouer où il la cachait. Je me demandais encore et toujours si elle avait eu peur, si sa mort avait été paisible, car c'était bien avant queje m'en rend compte qu'en effet, les hybrides pouvaient survivre comme notre race, tout en continuant une alimentation normal et ce jour-là, j'allais en avoir la preuve. Puis, la soudaine fascination d'Aro pour cette humaine, Isabella me refroidit un peu, tout comme tous les autres membres du clan, mais que pouvais-je bien y faire?, lorsqu'on recroise la route des Cullens, c'était à cause d'un sois-disant crime, les de petits problèmes."anciens m'ont longuement expliqué leurs lois, chose que je n'avais jamais obéis, j'avais beau avoir accepté d'intégrer son clan, j'étais la garde rebelle, avec mon titre de guerrière et mercenaire, mais de savoir que ma fille n'était pas la seule Hybride me redonna l'espoir que j'attendais depuis tellement de siècle, peut-être était-elle toujours en vie?

Après cette confrontation, cinq années ce sont écroulé, l'inactivité d'Aro avait provoqué l'émois parmi nos membres, moi personnellement, je comprenais, car j'avais moi-même une enfant hybride que j'aimais plus que tous, mais Aro méprisait tellement les Cullen pour leurs membres avec leurs dons. Aujourd'hui, je commençai une nouvelle quête, celle de retrouver ma fille, ne faisant cela que depuis cinq longues années, à trouver un plan pour quitter provisoirement Volterra à sa rechercher et je la retrouverai pour ne plus jamais la quitté, qu'elle rejoigne nos rangs..