Vasilisa HopeのGood girls do bad things sometimesの
» MESSAGES : 1004 » WHERE ARE YOU ? : Je voyage entre la Roumanie et Forks » RPG AGE : 21 ans » JOB : Serveuse a mis temps, femme de ménage de nuit dans un motel, peintre. » WHO ? : SelenaHOTGomez » MULTI COMPTES : Yes, la cannibale Willow, le gentil Kyle, la reine Viktoria
Ϟ INSIDE OUT & UPSIDE DOWN Ϟ “RACE: ― Quileute “NOTEBOOK: “RELATIONSHIPS: | Sujet: ABANDONNE MF Juste un pull (PV Rosalie) Lun 9 Sep - 20:00 | |
|
Juste un pull ― Women and shopping! All a story! ― Le grand magasin de vêtements débordait de monde aujourd’hui. En fait, la pluie tombait en masse, comme trois cents jours par ans à Forks, et personne ne tenait particulièrement à se balader dans la rue sous la charmante pluie à laquelle se mêlait de petits grêlons. Le temps était étonnamment froid c’est derniers temps et le morale des habitants était en berne. La ville était déserte, et tout particulièrement les rues. Seules quelques boutiques étaient plaines de monde à la recherche du bon plan. Et dans ce fouillis que représentais la boutique tenue par deux jeunes filles toujours habillées parfaitement en vous tendant des bons de réductions, Vasilisa tentait de trouver un bon pull. Du fait de sa condition de modificatrice elle n’avait jamais froid, mais se balader en ville habillée en petite jupe n’était pas le meilleur moyen de sa fondre dans la masse. Cependant tous les pulls étaient pris et les cabines débordaient. Alors faire le tour plusieurs fois fut la seule solution possible. Elle était ici car sa discussion de la veille avec le nouvel arrivé dans la meute : Nashoba, l’avait mis à cran. Elle ne parlait jamais de son passé. Elle n’avait d’ailleurs habituellement rien à en dire, elle avait été trop bavarde, malheur à elle. Comme toujours elle avait préféré déballer sa vie que de se contenir, mais rien ne semblait pouvoir empirer. Elle avait oublié son pull. Quand tout un coup, elle aperçut un pull. Blanc et posé sur une petite étagère, une étiquette ,avec un prix exagérément fort sans doute, s’en détachait, elle ne se précipita pas pour éviter les bousculades et s’avança peu à peu du pull tant désiré. Mais quand elle avança sa main une autre vint se poser dessus. Pale. Blanche. Glacée . Un seul mot vint à l’esprit de la jeune femme. Vampire. Elle retira rapidement sa main avant de vouloir rebrousser chemin, mais leva finalement ses yeux sur le vampire en question. Alors elle émit un sourire. Rosalie Cullen. Son chef de meute était le petit ami de la femme du frère de Rosalie. Un lien très faible je vous l’accorde, mais un lien tout de même. En fait, elle connaissait les Cullen. Non pas intimement, mais ils venait souvent au café qu’elle tenait. Le plus souvent s’était Carliste qui venait s’asseoir à sa pause, il ne mangeait jamais pur des raisons évidentes mais il y buvait quand même quelque chose. Et il lui avait souvent parlée. Pas de grandes discussions, mais il lui parlait de sa famille, de son travail… de Rosalie. Elle avait compris que Rosalie était une femme distante mais très agréable quand on la connaissait bien. Autant vous dire que Vasilisa ne l’avait jamais eu de discussions auparavant avec elle. La première chose qui frappa Vasilisa fut sa beauté. Elle était grande et mince et ses cheveux longs blonds lui retombaient gracieusement sur les épaules. Ses grands yeux était froids et aucun sourire n’était pour l’instant apparut sur son visage. Pourtant Vasilisa n’hésita pas une seconde avant de lui parler, après tout elle l’avait déjà vu de loin… « Oh Rosalie Cullen, je ne savais pas que tu était revenu. Votre camping s’est bien passé j’espère »Voilà l’excuse que donnait les Cullen quand il faisait beau, comme hier, c’est vrai, il n’allait pas dire qu’ils étaient trop brillants au soleil. Même si Vasilisa n’avait vu de vampire au soleil depuis longtemps, elle se rappelait parfaitement à quel point ils brillaient. Après la réponse de la blonde elle continua la conversation. « Tu devrait garder le pull, il t’iras mieux à toi. »Elle se tourna vers elle et lui fit un grand sourire. Elle était éblouie par le fait que son interlocutrice semblait parfaite, et un peu intimidée, elle devait l’avouer, ce n’était pas tous les jours que l’on voyait Rosalie Cullen se promenée calmement en ville .
|
|