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 « How could I trust you ? » ♣ Aisling

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Sulpicia Volturi
QUEEN OF THEM ALL
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Sulpicia Volturi
» MESSAGES : 351
» WHERE ARE YOU ? : you really want to know?
» POWER : feelings control.
» RPG AGE : 1583 years old & 20 of appearance;
» JOB : does worldwide queen can be considered?
» WHO ? : Evan Rachel Wood
» MULTI COMPTES : Helga Sharp (romanian);
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Ϟ INSIDE OUT & UPSIDE DOWN Ϟ
“RACE: ― Vampire
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MessageSujet: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyMer 13 Mar - 21:09

Sulpicia ♣ Aisling

Those words came from your mouth and just coughed me inside,
I wouldn’t believe it, couldn’t believe it.
You came like a ghost into my deepest thoughts,
what that is supposed to mean ?

I am desperately trying to reach my last breath and my knees are getting weak ; summoning me to claim you as my own.





Une voix d’une infinie froideur vint délicatement sortir Sulpicia de ses pensées, elle qui était encore installée face à sa luxueuse coiffeuse d’époque en bois vernis recouverte de dorures et de gravures recherchées. Elle huma l’air discrètement, s’imprégnant de ce goût glacé et morbide on ne peut plus familier. La Reine des Vampires sentit le coin de ses lèvres se courber en un rictus amusé en reconnaissant la personne qui se trouvait dans son dos, plantée sur le seuil de la grande porte de sa chambre. Jane.

JANE ◊ « Maîtresse Sulpicia, » souffla Jane avec respect, « Votre mari vous attend en bas. »

Elle ne lui répondit pas immédiatement, et préféra s’emparer de sa brosse travaillée à l’or fin afin de peigner sa longue chevelure blonde comme les blés. Avec lenteur, Sulpicia veilla à n’épargner aucune mèche ondulée, de façon à faire ressortir sa beauté. Aro aimait les cheveux longs, soyeux, et surtout très blonds. Ainsi, pour lui plaire continuellement, la vampire s’affairait à brosser ce qu’il aimait le plus chez une femme en espérant secrètement pouvoir sentir ses mains dans sa coiffure compliquée. Selon ses humeurs et certains jours, elle les colorait de différentes nuances de blond ; très clair, foncé, caramel ou vénitien. Aujourd’hui, Sulpicia arborait une couleur de cheveux blond vénitien tirant sur le roux très clair. Lorsque la Reine fut fière de ce que reflétait le miroir incrusté de pierres précieuses devant elle, elle se leva avec élégance, laissant retomber les légers pans de sa longue robe beige sur la moquette bordeaux.

Sulpicia fixa aussitôt la petite blonde au teint très pâle, comparable à du marbre blanc et dur. Elle portait son habituelle petite robe noirâtre, et était affublée de collants en laine blancs. La femme d’Aro réprima un ricanement devant ce côté précieuse, très petite fille, qu’avait Jane. Non, définitivement pas le type d’Aro… Même si elle était considérée comme sa favorite dans toute la garde des Volturi. Sulpicia ne se sentait nullement menacée par une jeune adolescente d’à peine treize ans d’âge physique, malgré le fait que ce côté mielleux qu’elle avait en la présence du premier des trois frères l’exaspérait quelques fois.

JANE ◊ « Heidi à apporté les humains. »

Elle l’entendit renchérir une nouvelle phrase afin de la faire réagir. Sulpicia émit un soupir résigné et traversa avec une vitesse presque surhumaine la large pièce jusqu’à venir se poster face à Jane, sans cesser de sourire niaisement.

REINE SULPICIA ◊ « Je m’en étais doutée, très chère Jane… » répliqua Sulpicia d’un ton hautain, le menton relevé afin de lui prouver sa suprématie. « J’ose espérer qu’ils sont exquis. Le dernier dîner choisi par Heidi m’est resté en travers de la gorge. »

Sur ces quelques paroles, Sulpicia dévisagea une dernière fois l’enfant prodigue de la famille, et jeta sur elle un regard perçant ; usant aveuglément de son don pour s’assurer son appréciation ainsi que ses plus sincères sentiments amicaux à son égard. Le visage de Jane sembla s’illuminer instinctivement, et elle lui parut soudainement plus ravie de se trouver là, à ses côtés. Ce que Sulpicia adorait son don. Le fait de pouvoir jouer avec les sentiments d’autrui, de provoquer la haine, l’amour, l’amitié, ou la peur l’excitait véritablement. Qui plus est, ce dernier était si puissant qu’il, à l’image de celui de Chelsa ou de Corin, perdurait même lorsqu’elle ne se trouvait pas à quelques mètres de sa cible. Il lui suffisait juste de rester dans les parages, et d’intoxiquer indéfiniment la personne par sa présence de temps en temps lorsque l’effet du don commençait à faiblir, de manière à vivement le relancer.

REINE SULPICIA ◊ « Tu préviendras Aro que j’arriverai dans quelques minutes, je dois terminer de poudrer mon visage. »

Joyeusement, la Reine des Vampires fit volte-face et retourna près de sa coiffeuse, un rouge à lèvres et un bocal de poudre dans les mains.

JANE ◊ « Bien, ma Reine. »

Sulpicia entendit Jane quitter la pièce avec un faible sourire. Elle se regarda une dernière fois dans le miroir, puis rajusta son maquillage, avant de s’en aller à son tour ; faisant traîner sa robe le long des couloirs du château jusqu’à parvenir au détour de l’aile sud. Cet endroit était déserté par les membres de la famille depuis déjà quelques heures, tous étant déjà dans les cachots afin de s’abreuver de sang humain. Un calme olympien régnait dans l’entièreté du lieu ; la soulageant véritablement. Sulpicia aimait ces moments de silence, où elle seule parvenait à saisir l’ampleur de sa condition, de sa solitude. Devant les autres, elle n’avouerait jamais éprouver une once de souffrance à l’idée de ne pouvoir agir comme autrefois, sortir comme bon lui semblait, et vivre, comme les humaines vivaient.

Ses yeux rouges sang scrutèrent attentivement le bout du couloir, tandis qu’elle essayait de penser à autre chose. Renata n’était pas là pour écouter ses états d’âme ; elle ne pouvait ainsi se laisser aller. Pas maintenant. Alors qu’elle était à deux doigts de retrouver son impitoyable époux. Soudain, quelque chose d’intriguant capta son attention, lui faisant perdre pied. Une odeur se diffusait progressivement dans l’air ambiant. Une odeur d’humaine. Mais pas n’importe laquelle…Quelque chose de familier s’en dégageait.

Ses sens désormais en alerte, Sulpicia fut forcée de contenir cette violente pulsion qui trahissait le fait qu’elle était affamée. Elle ferma les yeux afin de se reprendre. Ce n’était pas normal, tous les humains étaient censés se trouver en bas…Quelqu’un se serait-il échappé ?

La Reine des Vampires devait en avoir le cœur net. Elle s’élança à la poursuite de l’humaine en question, suivant son odeur le long des couloirs de la forteresse italienne, jusqu’à ce qu’elle la retrouve, à quelques mètres.

Une jeune adolescente se trouvait devant elle. Elle avait la silhouette fine, les cheveux blonds foncés tirant sur le châtain, de grands yeux azurés et à la peau légèrement bronzée par le soleil.

REINE SULPICIA ◊ « Didyme ? » susurra Sulpicia, les lèvres tremblantes, le visage pétrifié sous le choc. Non…C’était impossible ! Didyme était morte. Sa Didyme…Son adorable belle-sœur avait été tuée, et son meurtrier n’avait d’ailleurs jamais été retrouvé…

Si elle avait eut un cœur palpitant dans sa poitrine, il se serait certainement bloqué, se serait subitement arrêté. Ce ne pouvait être vrai…Sulpicia déglutit, la gorge sèche, l’estomac noué, sur le point de s’effondrer. Ce n’était pas Didyme…Mais elle lui ressemblait tant. Elle était humaine. Qu’est ce que Marcus dirait en la voyant ? Sulpicia osa se le demander. Cela ne ferait que ressasser d’odieux et pénibles souvenirs, le ferait intensément souffrir, tout comme elle-même, à cet instant précis. La Reine des Vampires revoyait dans son esprit divers flashsbacks, retraçait le jour de sa rencontre avec ce pétillant ange jusqu’à sa disparition. Cette humaine…la mettait dans un état qu’elle ne pouvait contrôler.






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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyMer 13 Mar - 23:14

How could I trust You ?
Sulpicia Volturi & Aisling V. Cahan

Autre chose à dire ?



Un rayon de soleil réussit à passer à travers mes lourds rideaux. Il atterrit sur mon visage, je fronce les sourcils et j'ouvre les yeux en poussant un grognement. Je me lève avec difficulté, j'ai encore envie de dormir, satané soleil à la noix. Je soupire et reste assise sur mon lit cinq bonnes minutes avant de me décider à descendre pour aller prendre mon petit déjeuner. Une fois en bas je me fais un chocolat et je prends avec des donuts, puis je m'installe devant la télé tranquillement. C'est là que je remarque un mot des Salvatore posé sur la table basse, je l'attrape et le lis.
« Coucou Aisling on est partis visité un village pas très loin donc ne t'en fais pas pour nous. Et nous tenons à te préciser que cet après-midi il y a une visite prévue dans ce château que tu veux tant voir. Bisous à ce soir. »
Je ne peux retenir un cri de joie, qui a coup sûr réveillé tout le voisinage. Mais bon voilà je suis contente, ça fait un mois que je cherche un moyen d'entrer dans ce château et je vais enfin pouvoir réaliser ce voeu. Pourquoi je veux y entrer ? Tout simplement parce que je suis persuadée qu'il a un lien avec mon pendentif et donc avec ma famille. Et ce qui me pousse à penser ça c'est que ce château est gravé sur la couverture du journal que j'ai trouvé il y a de cela deux mois. Donc aujourd'hui je vais pouvoir vérifier si ma thèse est bonne. Mais bon j'ai largement le temps de m'y préparer, il n'est que dix heures du matin. Je crois que je vais faire des recherches sur mon ordinateur portable en attendant, je cours le chercher et redescends vite fait devant mon petit déjeuner. Je l'allume, puis je commence à voir si quelqu'un a posté sur mon blog au sujet du pendentif, mais il n'y a rien de nouveau. Donc je me mets à chercher des légendes dessus comme d'habitude, mais rien n'ont plus. Je m'énerve, j'ai pas de chance aujourd'hui. Je croise les bras et réfléchit un instant, avant que mon regarde se pose sur le mystérieux journal. Un éclair de génie me vint soudain et je cherche sur mon navigateur des légendes parlant d'un journal qu'il est impossible d'ouvrir. Je trouve alors plein d'article, beaucoup sans intérêts, mais ce n'est pas grave. Au moins certain sont utiles, heureusement. Je m'amuse à lire chaque articles un par un, ne voyant pas passer l'heure et vite treize heures sonne. Je sursaute d'un coup, faisant tomber mon ordinateur et mon bol. Je ne comprends pas pourquoi les Salvatore font sonner leur horloge à treize, franchement. Mais bon là n'est pas le problème, maintenant je suis en retard. Je me presse d'aller prendre une douche, puis de m'habiller. Avant de courir devant le château, par chance la visite vient à peine de débuter. Je sautille de joie et une dame me regarde de travers, alors je lui offre un grand sourire radieux. Tout d'un coup je la fois se renfrogner et s'éloigner de moi. Je ris doucement, puis suit le groupe toute contente. J'attends ce jour depuis tellement de temps. Je regarde autour de moi, émerveillé par tout ce que je vois. Ce château est vraiment magnifique et les tableaux qui s'y trouvent sont fantastiques. Ceux à qui appartient ce batîment doivent être vraiment riche. Soudain au détour d'un couloir mon regard se pose sur un tableau qui se trouve dans un autre couloir, je m'arrête un instant hésitante. Puis je décide de m'approcher de l'oeuvre d'art, je la contemple puis sort mon pendentif. J'en suis sûre maintenant ce château à un rapport avec ma famille, sinon pourquoi le pendentif de notre famille serait-il sur ce tableau ? Je fais semblant de caresser le pendentif sur la toile, je suis émue. Ai-je donc retrouvée ma famille ? Une larme de joie roule sur ma joue et je souris tendrement. Tout d'un coup un faible bruit résonne derrière moi, je me tourne alors et je découvre une magnifique femme blonde. Je reste bouche-bée devant sa beauté, tellement que je ne me rends pas compte tout de suite que j'ai perdu mon groupe de visite. Bon en même temps on n'a pas tous les jours l'occasion de rencontrer quelqu'un d'une telle beauté, avec sa peau blanche si parfaite, sa posture si élégante et ses yeux rouges. Attend des yeux rouges ? J'aimerais bien savoir où elle a trouvé ses lentilles de contacts, car on dirait vraiment que c'est sa véritable couleurs d'yeux. Je lui souris, oui je sais que je souris beaucoup trop, mais c'est dans ma nature je ne peux m'en empêcher. Je n'arrive pas à détacher mon regard d'elle, c'est ainsi que je remarque que quelque chose semble la perturber. Je regarde donc autour de nous cherchant ce qui la gêne, avant de comprendre que c'est moi qui la perturbe. Mais je ne vois pas pourquoi, je ne la connais pas moi cette femme. Pourtant, on dirait qu'elle elle me connait, étrange. Je me sens bizarre d'un coup, comme si je ne suis pas à ma place. Ce qui n'est pas faux puisque je devrais être avec le reste du groupe. Je devrai peut-être les rejoindre plutôt que de rester là non ? Non j'ai trop envie de comprendre ce qui ne va pas chez cette charmante dame.
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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyJeu 14 Mar - 21:45

Sulpicia ♣ Aisling

Those words came from your mouth and just coughed me inside,
I wouldn’t believe it, couldn’t believe it.
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Qu’il s’agisse de sa couleur de cheveux, de ses yeux en amande, de ses traits faciaux si élégants et délicats, ou encore de sa carrure ; tout lui rappelait sa chère Didyme. La ressemblance était parfaite, et définitivement troublante. Sulpicia n’y avait pas cru, elle ne le souhaitait pas, ne le pouvait pas. Elle ne parvenait pas à accepter cette triste réalité : qu’une jeune femme ressemblant à sa belle-sœur puisse exister, et se trouver là, juste sous ses yeux. La Reine des Vampires ne comprenait pas comment une simple humaine, qui était en général si banale, pouvait dégager une pareille aura. Celle de Didyme…Elle avait son odeur imprégnée sur son corps.

Comment étais-ce possible ?

Sulpicia resta bouche bée face à cette jeune humaine, dont l’odeur qui lui semblait au début si appétissante, était presque devenue écœurante. Boire son sang, aussi délicieux puisse-t-il être, serait comme boire celui de sa chère Didyme, et cela, Sulpicia ne se le permettrait pas. Le fait que l’humaine puisse être reliée à sa belle-sœur, du moins physiquement, la protégeait en un certain sens. Puisque Sulpicia ne daignerait pas lui faire du mal, malgré tous ses efforts – même si la tentation devenait trop forte. Quelque chose bloquait ses moindres mouvements, l’empêchait de se ruer sur ce corps mortel. Elle se sentait comme paralysée.

REINE SULPICIA – « Didyme… » susurra la vampire d’une voix forte, décelant cependant une once d’hésitation. « Non…Ce ne peut être toi. » se rattrapa-t-elle très rapidement, semblant tomber de haut. Elle l’avait espéré du fond du cœur. Vraiment. Sulpicia aurait tant voulu qu’il s’agisse bel et bien de sa tendre Didyme, celle qu’un monstre odieux lui avait enlevée. « Ou du moins…Peut-être bien que… »

La Reine des Vampires laissa sa phrase en suspend, songeuse. Elle pensa brièvement à un hypothétique lien familial. Si cette humaine ressemblait trait pour trait à Didyme, avait son odeur et sa candeur c’est qu’elle devait avoir également son sang, et donc être une de ses descendantes. Sulpicia en éprouvait malgré tout certains doutes. Aro n’avait pas eu d’enfant, et Didyme ne semblait pas en avoir eu non plus, sinon elle l’aurait su. Didyme lui en aurait parlé. Elles étaient si proches à l’époque. Ou peut-être bien que non ?

REINE SULPICIA – « Dis-moi, ma petite, » souffla Sulpicia, en reprenant ses esprits et son habituel ton glacé, hautain. « Quel est ton nom ? Et surtout, que fais-tu loin de ton groupe ? Les touristes n’ont pas le droit de s’aventurer dans cette partie du château. »

Sulpicia éprouvait l’irrésistible besoin d’en apprendre plus sur son compte, afin de comprendre d’où cette ressemblance pouvait bien venir, et surtout, de qui. Elle dévia son regard vers l’imposant tableau peint à l’huile que la jeune touriste semblait fixer désespérément avant d’être interrompue dans sa contemplation. Ses yeux rouges scrutèrent méthodiquement chaque détail de la peinture, dardant sur ces épaisses couches et superpositions de couleur une attention toute particulière. Sulpicia remarqua en humant l’air une odeur salée, familière. Elle vit aussitôt une certaine humidité sous les yeux de la jeune humaine. Elle avait pleuré. Cela attisa la curiosité de Sulpicia, intriguée par tant d’émotions.

REINE SULPICIA – « Est-elle émouvante à ce point, ma chère ?» dit-elle en désignant la large œuvre d'art encastrée au mur.

Sulpicia s'approcha au fur et à mesure afin d’observer de plus près cette jolie humaine, de plus en plus intoxiquée par sa présence.









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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyJeu 14 Mar - 22:53

How could I trust You ?
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Autre chose à dire ?



Je vois son sourire s'agrandir et cela me fait plaisir, j'aime bien voir les gens sourire. Son comportement m'indique qu'elle ne semble pas me prendre pour une folle je souris encore plus, c'est bien la première et ça me rend vraiment heureuse. Je jette un rapide coup d'oeil au tableau comme pour m'assurer que je n'ai pas rêvé. Et j'écoute ce que dit cette étrange femme avec ce ton ironique, mais je ne relève pas et je continue de l'écouter. Mon regard ne se défaisant plus du tableau, je viens de me rendre compte la femme sur le tableau me ressemble beaucoup. Je suis sous le choc, c'est comme si on m'avait peinte, mais à une autre époque. En effet tout ce qui se trouve dans le tableau sont des objets qu'on ne trouve que dans des époques très reculés, tel que l'antiquité ou le moyen âge. Je sais que maintenant on ne peut plus trouver ses objets à part dans les livres d'histoire. Je suis vraiment surprise, comment cela se fait qu'un tableau sûrement vieux de plusieurs siècles puissent me représenter. Là je dois avouer que je n'écoute plus du tout l'autre femme, je cherche seulement à comprendre ce mystère. Car oui c'est un grand mystère, je me rends compte que je me suis sûrement trompée d'époque et que je n'ai peut-être pas suivi les traces d'une grand-mère, mais plutôt celle d'une ancêtre bien plus vieille. Cette révélation sonne comme un claque en pleine figure pour ma petite personne.
Je suis tellement dans mes pensées, que je ne la vois pas arriver vers moi et me prendre mon pendentif. Je sursaute et la regarde. Elle est d'un coup devenue si menaçante, inquiétante. Même sa voix a changé, pour devenir plus froide et tranchante que les glacier du pôle noir. Ses yeux quant à eux sont d'un rouge presque noir et débordent de colère. Déjà que leur couleur n'est pas normal, là ils sont plus qu'effrayant. Je sursaute et tremble légèrement, mon coeur bat la chamade. La terreur m'envahit et les mots refusent de sortir, je suis totalement pétrifiée et pour la première je perds mon sourire. Je la regarde, si seulement je pouvais me transformer en souris pour aller me réfugier dans un petit coin. Dans quel pétrin je me suis encore fourrée moi, pourquoi j'ai ce don de me mettre dans des situations pas possible. J'aurai du pas bouger de chez moi ce matin. Bon maintenant je dois lui répondre sinon elle va tuer, comme sa menace me l'indique. Le problème c'est qu'elle attend la vérité, le truc c'est que je lui ai dit la vérité. Du moins celle que je connais, car je n'ai jamais pu vérifier auprès de mes parents étant donné qu'ils sont mort. Cette pensée m'emplit de tristesse et une larme vient rouler sur ma joue. Puis ma voix tremblante s'élève faiblement dans cette immense couloir, mais je sais qu'elle m'entend très bien.


-Je n'ai dit que la vérité... Pourquoi je vous aurez menti ? Je ... Moi je veux juste retrouver ma famille... Je ne voulais pas vous mettre en colère ... Excusez-moi...


Je recule doucement contre le mur, absolument pas rassurée. J'ai envie de lui reprendre des mains mon pendentif, mais j'ai trop peur d'elle pour ça. Les larmes montent à mes yeux, je ne fuirai pas pour autant, jamais je ne laisserai derrière moi mon unique trésor.


-S'il vous plait rendez-moi mon pendentif...ce... c'est la seule qu'il me reste de ma famille...de mes parents...j'y tiens beaucoup...


Et à ces paroles, sans le vouloir, je laisse s'échapper l'eau salé de mes yeux. Mais ses pleurs restent silencieux. Heureusement qu'aucune personne qui me connait et qui tient à moi n'est présentes, car je pleure tellement rarement qu'il m'aurait sûrement emmené voir un psychologue. Et tandis que je me laisse ainsi devant une parfaite inconnue, j'attends sa réponse, toujours droite mon regard fixé sur elle. J'espère qu'elle va me laisser partir, que ma réponse lui à suffit. J'espère ne pas l'avoir mit encore plus en colère, car elle est déjà bien effrayante comme ça. Malgré ça je sens qu'elle n'en a pas fini avec moi, mais je ne sais pas pourquoi. Je joue avec mes pieds nerveuse.
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Dernière édition par Aisling V. Cahan le Sam 16 Mar - 12:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptySam 16 Mar - 2:02

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Those words came from your mouth and just coughed me inside,
I wouldn’t believe it, couldn’t believe it.
You came like a ghost into my deepest thoughts,
what that is supposed to mean ?

I am desperately trying to reach my last breath and my knees are getting weak ; summoning me to claim you as my own.






Sulpicia guettait les hypothétiques réponses de la jeune humaine avec impatience. Son sourire s’agrandit face aux paroles de cette dénommée Aisling. Quel joli prénom, soi-dit en passant. Aisling… Ce mot résonnait tel un doux tintement mélodieux entre ses lèvres humides et gorgées de sang. De sang frais. Sulpicia regrettait cette chose précise dans le fait de ne plus être une mortelle. Elle éprouvait constamment une certaine nostalgie vis-à-vis du sang qui avait autrefois coulé dans ses veines, la qualifiant de ce fait d’humaine. A l’époque, elle rougissait, le sang affluait à ses joues de manière à les faire rosir instantanément, elle saignait lorsqu’elle se blessait…Elle vivait.

AISLING – « En fait c'est juste que je suis sûre que ce tableau à un rapport avec ma famille que je recherche depuis plus d'un an Madame. »
REINE SULPICIA – « Ta famille ma douce ? » répondit Sulpicia avec suspicion, ainsi qu’un brin d’ironie, ne la croyant pas sérieuse.

La Reine des Vampires haussa un sourcil, intriguée par l’aura de la jeune humaine. Sulpicia ne pensait pas qu’elle était folle, non, bien au contraire. Peut-être assez extravertie, sans doute, et respirant la joie de vivre…Comme l’était Didyme. Certainement pas folle, non. Sulpicia pensait autre chose à son sujet…Comme…Comment une banale humaine pouvait savoir pour le tableau ? Il était précieux. Une femme y était peinte, Didyme. Autour de son cou, se trouvait le pendentif qu’elle vénérait tant. A ce sujet, Sulpicia se plongea un bref instant dans ses souvenirs, et remarqua avoir aperçut Didyme le porter qu’une seule fois. L’objet, aussi raffiné puisse-t-il être, avait mystérieusement disparut après. A l’époque, Sulpicia n’y avait guère fait allusion, peu préoccupée par le sort d’un pendentif en or fin. Elle avait pensé que Didyme avait certainement du le changer, ou s’en être débarrasser, ou bien encore l’avoir perdu ; car après tout, Aro lui offrait tout ce dont elle rêvait. Marcus ne cessait de la combler de somptueux cadeaux quotidiennement, et elle-même, se plaisait à la combler de ses ravissantes peintures.

Sulpicia leva les yeux vers l’œuvre d’art, et réprima un sourire triste ; tandis qu’une bouffée de nostalgie s’insuffla en elle, réveillant de douloureux souvenirs...Elle avait peint le portrait présent dans le couloir. Ce portrait. Didyme avait posé pour lui faire plaisir, alors que Sulpicia cherchait encore son empreinte d’artiste…Ce qu’elles avaient ris, ce jour-là. Didyme n’avait cessé de sourire, inspirant la gaieté et la joie ; l’innocence même. Chose plutôt ironique, vu que son âme était damnée.

AISLING – « Regardez il y a le même pendentif sur le tableau... et comme ce pendentif n'a été que dans ma famille...»

Soudain, la Reine des Vampires sembla s’être littéralement pétrifiée sur place. Elle ne bougeait plus, ne clignait plus des yeux, demeurait stoïque, comme une magnifique statue de glace. Sulpicia n’en croyait pas ses oreilles. Elle tenta de se dégager de cet état de choc qui paralysait tous ses membres en bondissant sur le pendentif, désormais à quelques millimètres de l’humaine qui prétendait avoir un lien avec sa Didyme. Sulpicia lui avait arraché des mains l’objet, en une fraction de seconde, et ne cessait de le fixer désespérément. Ce médaillon était bien celui de Didyme…Son prénom y était gravé. D’après ses souvenirs, Aro avait offert ce bijou à Didyme peu de temps avant de l’avoir transformée…C’est ce que sa belle-sœur lui avait raconté en tout cas.

Sulpicia ne parvenait pas à croire que cet objet vieux de plus de mille ans puisse se retrouver entre les mains d’une jeune humaine, touriste, qui plus est.

REINE SULPICIA – « C’est impossible. » siffla-t-elle d’une voix sèche, en observant le tableau puis le médaillon, incrédule. Sulpicia refusait d’y croire. D’envisager l’hypothèse que cette humaine descende de sa tendre belle-sœur…Impossible. Son esprit se butait à refuser cela. Pourtant…Tout concordait, tout expliquait la ressemblance physique, la malice dans le fond de ses yeux…Une bouffée de colère jaillit en elle, puis de l’incompréhension, pour finir par se transformer en profonde tristesse. « Où as-tu trouvé cet objet, dis-moi ? Je ne peux pas croire qu’il soit dans ta famille…La personne qui possédait ce médaillon n’avait pas de famille. »

Tranchante, Sulpicia darda sur l’humaine un regard colérique. Elle mentait, c’était forcé. Didyme n’avait pas eut d’enfant, comment aurait-elle pu avoir une descendance et de ce fait, une famille ? Ou bien…

REINE SULPICIA – « Dis-moi la vérité à présent, si tu ne tiens pas à ce que ce tableau soit la dernière chose que tu aies vue de Volterra… » menaça Sulpicia, sans rompre le contact visuel un seul instant.








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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptySam 16 Mar - 13:07

How could I trust You ?
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Autre chose à dire ?



Je vois son sourire s'agrandir et cela me fait plaisir, j'aime bien voir les gens sourire. Son comportement m'indique qu'elle ne semble pas me prendre pour une folle je souris encore plus, c'est bien la première et ça me rend vraiment heureuse. Je jette un rapide coup d'oeil au tableau comme pour m'assurer que je n'ai pas rêvé. Et j'écoute ce que dit cette étrange femme avec ce ton ironique, mais je ne relève pas et je continue de l'écouter. Mon regard ne se défaisant plus du tableau, je viens de me rendre compte la femme sur le tableau me ressemble beaucoup. Je suis sous le choc, c'est comme si on m'avait peinte, mais à une autre époque. En effet tout ce qui se trouve dans le tableau sont des objets qu'on ne trouve que dans des époques très reculés, tel que l'antiquité ou le moyen âge. Je sais que maintenant on ne peut plus trouver ses objets à part dans les livres d'histoire. Je suis vraiment surprise, comment cela se fait qu'un tableau sûrement vieux de plusieurs siècles puissent me représenter. Là je dois avouer que je n'écoute plus du tout l'autre femme, je cherche seulement à comprendre ce mystère. Car oui c'est un grand mystère, je me rends compte que je me suis sûrement trompée d'époque et que je n'ai peut-être pas suivi les traces d'une grand-mère, mais plutôt celle d'une ancêtre bien plus vieille. Cette révélation sonne comme un claque en pleine figure pour ma petite personne.
Je suis tellement dans mes pensées, que je ne la vois pas arriver vers moi et me prendre mon pendentif. Je sursaute et la regarde. Elle est d'un coup devenue si menaçante, inquiétante. Même sa voix a changé, pour devenir plus froide et tranchante que les glacier du pôle noir. Ses yeux quant à eux sont d'un rouge presque noir et débordent de colère. Déjà que leur couleur n'est pas normal, là ils sont plus qu'effrayant. Je sursaute et tremble légèrement, mon coeur bat la chamade. La terreur m'envahit et les mots refusent de sortir, je suis totalement pétrifiée et pour la première je perds mon sourire. Je la regarde, si seulement je pouvais me transformer en souris pour aller me réfugier dans un petit coin. Dans quel pétrin je me suis encore fourrée moi, pourquoi j'ai ce don de me mettre dans des situations pas possible. J'aurai du pas bouger de chez moi ce matin. Bon maintenant je dois lui répondre sinon elle va tuer, comme sa menace me l'indique. Le problème c'est qu'elle attend la vérité, le truc c'est que je lui ai dit la vérité. Du moins celle que je connais, car je n'ai jamais pu vérifier auprès de mes parents étant donné qu'ils sont mort. Cette pensée m'emplit de tristesse et une larme vient rouler sur ma joue. Puis ma voix tremblante s'élève faiblement dans cette immense couloir, mais je sais qu'elle m'entend très bien.


-Je n'ai dit que la vérité... Pourquoi je vous aurez menti ? Je ... Moi je veux juste retrouver ma famille... Je ne voulais pas vous mettre en colère ... Excusez-moi...


Je recule doucement contre le mur, absolument pas rassurée. J'ai envie de lui reprendre des mains mon pendentif, mais j'ai trop peur d'elle pour ça. Les larmes montent à mes yeux, je ne fuirai pas pour autant, jamais je ne laisserai derrière moi mon unique trésor.


-S'il vous plait rendez-moi mon pendentif...ce... c'est la seule qu'il me reste de ma famille...de mes parents...j'y tiens beaucoup...


Et à ces paroles, sans le vouloir, je laisse s'échapper l'eau salé de mes yeux. Mais ses pleurs restent silencieux. Heureusement qu'aucune personne qui me connait et qui tient à moi n'est présentes, car je pleure tellement rarement qu'il m'aurait sûrement emmené voir un psychologue. Et tandis que je me laisse ainsi devant une parfaite inconnue, j'attends sa réponse, toujours droite mon regard fixé sur elle. J'espère qu'elle va me laisser partir, que ma réponse lui à suffit. J'espère ne pas l'avoir mit encore plus en colère, car elle est déjà bien effrayante comme ça. Malgré ça je sens qu'elle n'en a pas fini avec moi, mais je ne sais pas pourquoi. Je joue avec mes pieds nerveuse.
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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyMar 19 Mar - 21:21

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Sulpicia aurait pu y croire, céder à cette sensation de soulagement qui commençait à s’insuffler en elle. Elle aurait pu voir en cette jeune humaine prénommée Aisling, la promesse d’un retour en arrière, aux sources. Durant l’espace d’un instant, de prétendre pouvoir toucher et parler à sa tendre belle-sœur. Mais la Reine des Vampires continuait tant dans son erreur à se buter, se braquer devant cette réalité. Elle avait tout simplement peur d’y croire, et d’après lourdement se tromper. Mais cette jeune humaine ne pouvait mentir, ce serait de la folie. Son physique était celui de Didyme, et la Volturi ne parvenait décidemment pas à se satisfaire du fait que cela pourrait être une simple coïncidence…

AISLING – « Je n'ai dit que la vérité... Pourquoi je vous aurez menti ? Je ... Moi je veux juste retrouver ma famille... Je ne voulais pas vous mettre en colère ... Excusez-moi... »

L’humaine pleurait.

Sulpicia pouvait sentir l’odeur salée de ses larmes distinctement. La vampire pouvait même les apercevoir, rouler, silencieusement le long des joues légèrement bronzées d’Aisling. Cela ne lui fendit pas le cœur, non, puisque elle n’en avait plus. Mais voir l’humaine ainsi la rendit étrangement muette, comme inspirant aux remords. Avait-elle eut tort d’agir de la sorte ? Il se pourrait qu’elle se soit un peu trop emportée à son encontre, mais ce n’était qu’une mortelle. A cette pensée, le visage de Sulpicia fut traversé par une brève grimace. Elle aussi en était une avant Aro.

REINE SULPICIA – « Il est inutile de t’excuser. » rétorqua sèchement la femme d’Aro, tout en dardant sur cette jeune fille un regard indifférent. Non, Sulpicia n’était pas en colère contre elle. Mais en vérité…la sulfureuse blonde l’était contre sa propre personne. Furieuse de perdre aussi facilement le contrôle, de laisser des émotions dicter ses moindres faits & gestes dés que l’on parlait de Didyme. Sulpicia croyait en avoir terminé avec les sentiments depuis très longtemps. Mais tout cela…était bien trop dur à supporter. « Je ne supporte pas de voir…cela. » dit-elle en désignant de la main les yeux d’Aisling, lui faisant comprendre à sa manière que les pleurs lui étaient insupportables. Le chagrin lui rappelait sa condition d’âme damnée ainsi que le sacrifice qu’elle avait dut faire à l’époque pour vivre avec Aro. Sulpicia ne pourrait plus en faire autant, exprimer son mal être de cette manière. Et étrangement…cela la laissait nauséeuse.

La Reine des Vampires dévisagea longuement celle qui prétendait être de sa famille. Du moins, de celle de Didyme et d’Aro. Mais à ses yeux, c’était du pareil au même. Ils formaient tous une grande famille, une puissante, et terrible famille.

AISLING – « S'il vous plait rendez-moi mon pendentif...ce... c'est la seule qu'il me reste de ma famille...de mes parents...j'y tiens beaucoup... »

Ce fut finalement ces quelques mots qui eurent raison d’elle et l’incitèrent à prendre conscience de la vérité. Sulpicia ne décela aucune trace de mensonge, d’ironie ou d’amusement chez la jeune humaine, bien au contraire, la vampire lisait en elle comme dans un livre ouvert ; traduisait ses sentiments les plus honteux d’un simple regard grâce à son don. Ses sens étaient aux aguets, et tout ce qui lui parvenait n’étaient que désespoir, tristesse, et ce qui lui semblait être…une lueur d’espoir.

REINE SULPICIA – « Tu ne mens donc pas, n’est-ce-pas… » susurra-t-elle faiblement, comme un soupir ; bien qu’elle soit incapable d’en émettre un à cause de son cœur gelé. Soudain, un bruit l’interpella, du moins, un bruit qu’elle seule pouvait entendre du fait de ses incroyables capacités sensorielles vampiriques. Sulpicia craignait qu’un autre de la famille ne vienne se promener par-ici en sentant l’odeur du sang d’Aisling et interrompe la conversation, ruinant ses dernières chances de comprendre le possible lien qui l’unissait à l’humaine. « Viens. »

La Reine fit volte-face et se dirigea vers l’aile nord de la forteresse, s’assurant de temps en temps qu’Aisling la suivait bien jusqu’à ses appartements. Elles traversèrent les longs couloirs glacés jusqu’à parvenir à un escalier en colimaçon faits de pierres. Sulpicia savait que la jeune humaine ne partirait pas sans son pendentif, et c’était essentiellement cette raison qui l’avait poussée à le conserver dans sa main, estimant qu’elle n’en avait pas encore terminé avec la belle mortelle.

REINE SULPICIA – « Parle-moi de ta famille. » lança la vampire sans s’arrêter de grimper chaque marche calmement, faisant claquer les fins talons de ses escarpins vernis.

Cette phrase sonna comme un ordre, mais avec un soupçon de curiosité. Sulpicia désirait en apprendre plus sur cette humaine, et regretta à l’instant de ne pas posséder le précieux don de son mari, qui lui aurait grandement facilité la tâche.








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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyVen 7 Juin - 9:24

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Autre chose à dire ?



L'atmosphère est pesante, je me sens totalement oppressé. Je sais que je devrai fuir, mais je ne le fais pas. Pourtant, toutes personnes normales aurait déjà pris ses jambes à son cou, mais moi non ; je ne peux pas me résoudre à laisser mon pendentif ici. Ou plutôt je ne peux pas me résoudre à laisser mes racines ici, bien que ce lieu soit sûrement très lié à mes racines, je ne l'ai jamais fait je ne vais pas commencer aujourd'hui. Je ne suis pas prête de bouger. Je préfère mourir que d'abandonner ce qu'il reste comme souvenir de ma fille. Et oui je ne suis pas tout à fait nette, mais personne ne peut comprendre ce besoin que j'ai, hormis ceux qui sont orphelins comme moi. Peu de gens savent ce que c'est que d'avoir été arraché de sa famille, personne ne sait ce que c'est de ne pas savoir d'où l'on vient et que de sale personne vous le rappellent sans cesse avec des : petite sans famille, enfant non désiré ou d'autre horreur dans ce genre. Non vraiment personne ne peut comprendre, il faut l'avoir vécu pour être éclairé sur cette douleur. Mais je ne souhaite ça à personne, il est mieux de savoir que de vivre dans l'ignorance.
Je lève mon regard vers elle, les larmes en coulent toujours, mais une détermination nouvelle ses ancrées dedans. Je veux lui faire comprendre que je n'abandonnerai pas si facilement. C'est alors qu'elle se met à parler en me disant de ne pas m'excuser et aussi qu'elle ne supporte pas de voir mes larmes. Je tente de calmer mes pleurs et la regarde étrangement. Quelque chose en elle ne va pas, j'ai l'impression qu'elle n'est pas en colère contre moi, mais plutôt contre elle-même. Je fronce les sourcils ne comprenant pas pourquoi. Je la dévisage un instant, mais je m'arrête quand elle reprend la parole en déclarant qu'elle voit bien que je ne mens pas. Il était temps qu'elle s'en rende, depuis le temps que je ne cesse de lui répéter.
Ensuite elle adopte un comportement étrange, avant de m'ordonner de la suivre et moi sans la moindre hésitation je la suis. La peur est toujours présente en moi, mais mon collier est toujours dans les mains de cette déesse noire. Je fixe la main qui tient le pendentif, tandis que nous montons très haut vers un endroit qui est sûrement aussi somptueux que ses escaliers. Il est vrai que dans un premier on peut croire que ces lieux sont emplies de ténèbres, mais quand on regarde mieux et qu'on touche on voit une beauté qu'aucun autre lieu n'a. Cette beauté est fournie par les tableaux qui ornent tout le château, mais aussi par de fin décor incrusté dans les murs. Et aussi par un doux parfum me parvient au nez. Je soupire de bonheur, ce parfum je l'ai déjà senti plusieurs fois et c'est surtout celui que j'ai senti à mon premier jour de liberté. Je me mets à sourire de nouveau, me sentant mieux.
C'est à ce moment-là que la belle dame me pose la question sur laquelle je n'ai pas plus de réponse qu'elle. Je m'arrête en plein milieux des escaliers et regarde le sol cherchant quoi répondre, tandis que le bruit de ses talons qui claquent sur les dalles du sol rythme ma réflexion. Puis finalement, mes lèvres s'entrouvrent pour donner une réponse, ma voix est faible et pourtant je sais qu'elle va l'entendre.


« -Je ne sais absolument rien... mes parents sont mort en ne laissant derrière eux qu'un pendentif... en fait tout ce que je sais que dans le monde ce pendentif et vu comme un mauvais présage... et donc moi aussi par la même occasion... »


La description que je viens de faire est vague et pourtant horrible, mais c'est tout ce que je sais. La dure réalité vient de me rattraper : je n'en sais pas plus sur ma famille. J'ai beau chercher, je ne sais rien. C'est comme si je ne dois pas savoir, comme le néant doit toujours entourer mon identité. Bien sûr durant mon enquête j'ai récupéré un journal intime qui m'a mené jusqu'ici, mais cela n'empêche pas que je n'en sais pas plus. Je me sens nulle d'un coup et pourtant je continue de sourire pour faire croire que tout va bien.
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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptySam 20 Juil - 21:01

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Those words came from your mouth and just coughed me inside,
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AISLING – « Je ne sais absolument rien... mes parents sont mort en ne laissant derrière eux qu'un pendentif... en fait tout ce que je sais que dans le monde ce pendentif et vu comme un mauvais présage... et donc moi aussi par la même occasion... »

Sulpicia ressentit la tristesse de la jeune humaine comme si cette dernière était la sienne. Comme si elle transperçait cet organe vital autrefois palpitant, appelé cœur. Le fait de considérer son existence comme un mauvais présage avait sûrement du peser lourd sur la conscience de l’humaine. Elle en avait souffert, peut-être même s’en était-elle voulu, au final, d’exister. Sulpicia ferma ses yeux rouge sang durant quelques secondes, de manière à se concentrer sur les sentiments de son interlocutrice. La vampire les décelait, un par un, et se laissant submerger par eux, elle finit par éprouver un semblant de compassion. Malheureusement, Athénodora n’était pas présente ; si elle l’avait été, elle aurait su discerner le vrai du faux et lui assurer que l’humaine disait la vérité. Sulpicia avait souvent envié le don d’Athénodora, qu’elle jugeait extrêmement utile. Et quand bien même, la femme d’Aro sentait qu’Aisling disait la vérité. Même sans vérification auprès d’Athénodora, elle ressentait ses mots, les buvait avec avidité, et reconnaissait amèrement que l’humaine ne pouvait lui mentir ; elle ne pouvait simuler ses sentiments. Les émotions étaient bien la seule chose qui assurait à Sulpicia, que son interlocuteur ne lui mentait pas. On ne pouvait les fausser. Du moins, un humain ne le pouvait pas.

REINE SULPICIA – « Un mauvais présage dis-tu… » susurra la Reine dans un murmure, suffisamment troublée pour laisser son regard devenir de plus en plus vague, et finalement, se perdre dans les méandres de ses pensées.

La sulfureuse blonde se pinça la lèvre inférieure, en proie à une forte nervosité. A mesure qu’elle discutait avec Aisling, elle commençait à prendre conscience de beaucoup de choses, notamment du fait que tout ce que l’humaine lui avait raconté s’avérait au fur et à mesure fonder. Sulpicia ne pouvait décemment pas tourner le dos à une femme ressemblant à s’y méprendre à sa défunte belle-sœur. Observer Aisling de long en large lui faisait du bien, d’un point de vue moral. Elle avait l’impression de retrouver son amie d’antan, et même si elle peinait à se l’avouer, cela lui manquait atrocement. La présence de Didyme lui manquait tant, et cette jeune humaine, lui ressemblant trait pour trait, pouvait combler ce vide. Le sien, celui d’Aro très certainement, celui de Marcus, puis de toute la famille italienne. Didyme avait été de son vivant, quelqu’un de très apprécié au sein des Volturi, et pour ceux qui avaient eus la chance de la connaître, ils n’en gardaient en général que de bons souvenirs.

REINE SULPICIA – « Tu ne devrais pas penser ainsi… » répondit Sulpicia après un bref moment d’absence, sans quitter la jeune femme des yeux, « Ce pendentif n’est pas un mauvais présage, et tu ne l’es pas non plus. Au contraire…Je vous décris plutôt comme de bons présages. » le coin de ses lèvres vint à se courber progressivement, révélant un léger sourire. « Ce médaillon appartenait à ma belle-sœur, Didyme. » avoua Sulpicia, tout en ouvrant la porte de ses appartements, afin de laisser la jeune humaine y pénétrer à son tour.

Elle guida Aisling jusqu’au centre d’une pièce luxueusement bien meublée, et tapissée de rideaux en velours. Elle lui dévoila certaines de ses œuvres d’art passées ; toutes représentaient la même femme. Didyme.

REINE SULPICIA – « Ceux qui prétendent la qualifier de démon ne la connaissent pas aussi bien que nous…Elle vivait ici, dans ce château. Mais tu t’en doutais, n’est-ce-pas ? »











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MessageSujet: Re: « How could I trust you ? » ♣ Aisling   « How could I trust you ? » ♣  Aisling EmptyMar 29 Oct - 11:48

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oute ma vie j'ai ressenti un vide en moi, comme si on m'avait ôté quelque chose le jour de l'accident et ce quelque chose est bien plus important que mes parents. Mais depuis que je suis en compagnie de cette étrange femme tout est différent, je me sens bien.
C'est comme si j'avais enfin trouvé ma place dans ce monde. Je sais bien que ce genre de sentiment ne sont que des illusions, mais j'ai toujours aimé réfugier dans ces îlots imaginaires : beaucoup moins blessants que la réalité.
Je secoue la tête et souris doucement à Sulpicia, désirant juste enterré mes idée noires derrière un énième masque joyeux. Ces même masques que je porte lorsque ça va mal et que je ne veux pas qu'on le sache. Et que je porte aussi pour faire du bien autre, car je me sens fière et utile quand j'arrive a rendre les autres heureux.
Je soupire de contentement à cette idée et avant de concentrer de nouveau sur ce que dit Sulpicia.
Le charisme de cette femme me donne envie, m'oblige à être accrocher à ses lèvres pour m'abreuver de chacune de ses paroles. J'ai presque l'impression d'être envoute par cette magnifique déesse, car oui pour moi un tel femme ne peut être qu'une déesse. Un frisson me parcoure à cette pensée, c'est un mélange d'effroi, de curiosité et de plaisir : une sorte de dose d'adrénaline qui me donne des envies étranges.
Je m'enlève vite cette idée de la tête et je tente de calmer mes pulsions de curiosité et les autres. De toute façon pour ma curiosité sur cette femme serait satisfaite après, car hors de question de la laisser s'en tirer comme ça.  Mais pour le moment le seul truc qui compte c'est qu'elle va enfin me révéler à qui appartenait ce pendentif. Enfin c'est que je lis dans ses yeux : je vois bien qu'elle sait tout sur ce pendentif et les tableaux présent dans cette salle le prouve.
Je souris et la regarde les yeux plein d'espoir et d'impatience. Soudain les mots tant attendus sortent de sa bouche.  
Tout d'abord elle tente de me réconforter avant de me révéler la vérité. Cette dernière ne manque pas de me piquer a vif. Elle dit être la belle soeur de la première propriétaire de cette objet, mais cet objet semble avoir plus de cent ans et cette femme semble si jeune.
Je reste perplexe un instant la suivant dans rien dire. Je tente de trouver une explication logique, mais rien ne viens. À partir de là, les paroles des gens qui connaissaient l'histoire se bouscule dans ma tête et mon coeur fais un raté. Je frisonne d'effroi et hésite a dire le fond de ma pensée. J'aspire un grand coup puis fini par dire la gorge serré :

« -Tout au long de mon expédition ce pendentif à inspire la peut à ceux que je croisais et je ne comprenais pas pourquoi... Et maintenant vous me dîtes que vous êtes la belle soeur de la propriétaire de ce pendentif alors que...que ...vous êtes si jeune et que ce pendentif a plus de cent ans... au moins ! J'aimerai savoir ce qui se cache là dessous et je veux la vérité s'il vous plaît ... Je vous promet que tous ce que vous me dirai ne sortira pas d'ici... Je veux juste savoir si mes doutes sont fondés et qui sont vraiment les membres de ma... famille... hum... de toute façon vous ne pouvais pas mentir. Il y a trop de chose bizarre qui nous entoure, comme...comme c'est tableau qui sont très vieux ...enfin pour la plupart je pense... et ... heu...

Je m'assois en vitesse, car je me suis laissée  envahir par beaucoup trop de sentiments différents. Je soupire doucement, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive. Ma mère adoptive dit qu'une trop grande soif de savoir et trop de réponse en même temps peut nous mettre en émoi et donné le tourni.
Le problème c'est que j'ai toujours eu cette soif de connaissance et j'ai toujours voulu la calmer en obtenant des réponses très rapidement et même si cela devait être risqué pour ma santé.  
D'ailleurs je compte plus le nombre de fois où je me suis mise dans le pétrin pour étancher cette drôle de soif, mais bon ce n'est pas ça qui risque de  m'arrêter un jour.
Enfin c'est ce que j'ai toujours pensée, mais ce qui se passe aujourd'hui est peut-être un peu trop pour moi et peut-être qu'enfin ce que j'allais apprendre aller étancher ma soif pour un bon moment, voir toujours.
Enfin seulement si Sulpicia se décide à me répondre. J'espère qu'elle va le faire vite, car j'ai attendu ce jours avec impatience et si elle refuse de me répondre je serai déçue et abattue. Je la regarde droit dans les yeux pour lui faire comprendre que je ne lacherai pas le morceau comme ça.  Soudain un question viens me bruler les lèvres au point  de finir par sortir.

-pourquoi vos yeux son rouges ?

Au fond de moi,  j'ai l'impression de connaître la réponse comme pour mes premières questions, mais je refuse de voir la vérité par peur. En fait je me mens à moi-même alors que la réponse est sous mes yeux : c'est pathétique. J'ai honte de moi.
Je tente de me reprendre et je réfléchi aux solutions possible en reprenant chaque éléments que j'ai remarqué. Soudain je le fige et respire doucement avant de me mettre à parler le plus doucement possible.

-Vous êtes rapide, vos yeux sont rouge, votre peau est froide,  votre beauté est sans égale et tous ce qui vous entoure semble très anciens. Vous... vous n'êtes pas humaine, je ... me trompe? Et elle ne l'était pas non plus ...vous êtes immortels n'est-ce pas ? Quel âge avez-vous vraiment madame ? Est-ce que tous le monde dans ce château est comme vous ? Pourquoi vous cachez-vous ?

Je n'ai pas osé dire le mot qui les caractérise vraiment par peur de l'offenser. Mais cela n'empêche pas que j'ai très bien compris ce qu'ils sont. Pourtant je n'ai pas envie de fuir en courant, même si je dois avoir que j'ai peur ; qui n'aurait pas peur à ma place. Et puis même si je me mets à fuir,  elle me rattrapera en un rien de temps. Et puis en faisant je trahirai  ma famille et pour moi c'est une chose impensables.
Soudain je me demande si c'était une bonne idée de lui exposé ma théorie. Je me mets à bouger nerveusement. J'ai hâte qu'elle parle enfin pour savoir si j'ai bien fait ou pas.
Je me mords les lèvres n'en pouvant plus d'attendre, les secondes ressemblent à des heures : c'est horrible.
Je pose mes yeux sur les tableaux représentant mon ancêtre pour me distraire et me calme en attendant que la magnifique femme en face de moi réagisse.  
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