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|  Sujet: Alexey le vamps est arrivé~~  Lun 30 Déc - 15:33 | |
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FEAT - SHANNON LETO ALEXEY VOLTURI
1946, l’année avait déjà commencé depuis quelques mois… C’était désormais le mois de Mai, les rues londoniennes était toujours aussi sombres et poisseuses, la crasse et les ordures s’entassant à chaque coin, plongeant la capitale dans une misère pathétique. C’est dans cette misère que j’ai vu le jour, cette misère sur laquelle beaucoup ferme les yeux, évitent du regard, se détourne avec dégoût. C’est dans une de ses rues que s’est écroulée ma mère, une russe, jurant sous la douleur tout en frappant encore son ventre. Elle n’avait pas voulu de cet enfant, son compagnon non plus lui soupirait, dégoûté de la voir dans un tel état. C’était trop tôt, je naissais bien trop tôt. Pourtant je m’étais bien accroché à la vie, cette femme n’avait pas été la meilleure des femmes enceintes, elle n’avait pas fait attention à moi et il en fut de même lors de l’accouchement… Je finis par voir le jour, lorsque mon premier cris retenti ils se regardèrent, pensant tous deux à me laisser là et reprendre leur petite vie misérable de voleurs, de dealeurs, de travailleurs au noir, de mendiants... Ils l’auraient très certainement fait si le sifflet du policier n’avait pas retenti. Il avait cru qu’elle avait été battue par lui, il aurait pu me mettre en sécurité. Mais non. Pas de chance. Ils m’embarquèrent et partirent rapidement pour ne pas se faire attraper et coffrer, vu leur passé ça aurait été facile.
Ils repensèrent un instant à l’idée de m’abandonner, finalement ils trouvèrent que je pourrais leur être utile. Qui se méfiait d’un enfant ? Qui n’avait pas pitié d’un enfant ? Qui détournait le regard d’une femme attristé avec son nouveau-né pendant faiblement à son sein ? Oui ils me virent rapidement comme un moyen de subsister. Je grandis donc dans la misère, devant autrui j’étais traité avec douceur et précaution afin d’attirer les regards, les pièces, les porte-monnaie. Mais une fois que l’on se retrouvait dans l’entrepôt abandonné en face du Shakespeare’s Globe, l’endroit où l’on s’était installé un temps, alors ils ne m’accordaient plus la moindre attention. Je grandis ainsi, me taisant lorsque je n’étais qu’avec eux, baissant la tête et tentant de me faire le plus discret possible, faisant mon malheureux, mon pauvre, malade et perdue devant autrui, quémandant soit disant pour mes autres frères et sœurs alors qu’en réalité je ramenais ces pièces pour mes parents qui ne m’adressait pas le moindre mot en échange. D’un côté c’était peut-être préférable.
Mais plus je grandissais et moins les gens se laissaient berner, plus j’avais à faire face à des refus, ce qui engendra rapidement le mécontentement de mes parents… À mes 7 ans je me retrouvais seul. Je me réveillais et ne vis personne d’autres de présents dans la ruelle où on avait dû bouger. J’avais beau appeler mes parents ils ne répondaient pas. Je crus qu’ils étaient parti pour quelques heures et reviendraient alors je décidais d’attendre, de m’asseoir sagement sur mon carton et d’attendre leur retour. Les heures passaient mais je ne les voyais toujours pas revenir, je pris mon mal en patience, peut-être avaient-ils faillit se faire attraper et alors mettaient plus de temps à revenir. Serrant un peu plus mes jambes contre moi je continuais d’attendre calmement même si mon palpitant cognait de plus en plus contre ma poitrine, craignant ce que je n’osais m’avouer. Une première journée passa. Les larmes coulèrent alors, mais je ne bougeais toujours pas, fixant le mur en face de moi, attendant. Une seconde journée s’écoula. Les larmes avaient séché, laissant sur mes joues crasseuses des lignes plus claires, j’attendais toujours chantonnant pour me rassurer. Puis un troisième jour… Mon regard se faisait vide, la faim m’assaillait mais je ne bougeais toujours pas. Je n’avais que 7 ans… Qu’allais-je bien pouvoir devenir seul ?
C’est alors que j’entendis des bruits de pas. En une seconde mon visage s’illumina et je me redressais, l’adrénaline et l’excitation de l’instant me donnant la force de le faire. Il faisait nuit mais je percevais deux ombres au bout de la rue. J’y cru vraiment. Mais plus les ombres avançaient et plus je finis par voir à quel point elles chancelaient… Il s’agissait en réalité de deux hommes, deux mecs complétement pétés, bouteille à la main, traces de poudre aux narines. Je me raidis et tentais de me faire petit. Je me souvenais bien des réactions de mes parents lorsqu’ils testaient des drogues où descendaient les rares bouteilles qu’ils pouvaient se payer ou voler. Je m’en souvenais très bien, et je m’en sortais à chaque fois avec des cicatrices… Mais je m’y étais pris trop tard cette fois. Ils me remarquèrent, remarquèrent mon regard sur lequel devait très certainement se lire ma peur, ça ne sembla pas leur plaire… Les coups commencèrent à tomber, leur rire me dégoutant, leur frappe faisant toujours plus grandir ma haine. Haine contre eux mais aussi contre mes parents. Ils m’avaient bel et bien abandonné. J’étais trop épuisé pour tenter de me défendre, de m’enfuir, de me protéger. Une plainte pathétique s’échappait de ma gorge, le goût d’acier de mon sang venant emplir ma gorge, sentant mes os se briser sous les coups…
Je pensais que j’étais fini, qu’enfin j’allais pouvoir passer à autre chose et mourir. Mais les coups cessèrent. Des hurlements sourds parvinrent à mes oreilles, j’ouvrais faiblement les yeux pour voir des effusions de sang jaillirent de tous les côtés, sang qui n’était pas le mien, c’était celui de mes attaquants… Un homme venait de leur arracher les membres, je le vis avec le crâne d’un des deux en main le sang giclant sur sa joue sans même le faire tressaillir. Il s’en était débarrassé en quelques secondes, il y avait pris du plaisir à en juger par son expression, mais ce qui me marqua le plus furent ses yeux… D’un rouge sang à vous glacer l’âme… Je ressentis alors sa force, j’en étais jaloux… Sur ce sentiment je refermais les yeux alors qu’il tournait la tête vers moi avec un sourire en coin.
J’ouvrais de nouveau les yeux, ébloui je voulus porter ma main à mes yeux mais grimaça sous la douleur. Je mis un certain temps à m’adapter à la lumière, j’étais dans une pièce claire, un grand loft en plein dans la City à ce que je voyais par la fenêtre. Je me redressais avec difficulté avant de regarder mon corps, j’étais couvert d’hématomes du fait de mes deux assaillants, mais la plupart de mes blessures avaient été pansées. Je n’eus pas le temps d’y réfléchir que je le vis, installé dans un fauteuil en face de moi, un verre dans la main, un liquide rouge et épais y trônant, à la lumière du jour je crus même voir sa peau pâle briller... Il me fixait et je pus alors remarquer ses iris, toujours du même rouge flamboyant, inhumain et pourtant si puissant. N’importe qui aurait pris peur et se serait enfui. Mais vu ce qu’il avait fait la veille s’il avait voulu me tuer il l’aurait déjà fait non. Je voulus m’asseoir mais j’étais bien trop épuisé et retomba sur le sofa, sentant la fatigue me happer de nouveau je n’eus que le temps de dire :
« Qu’est-ce que t’es… »
Je n’eus en réponse que ce sourire en coin que je lui avais déjà vu la veille, puis mes paupières s’affaissèrent de nouveau et je sombrais une nouvelle fois. Pour la première fois, je dormis bien.
Je me réveillais deux jours plus tard, toujours dans la même pièce, toujours cet homme en face de moi à me fixer. Il faisait jour et j’avais suffisamment recouvert santé pour me redresser et m’asseoir. Lui faisant face, toujours pas effrayé mais me rendant compte alors de ce que j’avais en face de moi. Ses yeux étaient toujours aussi rouge, vous perçant du regard, à vous donner froid dans le dos, et je n’avais pas rêvé, sa peau brillait bel et bien au soleil, comme recouverte de milliers de diamants. Je fronçais les sourcils et cela eu lieu de le faire rire c’est alors qu’il prit pour la première fois la parole :
« Je m’appelle Shannon et je suis un vampire. »
C’est alors que j’appris pour le surnaturel. Je n’avais que 7 ans, il ne fut donc pas difficile de me convaincre, puis il faisait une preuve sans égal. J’écoutais avidement ses explications, ses récits, mais une seule question me préoccupait réellement. Pourquoi m’avoir épargné ? J’attendis quelques jours supplémentaires avant d’oser à mon tour prendre la parole et risquer cette interrogation. Je n’aurais pas dû douter ainsi de sa réaction car il m’expliqua sans rechigner. Pourquoi m’avoir laisser la vie sauve ? Parce qu’il m’avait remarqué, parce qu’il avait vu comment j’avais été traité par mes propres parents, parce qu’il les avait vu partir au petit matin le laissant sans lui jeter le moindre regard, parce qu’il m’avait vu attendre patiemment leur retour, parce qu’il avait vu mes espoirs s’estomper et la haine me gagner. Je crus même l’entendre dire qu’il s’était reconnus en moi mais je sus alors qu’il ne fallait pas que j’insiste sur ce point tellement je remarquais son regard s’assombrir.
Il avait choisi de me prendre sous son aile, de me venir en aide, de me promettre une vraie vie sans que je sois dans le besoin, une vie à laquelle d’après lui j’avais droit. Je ne pus qu’accepter. J’avais enfin quelqu’un qui veillait sur moi, qui me parlait, qui ne se servait pas de moi, qui me permettait de vivre une vraie vie, qui m’instruisait, qui me faisait rire et qui se souciait de ce dont j’avais besoin.
Jamais je ne te remercierais suffisamment.
Les années passaient, je grandissais, toujours aux côtés de Shannon, celui que je considérais comme mon grand frère. Je n’étais pas choqué de le voir se nourrir d’humain, beaucoup l’aurait traité de monstre, aurait été horrifié et se serait enfuie. Pas moi. Après tout, pour moi, les monstres étaient ceux qui m’avaient abandonnés, ceux qui m’avaient frappé et humilié par pur plaisir, suite à une subite envie de supériorité. Lui n’était pas ainsi, alors pourquoi le craindre ? Je m’étais fait à sa condition de vampire, à sa manière de vivre, de se nourrir, de tuer, de voir les années passer et ne pas l’influencer. Je dois avouer avoir été estomaqué en apprenant son vrai âge… qu’il ne faisait pas du tout…
Je grandissais donc ainsi, à Londres, jusqu’à mes 10 ans. Je décidais alors de sortir seul pour faire une course. Au détour d’une ruelle je tombais alors sur ces monstres, mes parents. Tous deux étaient penchés sur les ordures et me jetèrent un coup d’œil furtif. Ils ne me reconnurent pas de suite et je voulus profiter de cet instant pour tracer ma route mais alors que je me détournais je sentis une poigne se refermer sur mon bras, celle de mon père. Ils m’avaient reconnus, et qu’elle ne fut pas leur surprise en me voyant si propre, si bien vêtu, si coloré et coiffé… Ils me posèrent mille et une question, j’eus le droit à quelques coups comme je ne leur répondais pas, je ne parvenais pas à m’échapper et me débattais du mieux que je pouvais. Je les détestais et ne voulais que les voir disparaître. La poigne se relâcha, les coups se stoppèrent et je rouvrais lentement les yeux. Les visages violacés de mes parents me fixaient avec horreur, ils portèrent difficilement leur main à leur crâne gémissant avec difficulté avant de tomber tout deux lourdement au sol. Morts. Je vis alors derrière eux Shannon, toujours ce même sourire en coin. Je sus alors que leur mort était de son fait. Il me fit alors un signe de tête pour que je le suive et je le rattrapais, il me tapotait la tête alors que l’on s’éloignait. Maintenant ils ne pourraient plus me faire de mal, plus me hanter… Maintenant j’étais Libre…
On quittait ensuite Londres. Je découvris le monde, un monde que je ne connaissais pas et que je n’avais jamais osé m’imaginer, sachant que je ne pourrais jamais le découvrir. Jamais je ne m’étais attendu à ce que cela se réalise un jour. Il me racontait ses aventures, sa transformation, ce clan qui l’avait recueilli, je n’étais pas emballé par la description qu’il m’en faisait, trouvant que ce clan le limitait plus qu’il ne le libérait... Les années passées et je rattrapais Shannon en âge, du moins physiquement. Tout le monde nous prenait pour deux frères et je fus réellement fier lorsque ce fut Shannon qui décida de nous présenter comme tels. J’en apprenais toujours plus sur son monde et sur la réalité de cette Terre que l’on parcourait, ça me passionnait, m’intriguait. J’ai plusieurs fois fait part à Shannon de mon envie d’en devenir un à mon tour, je ne voulais pas être faible et bien qu’il m’entraîne chaque jour je savais que jamais je n’arriverais à son niveau.
Mais tout aller changer. Un soir, Shannon était sorti se mettre quelque chose sous les crocs, de mon côté je décidais de sortir m’acheter des clopes. Ce que je n’avais pas prévu c’était qu’une horde de loup avait une dent (pas qu’une d’ailleurs) contre Shannon. Ce que j’avais encore moins prévu c’est que j’en payerais les frais. J’avais beau avoir eu l’entraînement de Shannon je n’en restais pas moins un simple humain contre plus ou moins 5 loups. Je me retrouvais à Terre, je faisais de mon mieux pour tenir le plus longtemps possible, ne bronchant pas et tentant de me protéger le mieux possible, de frapper ce que je pouvais. Puis Shannon arriva, de mauvaise, très mauvaise humeur. Et avec ce même sourire en coin bien que plus froid que jamais je le vis mettre en pièce chacun de ces loups, deux me maintenaient tandis que les autres se jetaient sur le vampire, je ressentis alors un violent coup sur la nuque, ma vue s’assombrit violemment et je pus voir la colère de Shannon surgir. Une grande première, je ne l’avais jamais vu s’emporter. Je ne pus pas en profiter totalement, tout ce que je sais c’est que c’était un vrai carnage comme je n’en avais jamais vu, comme je ne l’avais encore jamais vu faire.
Quelques minutes plus tard, Shannon, mon frère était à mes côtés et tentait à l’aide de son don d’apaiser ma blessure, mais j’avais déjà perdu trop de sang et je ne voulais pas qu’il me sauve il le savait très bien. Je venais de fêter mes 27 ans, nous étions de retour à Londres, en 1973, et je mourrais. C’est alors que je sentis mon corps entier brûler, me déchirant, hurlant sans pour autant ouvrir ma mâchoire. La souffrance de la transformation, enfin. Shannon m’avait fait don d’une morsure, faisant de moi un vampire et de lui mon créateur en plus de mon frère.
Je me réveillais le lendemain, sur le même sofa que celui sur lequel j’avais été déposé vingt ans plus tôt, Shannon me fixant toujours avec ce même sourire toujours sur le même fauteuil. La seule chose qui avait changé été moi et mes iris rouge sang.
J’eus un peu de mal à me contrôler les premiers mois, mais avec Shannon comme créateur j’étais sûr qu’il ne me laisserait pas tomber ni même faire une erreur qui mènerait à ma perte. Il m’entraîna de plus belle, m’apprit ce que j’avais à apprendre qu’il m’avait jusque-là qu’énoncer, j’étais d’autant plus attentif qu’avare d’en savoir plus, d’être plus fort, d’être digne de lui et de ne plus avoir besoin de lui pour me protéger. Commencer à lui rendre la pareil.
Mes premières années vampiriques furent à la limite de l’utopique, je me sentais finalement Libre et profitait un maximum de ce que j’avais. Je me découvris un don qui eut lieu de me faire sourire. Je lui donnais le nom de Midas, la capacité de transformer et de contrôler l’or, don qui m’aurait bien aidé lorsque je n’étais encore qu’un enfant. Mais je laissais mon passé derrière moi, me focalisant sur le présent et la nouvelle vie, l’éternité qui s’offrait à moi.
Les années passées, je me faisais toujours plus fort, me contrôlant de plus en plus, Shannon m’y aidant, nous profitions en maximum des ressources nous entourant où que nous allions, parcourant de nouveau le monde ne prêtant aucune attention aux années qui passaient. Puis le jour fatidique du retour au bercail frappa.
Le créateur de Shannon avait besoin de lui, apparemment un conflit de clan requérait la présence de son meilleur assassin, Shannon ne pouvait refuser, il respectait bien trop son créateur pour cela… J’étais contre, bien sûr, pour moi ce clan ne faisait que limiter Shannon, ne lui permettant pas d’être lui en totalité, il jouissait tellement de cette liberté, de cette absence de règles et de limites depuis qu’il était parti que je savais que retourner auprès de cette famille vampirique ne lui serait pas bénéfique. Mais je m’abstins de lui en faire part, sachant très bien que sa fidélité envers son créateur, Aro, serait bien trop forte pour que j’immisce mon point de vue. La chose à laquelle je ne m’attendais pas était à ce qu’il me propose deux options : le suivre ou rester et continuer mon existence comme je le désirais. Bien sûr, pour moi, la question ne se posait même pas. Je pris alors à sa suite la direction de Volterra.
En Italie, Shannon me présenta aux créateurs du clan, expliqua à son propre créateur qu’il m’avait créé, décrit mon pouvoir ce qui sembla plaire aux ancêtres Volturi. Puis vint le moment où celui qui s’appelait Aro voulu me serrer la main et passer à la loupe mes pensées, mes souvenirs… Pendant un instant je voulus user de mon don sur lui, mais je savais à quel point cet homme était important pour mon frère et n’en fis rien. Je fus donc accepté au sein du clan, je devins alors un Volturi à mon tour. Bien sûr, je compte bien que cela ne reste que temporaire.
Ce que je n’avais pas prévu, que l’affrontement avec les Cullen n’ait finalement pas lieu, et que l’on reste malgré tout à Volterra quelques temps. Ce que je n’avais encore moins prévu, mais vraiment pas prévu, c’est de croiser cette vampire dans la forteresse italienne. Amelia. C’est alors que je visitais la demeure que l’on se croisa, j’eus l’impression de me noyer dans son regard, n’hésitant pas un instant de plus pour aller à sa rencontre. Au départ nous nous amusions de notre attirance, mais au fond nous savions ce qui se cachait derrière… J’avais trouvé celle qui m’accompagnerait à jamais et je ne comptais pas la laisser filer de sitôt.
Me voilà désormais Volturi, au côté de mon frère et créateur, mais aussi près de celle qui me semble si différente et qui pourtant me comprend comme personne… Déterminé à nous faire partir tous trois de cette cité et recouvrir notre liberté…
| NÉ(E) LE & A/EN – Je suis né le 16 Mai 1946 à Londres, en Angleterre .
AGE D'APPARENCE – ] Je suis physiquement bloqué à mes 27 années.
SEXE – ♂
ORIGINES – Anglaises et Russes.
PARTNENAIRE – Amelia Volturi.
POUVOIR – Midas [U.C].
ALLÉGEANCE – Tout d’abord à mon créateur, c’est-à-dire Shannon, puis au clan des Volturis.
PÊCHÉ – Les Tueries...
RACE – Vamp’s.
PROFESSION – L’un des Assassin des Volturis. De mon temps d’humain j’étais batteur.
RÉGIME ALIMENTAIRE – Les humains la plupart du temps, les bestiaux quand j’ai pas d’humains sous la main.
PSYCHOLOGIE – Fidèle ♦ Protecteur ♦ Amusant ♦ Libre ♦ Mystérieux ♦ Sociable ♦ Confident ♦ ...
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❧ The Night is Our Kingdom ❧
INFORMATIONS ►
SI VOUS ÉTIEZ UNE FLEUR • ... ... ... Je m'y connais pas, mais pas du tout en fleur... Des fleurs sauvages peut-être? C'est tout ce qui me vient à l'esprit.
SI VOUS ÉTIEZ UNE ÉPOQUE • Les 60's-70's avec l'apparition du mouvement Punk dans le monde, mouvement qui a bercé la majorité de mon existence.
SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL • Un animal... Vous en posez vous de ces questions... Je suis vampire... Une chauve-souris?
SI VOUS ÉTIEZ UNE QUALITÉ ET UN DÉFAUT • Pour ce qui est de la qualité je dirais que je suis fidèle, là dessus j'aime être juste et ne pas manquer à ma parole. Après pour le défaut... bin j'aime bien tuer, personnellement je ne vois pas ça comme un défaut mais beaucoup disent que c'est pas très bien...
AMBITION(S) • Je viens d'arriver chez les Volturis, d'intégrer leur clan mais je ne suis pas prêt à me soumettre à eux, si ce n'est à mon créateur. Ce que je prévois de faire? Lui faire entendre raison et partir d'Italie, on s'amusait bien plus quand on faisait le tour du monde!
Mon second But est d'embarquer avec moi Amelia, je suis prêt à tout pour elle, et je n'ai pas envie de l'y laisser seule. Je sais que ce n'est qu'avec elle que je pourrais vraiment être bien et juste.
SECRETS(S) • Je n'aime pas le clan Volturi et leurs règles, je suis profondément amoureux d'Amelia même si je ne le laisse pas paraître forcément... (oui je suis timide, n'aime pas afficher ce que je ressens...)
PSYCHOLOGIE ►
CARACTÈRE • Une quinzaine de lignes sur mon caractère… Je devrais pouvoir le faire. Je suis un mec plutôt particulier, pouvant être à la fois excentrique et incontrôlable comme calme et posé. Tout dépendra de mon humeur et du contexte dans lequel je me trouve. Il est vrai que la plupart de temps, quand je suis avec mon créateur et ami, j’ai tendance à m’éclater un max et à laisser le sérieux de côté tel qu’il le fait lui-même, sans bien sûr tomber dans cette folie qui le définit si bien. Non je ne suis pas non plus un taré qui ne sait pas se contrôler, ça ne serait pas juste de me définir de la sorte. Je sais juste quand je peux me laisser aller et à l’inverse quand il faut que je fasse preuve de calme et de sérieux.
Ce que je pourrais aussi dire de mon caractère est que je suis quelqu’un qui tient énormément à ses proches. Bon bien sûr je n’en ai pas à gogo, mais bien qu’ils soient peu je ferais toujours tout pour eux. Parmi ces proches se trouvent en première ligne mon créateur, Shannon, mon frère, mon ami celui sans qui je serais mort il y a bien une soixantaine d’années, celui auquel je serais éternellement redevable. Puis il y a aussi Amelia, ma douce et tendre Amelia… Ce sont les deux personnes pour qui je mourrais très certainement. Bien que je ne sois pas du genre à me mettre en colère mais plutôt à prendre les choses à la légère, essayez juste de vous en prendre à l’un d’eux et alors vous saurez comment je suis lorsque je suis en colère et que je nourris à l’égard d’autrui une haine noire.
Donc je suis un peu protecteur, lunatique quand on touche à mes proches, mais je sais aussi me montrer sociable, je vais pas me jeter à la gorge de n’importe qui, ni à faire ça à la va vite plutôt en profiter un minimum… Je me lie rapidement de sympathie, voire d’amitié, avec autre mais il faut savoir que je reste mystérieux, je ne dis presque jamais rien sur moi et sur ce que j’ai vécu, et encore moins sur ce que je ressens… Je suis plutôt du genre fermé et secret quand il s’agit de me dévoiler.
Devenir vampire était pour moi l’ultime phase me permettant d’être définitivement libre. J’aime profiter de cette liberté, certes je suis lié à mon créateur mais cela ne me pose pas problème, après tout je penses pas qu’on puisse faire plus cool comme créateur. Par contre je dois avouer ne pas aimer l’idée des clans vampiriques… Je suis fidèle mais aussi manipulateur et comploteur… Jusque-là je ne me suis jamais fait prendre, à voir si ça restera ainsi ou non.
PSEUDONYME • Fab. CELEBRITE CHOISIE • Shannon Leto. AGE IRL • 24 ans. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM • Par mon coloc qui fait Shannon Volturi, sa demi-soeur m'en avait aussi parlé une fois lorsqu'elle avait voulu s'inscrire. COMMENTAIRES • Il a l'air bien sympathique ce forum, j'espère qu'on s'entendra tous bien. MOT MAGIQUE (CF REGLEMENT) • Yoyo a tout vu . EST-CE VOTRE DERNIER MOT ? • normalement oui...
CRÉDIT GIF+AVATAR ? • Gif trouvé sur Tumblr, Avatar par Shylee. |
Dernière édition par Alexey Volturi le Lun 6 Jan - 1:40, édité 16 fois |
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