© Google | | Abigael Lee ft. Malese Jow
Né le:: 21 Avril 1996 Age d'Apparence:: 18 ans Sexe:: Femme Origine:: Amérindienne du Wyoming Statut:: Célibataire Camp:: Encore indéterminé, mais je suivrais les modificateurs. Péché:: Gourmandise Race:: Modificateur Profession:: Etudiante Richesse:: Classe moyenne.
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Information
SI VOUS ÉTIEZ UNE FLEUR • Un lys.
SI VOUS ÉTIEZ UNE ÉPOQUE • La conquête de l'ouest.
SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL • Un loup.
SI VOUS ÉTIEZ UNE QUALITÉ ET UN DÉFAUT • Généreuse & arrogante.
AMBITIONS • S'intégrer dans la meute et avoir une grande famille !
SECRET • Si on doit tout ce dire, je crois que je suis amoureuse de Seth, mais n'allez pas lui repetter hein !
Psychologie
CARACTÈRE • Pendant une longue période -qui je crois à débuté au même instant que ma naissance- j'étais timide, renfermée sur moi-même. Un tantinet maladroite, j'avais du mal à me socialiser avec les autres. Balbutiante, incapable de parler correctement, personne ne voulait traîner avec moi -ce qui peut se comprendre non ? J'avais beau être la meilleure de ma classe, je ne représentais pas l'image typique d'une bonne amie ou d'une confidente, j'étais juste cette fille au fond de la classe que l'on a pas envie de voir. Pas la peine non plus de préciser que tomber amoureuse ne m'étais pas permis. Avec le temps, cette tendance s'affirma et ma maladresse redoubla. Moi qui vivais bercée par les croyances religieuses de ma réserve natale, je compris très vite que s'il y avait des esprits, il devaient s'acharner sur moi et bien se marrer ces bouffons.
Aujourd'hui, après une longue période de trouble (qui inclue bien évidement ma mutation) les choses semblent avoir évoluées un tantinet. Certes, je suis toujours aussi maladroite et très souvent incapable de parler sans bégayer, je ne vais pas vous mentir, depuis que je suis une louve, je suis un aimant à problèmes. Entre mes chutes -parce que je tombe très souvent- ou mes gaffes, les esprits doivent bien s'éclater. Le pire dans tout ça, c'est que je ne le fais absolument pas exprès et que cela arrive toujours au moment où je m'y attends le moins ! Vous êtes déjà tombés devant une assemblée réunie pour un enterrement ? Voilà, c'est ce que je vous dis ! Il n'y a que moi qui attire le malheurs de la sorte. Le truc, c'est que mon caractère de cochon n'arrange rien à tout ça ! Quant on me croise, on remarque très vite mes changements d'humeur constant, passant rapidement de la colère à l'affection et de l'affection à la haine. De même, je suis assez impulsive avec quiconque me connait suffisamment pour s'en apercevoir, ce qui fait que je suis constamment à la recherche de bagarre et ne mâche pas mes mots.
Pourtant, je suis quelqu'un de très sensible ! Je n'ai rien d'une grosse brute, je vous assure ! C'est juste que je m'emballe vite et pour pas grand-chose...
Histoire
Une phrase commence toujours par une majuscule et se termine toujours par un point. Il en va de même avec une histoire ; elle commence toujours par quelque chose de beau et se termine toujours par un merveilleux "
Happy End". Toujours ? Celui qui vous assure ce genre de chose est juste un imbécile pas fini et j'ai bien envie de le frapper pour ça !
Ma mère est également persuadée de ce genre de choses, très croyante, elle est crois dur comme fer qu'il y a une seconde vie après la mort, elle pense qu'après cette extinction de notre cerveau et de nos capacités physiques on peut rejoindre les grands esprits. Selon elle toujours, cette option est accessible à tous, si tant est que l'on veuille se repentir. Cependant, ma vie toute entière me prouve le contraire : je n'ai jamais rien fait de mal, et pourtant, je suis maudite.
Je suis née au Wyoming. Déjà à cette première phrase, vous pouvez comprendre mon malheurs. Vous connaissez le Wyoming ? Sur les plans touristique c'est un endroit vraiment magnifique ! Le soleil, la nature, un vrai petit bout de paradis ! Mes fesses oui. Celui qui vous vend ce genre de cochonnerie mériterait que je lui fasse bouffer ses prospectus à la noix ! Le Wyoming c'est le néant. Pour être coupé de tout, ah, ça vous l'êtes ! Ils viennent tout juste de découvrir l'eau chaude et l'électricité alors si vous comptez vous y installer, allez plutôt dans l'Ohio. L'Ohio c'est cool ! Mais passons ce détail, mon père, parti à l'armée à ce moment-là ne me verras jamais grandir puisqu'il mourut quatre années plus tard suite à une mauvaise expérience sur des essais nucléaires. Je ne garde de lui que des souvenirs flous et des photos, mais j'imagine qu'il faut se contenter de ça. Selon ma mère et les gens de la réserve, mon père était originaire d'une autre réserve, beaucoup plus dans le Nord. J'ai jamais compris pourquoi il avait quitté la civilisation pour s'installer avec ma mère dans ce trou paumé. Ma mère m'éleva donc seule, essayant de joindre les deux bouts entre son job dans les fermes voisines et moi. Je n'étais pas un fardeau pour elle, mais quelque chose dans son regard me faisait comprendre qu'elle regrettait de m'avoir eu. Au début, je croyais que j'étais fautive de quelque chose et que je l'empêchais de s'épanouir, qu'à cause de moi et après la mort de mon père, elle se sentait bloquée dans la situation de mère veuve, mais j'ai très vite compris que je n'y étais pour rien. Ma mère regrettait que je sois née à cet instant parce qu'elle n'était pas suffisamment là pour me rendre heureuse. Pour ça, je ne lui en ai jamais voulu.
Je suis issue d'un très drôle de métissage qui m'a bien souvent valu des moqueries de la part des autres. Mi-Indienne des deux côtés, il est donc normal que la première chose que l'on remarque chez moi ce soit mes yeux. J'ai grandi plongée dans le système typiquement américain. Là où il faut exceller en toutes les matières quitte à se battre avec d'autres élèves pour réussir, j'étais la meilleure du Wyoming -en même temps, vu le peu d'habitants c'était pas vraiment compliqué. Je ne me battais pas physiquement certes, mais intérieurement, je bouillais d'une telle rage de vaincre et d'être parfaite que je ne me permettais pas d'avoir en dessous de la moyenne. Je faisais ça pour voir ma mère fière, pour qu'elle comprenne que je l'aimais et que jamais je n'avais eu de rancune à ne la voir qu'un week-end sur trois, ou deux quand j'avais de la chance.
Pourtant, malgré mon "
intelligence", je n'ai jamais voulu non plus croire à l'idée de grands esprits. En effet, bien que mes parents soient issus de tribus indiennes, je ne vouais pas de culte à la forêt et ses habitants. Mais j'avais apparemment tout faux. Très vite, je me rendis compte que quelque chose chez moi n'était pas ordinaire et que c'était surement dû à mon sang. Moi qui n'avais jamais eu une certaine affinité avec la forêt et qui préférais rester des heures devant mon écran d'ordinateur, je me retrouvais à étudier la vie animale en terrain sauvage du jour au lendemain. Et si ma force semblait décuplée au point que j'arrivais à soulever mon lit pour passer la poussière en dessous, je trouvais que cela était un heureux hasard. Ou plutôt, un gentil soutiens de la part des esprits -qui n'avait visiblement pas pris en compte le fait que je ne contrôle pas vraiment là chose- pour compenser ma maladresse. Pendant un temps, je me confortais dans l'idée que c'était juste un "
don" de la nature, mais très vite, les regards insistants de ma mère et de ma grand-mère me firent douter de cette idée.
Vous n'imaginez pas ce qu'à été ma première transformation. Ma mère mais aussi ma grand-mère, qui connaissaient quelques légendes ont tenté de me soutenir, mais même avec elles à mes côtés, ça à été l'enfer. Même si elles me rassuraient en me disant que c'était pour mon bien et que c'était signe que j'étais bien une descendante des Quileutes -que je ne connaissais absolument pas- je n'ai cessé de leur en vouloir durant toute ma mutation. Pourquoi ? Même aujourd'hui, je n'en sais rien. Je suppose que c'était sous le coup de la douleur. Ma transformation a durée une heure et dix-huit minutes. Une heure et dix-huit minutes pendant lesquelles mes os bougeaient sous ma peau et se cassaient pour se reformer ensuite. J'avais beau hurler à la Terre entière de me tuer, personne n'a rien fait, on s'est contenter de me chuchoter que tout allait bien et de m'apporter des lignes humides. Selon ma mère, lorsque plus tard nous en avons discuté, ma forme de louve est impressionnante. D'après elle, mon pelage, d'un gris cendré très clair pourrait s'apparenter à du blanc, mais le contour de mes yeux, plus foncés, fait ressortir deux pupilles d'un verts captivants qui lui aurait rappelé mon père. Mon allure, bien loin d'être imposante, ce démarque facilement des autres par sa douceur et sa fragilité. Plus tard, j'ai compris que je n'étais pas faite pour me battre, mais plutôt taillée pour la vitesse ! Essayez donc de me battre à la course pour voir !
Passé le moment d'horreur, ma mère s'est mise à chercher activement une adresse et un numéro de téléphone pour contacter les Quileutes. Par la suite, j'ai appris que c'était de leur réserve que mon père venait et que c'était sans doute dans son sang qu'avaient été conservé des gènes lupins. Ça lui à prit deux semaines, mais passé ce délais, elle m'a annoncé que nous déménagions pour que je me rapproche de mes "
frères" loups. A ce moment-là, j'étais tellement perdue que ma seule envie était de me jetais par la fenêtre en sachant pertinemment que je ne mourrais pas, mais que j'aurais sans doute très mal.
Aujourd'hui ? Je suis dans la voiture. Ma mère tente de me parler mais sans grand succès. Ma grand-mère, assise à l'arrière à décidé de nous suivre à la dernière minute. C'est une "
grande aventure" a-t-elle dit. Je crois qu'elles n'ont pas encore compris que je suis traumatisée à l'idée de rencontrer de nouvelles personnes qui de toute façon ne voudront pas de moi...
Et vous?!
PSEUDONYME • Juny.
AGE IRL • 17 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM • Je cherchais un forum sur Twilight actif.
COMMENTAIRES • J'aime les bananes.
MOT MAGIQUE (CF REGLEMENT) •
Yoyo a tout vuEST-CE VOTRE DERNIER MOT ? • Oui Jean-Pierre.