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| La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba | |
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Auteur | Message |
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Shannon B. Volturiの VOLTURI COVEN の
» MESSAGES : 698 » WHERE ARE YOU ? : Behind You... » POWER : Dark Curse » RPG AGE : 1466 but it looks like I'm 24 » JOB : Assassin » WHO ? : Jared Leto » MULTI COMPTES : -
| Sujet: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Sam 7 Sep - 23:18 | |
| Le loup s'était endormi, donc calmé, ce qui n'était pas plus mal étant donné qu'il avait été plus qu'insupportable dans la forêt aux alentours de Forks et de cette tanière puante de loups. Nous arrivions enfin à Volterra, mais comme il était hors de question qu'il nous refasse sa crise d'adolechiance en Italie nous lui avions servi un verre d'eau d'apparence inoffensif mais qui pourtant contenait un somnifère digne de claquer le loup pré-pubère qui était en lui. Bruce, quant à lui, continuait de pester contre ce goss. Il aurait trouvé plus simple qu'il soit né humain et aurait alors procédé à sa transformation en vampire lui-même. Puis alors il aurait rencontré moins de rébellion ce qui lui aurait valut de bons points auprès de nos rois. Mais la vie est loin d'être un long fleuve tranquille, et c'était encore moins le cas des êtres de la nuit tels que nous.
Une fois le jet posé, je portais donc le gamin jusqu'à la Lamborghini noire qui nous attendait à sur la piste d’atterrissage. Bruce rouspétait encore, son gamin tenait très certainement son caractère de merde de lui, aussi impossible et chiant l'un que l'autre. Je passais vraiment une horrible journée, quel supplice de se les coltiner ainsi! Heureusement le trajet jusqu'à la demeure des Volturi's se passa sans encombres comme le gamin était complètement assommé et que son père avait enfin décidé de se la boucler. Il était pas trop tôt, j'en avais tellement marre qu'un pas de travers de l'un ou de l'autre m'aurait fait perdre patience et je n'aurais eu aucun mal à arracher leur cerveau en quelques secondes pour qu'ils se la ferment, je n'aurais même pas eu de problèmes avec les kings... Après tout j'étais le fils d'Aro, mon pouvoir leur était indispensable et il y avait encore pleins de loups qui erraient dans les forêts pour refaire nos recherches. Mais je n'eus pas à en venir aux mains, à mon grand regret... Ce fut de nouveau à moi de devoir m'appliquer à la corvée de transporter le louveteau suintant à souhait jusqu'à l'intérieur de la demeure. Mon dieu comme ça faisait du bien de rentrer enfin chez soi!
Dans l'immense hall on découvrit la fameuse secrétaire humaine fascinée par notre race et plus que désireuse de nous rejoindre définitivement. Elle était si niaise que je mourrais toujours autant d'envie de la vider de son sang... Elle accueillait un groupe de touristes chinois qui d'une part sentaient merveilleusement bons et d'autre part allaient avoir l'honneur d'être le repas des occupants de cette forteresse. J'espérais être rapidement débarrassé de ma corvée afin de pouvoir participer moi aussi au festin. Tenant toujours le gamin on alla vers elle, sous les regards curieux des touristes. Je laissais Bruse engager la conversations avec la secrétaire et surtout lui poser des questions sur notre programme. Je les écoutais d'une oreille distraite tout en laissant mon regard voguer sur les repas ambulants, jetant des sourires charmeurs aux jeunes demoiselles sentant l'excitation teinter leur sang d'un arôme bien doux... Suivant distraitement leur échange je finis par froncer les sourcils. Il semblerait que mon très cher créateur souhaitait s'entretenir avec Bruce dans le but qu'il lui fasse un rapport sur ce qu'il s'était passé pendant notre excursion, c'était surtout une raison pour lui remonter les bretelles pour son comportement. Oui, on ne pouvait rien cacher à Aro et je riais intérieurement des sermons qu'allait recevoir cet imbécile. Mais ce qui me fit pousser un soupir fut d'entendre que pour ma part, je me devais d'emmener cet énergumène aux cachots, de le réveiller avec ma douceur habituelle et d'agir en suite selon mon bon vouloir. Aro me dévoué sa confiance la plus totale, et il souhaitait que je sois celui qui entraîne le louveteau, celui qui le cantonne à notre manière de faire, chose qui était loin de plaire à Bruce qui avait espéré avoir cette mission de confiée.
* Too Bad* pensais-je avec un sourire froid tandis que Brucy me jetait un regard envieux. Je pris donc la direction des cachots non s'en avoir prévenu la secrétaire que s'il ne me restait rien à manger alors rien ne se passerait bien . Je pris donc la direction des cachots tandis que Bruce s'éloignait vers la salle des trônes en me jetant des coups d'oeil envieux. J'avais hâte d'en finir, mais je n'étais pas non plus du genre à bâcler une mission donnée par mon créateur. Tant pis si je ne me nourrissais pas de suite, je me défoulerais sur le louveteau. Je traînais le corps du gamin jusqu'aux cachots croisant plusieurs connaissance du clan qui pestaient de voir cet être dans nos murs, notamment Sulpicia, ma très chère soeur qui aurait arracher la tête du gamin en un dixième de seconde si son mari n'avait pas d'intérêt en ce cabot. Puis je passa enfin les portes immenses en ébène lourd des cachots, un sourire aux lèvres tant j'aimais cet endroit et tant j'y avais des souvenirs. Après tout j'étais le bourreau des Volturi's, l'utilisateur principal de cette pièce, celui qui en faisait un meilleur usage...
Je sanglais le loup au centre, cela ne me prit que quelques secondes accrochant les chaînes en argent solidement, elles pouvaient retenir des vampires, et avaient déjà maintenue au respect des loups, alors ce n'était pas un gamin ridicule qui allait en venir à bout. Puis j'entendis une plainte au loin, dans une cage suspendue, un homme, un humain.
"Oh, je t'avais presque oublié toi!"
Dis-je avec un petit haussement de sourcil. Il était une de mes victimes pour laquelle j'avais du mettre une pause à notre entrevue comme je me voyais assigné de la mission avec Bruce. En un dizième de seconde je me trouvais en face de lui, le sortant de sa cage et le laissant tomber au sol, souriant en appréciant la douce mélodie froide qu'émirent ses os faibles qui cassèrent sous le choc. Il ne ressemblait plus à grand chose avec ses os tordus dans tous les sens et ses anciennes blessures que je lui avais infligées... Par contre il lui restait du sang, légèrement teinté d'adrénaline... parfait, je crevais de soif. Je le vidais donc pendant que sa plainte s'étouffait petit à petit. Puis, une fois rassasié je marcha lentement jusqu'au gamin, les cris de l'homme l'avaient réveillé, apparemment le somnifère avait bien été dissipé. Ce n'était pas plus mal, je ne l'aurait pas réveillé très gentiment alors c'était peut-être mieux pour lui ainsi...
"Alors Nashoba, on est réveillé?" |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Dim 8 Sep - 15:57 | |
| Le vol à bord du jet priver continue sans vraiment de gros problème, étant donner que j'essaye de rester calme, même si la présence des deux sangsues n'arrangent rien. A plusieurs occasions, mon géniteur fit mine de venir s'assoir près de moi mais sûrement à cause de aux regard glacial que je lui lance et sûrement à cause de son compagnon, il resta à sa place, ce qui m'arrange très bien. Je trouve le voyage bien longtemps même si je ne sais pas vraiment calculer depuis combien de temps qu'on est monté dans ce jet. J'arrive tant bien de mal,à dormir un peu, de courte période de 15 20 mins avant de me réveillé en sursaut, regardant au tour de moi, avant de me redresser et laisser mon regard voler à travers le hublot. Puis on vient m'apporter un verre d'eau que je bois d'un coup, même si je me demande s'il n'y avait pas une drogue mais bon, je n'avais de tout façon pas le choix et puis j'avais soif. Au bout de quelques minutes, je m'endors dans un profond sommeil. Après un certain temps donc j'étais incapable de dire la duré, je sens qu'on me prend et me traine sur une longue distance, avant de me lâcher. Je sens qu'on enferme mes poignets, ainsi que mes chevilles, ma taille et mon cou dans quelques choses de froid. Alors qu'on me laisse tranquille, je commence à m'agiter assez fortement, gémissant très légèrement.
Cauchemar
Je me suis sur le chemin de la maison où j'habitais à Kanata. Apparemment Maman était venue me chercher à l'école, j'en étais ravie car cela n'arriva pas très souvent qu'elle puisse se libérer de son travaille. On marche tranquillement, je l'observe. C'est une très belle femme de taille moyenne au long cheveux noir nuit et au visage fin. Pour moi c'est la plus belle femme du monde, mais bon, c'est normal tout les gosses disent de leur mère. Soudain un homme s'approche de nous, commence à parler à ma mère, moi je n'y prête pas vraiment attention. Puis sans prévenir, l'inconnu force ma mère à le suivre. J'essaye de interposé, même si l'homme fait le double que moi en taille, et surement en poids. Mais pour une raison inconnue, je n'arrive pas à faire le moindre geste. Alors que je me débats de plus en plus, j'ai l'impression que je m'enfonce dans le sol. Je crie, je hurle, je me débat comme un diable alors que pendant ce temps là, l'inconnu commence à battre ma mère, à la mordre à plusieurs endroits. Alors que des larmes commence à couler doucement, en même temps que le sang chaud sur la peau de ma mère, l'homme s'approcha de moi. Je le regard s'approcher tout en préparant à lui sauter à la gorge, en faire de la bouillit sous les yeux de ma mère qui se voilent doucement.
Dans la réalité
Je me débats de plus en plus, puis je sens une présence à quelques centièmes de moi, comme un danger. Sans même réfléchir, je réveille et je me jette sur celui qui a le malheur d'être trop près de moi, cherchant à l'atteindre au niveau du cou; tout en laissant la colère m’envelopper et un pelage gris bleue me recouvre le corps. Mais je ne reste pas très longtemps sous ma forme loup, une violence douleur se fait sentir au niveau de la taille et du cou, empêche de respirer correctement. Je reprends ma forme humaine tout en étant plaqué violemment sur le sol par quelque chose. Je reprend doucement mes esprits, tout en clignant les yeux pour habitué à la lumière de l'endroit où je me trouve. Tout en regardant autour de moi, je m'essuie les yeux, j'ai apparemment fait encore un cauchemar même si celui ci était un peu différent de celui que je fais d'habitude. Je me trouve au centre d'une pièce assez grande et assez sombre. Mon regard fixa celui de la tapette, apparemment je l'avais attaquer mais je m'en fichais. Je l'observe, essayant de dissimulé les tremblements qui parcourent mon corps. Je reste silencieux, me demandant la raison pour laquelle je suis ici. Mon estomac se mit à faire de drôle de bruit, ce qui était normal puisque que je n'avais rien mangé depuis la dernière ronde que j'avais effectué avec les miens. Mais je ne dis rien, je ne veux pas manger aucune nourriture qui viendrait de chez eux, ne voulant pas être à nouveau droguer.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mar 10 Sep - 12:41 | |
| Enfin arrivé à destination, je ne sais pas si c’était le fait d’être en Italie ou dans la demeure Volturi mais j’étais de suite de meilleure humeur, à moins que ce ne soit l’idée de savoir Bruce passer un mauvais quart d’heure ? Mais il était certain que maintenant j’avais retrouvé mon inspiration, oui les cachots étaient mon terrain de jeu, mon petit havre de paix et de créativité… Et celui qui allait en subir les conséquences n’était autre que ce gamin de lycan. J’avais hâte de commencer, il ne comptait en rien pour moi et il fallait que je me l’avoue j’avais surtout envie d’arracher sa trachée à mains nues… Mais il fallait que je m’amuse avant et que j’essaie de mener à bien ce qu’Aro attentait de ce bébé gémissant. Je l’avais attaché et le pauvre petiot devait faire de mauvais rêves tellement son sommeil était agité et à quel point je sentais son sang s’exciter par la même occasion. Parfait ça le rendrait peut-être, je dis bien peut-être, plus intéressant. Je m’étais approché de lui pour fixer avec un sourire sadique son expression de peine, de rage et de haine. Il tenta de s’attaquer à moi mais je ne bougeais pas d’un cil, s’il pensait me surprendre il se mettait le doigt dans l’œil, j’avais eu à faire à tellement plus féroce et puissant que lui et jusque-là j’avais toujours été celui qui c’était le plus éclaté, les autres eux avaient fini éclaté à terre. Sous sa colère il tenta de se transformer en vain, les chaînes le maintinrent au respect, appréciant le craquement de ses os contre l’acier des liens.
Il reprend ses esprits, de mon côté je n’ai toujours pas bougé de ma place initiale, son attaque ne m’ayant pas affecté ni même touché grâce au lien je le regarde essayer de se repérer. Pauvre petit louveteau tout perdu, s’il savait ce qu’il s’était déjà passé ici, le nombre d’êtres qui ont rendu leur dernier souffle entre ces liens, le nombre de cris qui continuent encore de résonner entre ces quatre murs imposants, le sang à la fois sec et dur de mes anciens partenaires de torture mais aussi le sang frai des toutes récentes comme de cet humain dont je me suis nourri avant son réveil… Je reste accroupi en face de lui en attendant qu’il se calme ce qu’il finit par faire. Je retins un petit rire en entendant son estomac grommeler une chose qui ne manquait en rien de mon humanité, d’ailleurs rien ne me manquait de mon humanité, elle n’avait été que souffrance et tristesse, maintenant que j’étais devenu un vrai taré, psychopathe et sadique à souhait plus rien ne m’importait si ce n’est ma satisfaction personnelle. Une fois que j’eus de nouveau son attention j’ouvrais grand les bras :
« Benvenuti in Italia Nashoba. »
Un sourire vint s’installer à la commissure de mes lèvres alors que je me redressais et tirer sur une des chaines qui le maintenait pour qu’il ne soit plus plaquer au sol, il restait maintenu mais je préférais qu’il ait l’occasion de regarder autour de lui, après tout c’était peut-être le dernier endroit qu’il verrait de sa misérable existence. Tout dépendrait de mon humeur.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mar 10 Sep - 17:22 | |
| Je reste immobile, essayant de dissimuler les tremblements qui parcourt tout le corps. De toute manière, je ne sais pas faire grand chose attacher comme je l'étais. J'en profite pour jeter un œil sur mes chaines, je n'avais aucune chance pour m'échapper et puis ça m'étonnerait qu'il m'est amené dans cette pièce s'il n'était pas sûr que les liens puissent me retenir. La tapette n'était pas du genre à sous estimer ses adversaires, pas comme certain que je ne nommerais pas. Mon attaque "surprise" même pour moi, ne l'a pas fait bouger d'un centimètre et continuait à me regarder comme si j'étais devenus son nouveau jouet. Je ne mis seulement que quelques minutes à reprendre mon sang froid,si je peux dire puisque depuis la première fois que j'avais muté, ma température corporelle était de 43° et donc je n'avais jamais froid. J'en profite pour mieux regarder les alentours, je peux sentir plusieurs odeurs différentes,de sang frais ou moins frais,d'humain et malheureusement de beaucoup trop de sangsue au sang froid. J'avais l'impression d'être dans un centre de collecte de purin et de putois au même endroit. Et encore, je ne suis pas sûr que ça sente plus mauvais que cette odeur dégueulasse qui remplit l'aire. Là, je regrette d'avoir un odorat aussi développer qui l'était encore plus depuis que j'avais muté. Et j'ai comme l'impression que je vais devoir m’habituè à cette odeur car je risque de la respirer pendant un long moment. Vus que ça m'étonnerai qu'ils soient donner autant de mal pour me ramener pour me laisser repartir aussi vite. Mais au fait, je suis où? Aucune odeur d'arbre ou de plantes pour me renseigner de l'endroit où je me trouve, vus que je m'y connais en plante et arbre. Alors que je le fixe d'un regard glacial, la tapette ouvre les bras et me souhaite la bienvenue en Italie, avec un petit sourire au coin des lèvres. Je ne réponds rien, dissimulant mes émotions sous le masque que je porte depuis toujours. Je suis donc en Italie, super magnifique!! Si une opportunité se présente pour s'enfuir, je vais devoir trouver un moyen de prévenir mon cousin ou les Cullens pour qu'ils viennent me chercher car je ne pourrais rentrer sans la présence d'un adulte. Il faudra d'abord que je mette le plus de distance possible entre nous, donc ça voudra dire, que je devrais traversé un pays. De plus, je devrai sûrement leur donner un lieux de rendez vous coder dans le cas, la conversation ne serait pas écouter seulement par les bonnes oreilles. Je pousse un soupire en continuant à le fixer, je me redresse,attendant qu'il fasse quelques choses même si je sens que je ne vais pas aimer. Car je ne suis pas le genre soumit, ça non, c'est plus tôt le contraire et que je n'ai nulle attention de devenir leur petit toutou...
Dernière édition par Nashoba Black le Dim 27 Oct - 12:36, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Dim 6 Oct - 21:59 | |
| Bien qu'il essaie de faire de son mieux pour masquer les tremblements de son petit corps débile, je les percevais. Primo, ce n'était qu'un gamin, quoiqu'il lui soit arrivé il était impossible qu'il reste neutre face à une telle situation sinon il relevait plus de la robotique que de l'humain. Deuzio, je suis un vampire de plus de cinq mille ans, ce n'était pas un cabot de son espèce qui allait parvenir à me berner, et il était bien niais de penser que lui, un simple chiot d'une dizaine d'années, pourrait y parvenir.
Il tentait de se repérer mais encore une fois c'était vain et bête d'ainsi espérer. Bien que je lui ai souhaitais la bienvenue en Italie il ne semblait toujours pas faire le rapprochement avec les Volturis. J'hésitais entre lever les yeux au ciel de lassitude ou bien pouffer de rire face à sa niaiserie et son QI peu élevé. Je n'étais définitivement pas fait pour tenir la garderie de la demeure et comptais bien m'en plaindre une fois sortit des cachots... Je le laissais mariner un instant mais non, apparemment il était vraiment loin du compte, j'eus alors un soupire. Deux options:
- Soit ses proches ne tenaient pas suffisamment à lui pour lui avoir expliqué qui étaient les Volturis (monarchie de vampires), d'où ils venaient (les tous premiers, installés en Italie), comment ils se fringuaient (pour la plupart vintage sinon en majorité vêtu d'une cape en velours noir comme Bruce et Quentin un peu plus tôt) et donc participaient indirectement à ce kidnapping car sinon il serait un peu plus conscient de ce qui allait l'attendre.
- Soit, deuxième option qui me convient beaucoup mieux, il était vraiment trop con pour connecter ses deux seuls neurones et faire le rapprochement. Après tout c'était qu'un misérable gamin de onze ans, ils étaient tous bien bêtes de s'attendre à plus de sa part... Qu'il n'arrive pas à résoudre la simple équation: [Vampire + Capes noires + Yeux rouge sang + Italie + Badass = Volturis] me confirmait ma pensée.
Tandis qu'il me fixait je me redressais et fit de nouveau bouillir son sang distraitement, que ce soit dans son crâne tout comme dans diverses parties de son corps. L'entendant hurler, comment y résister? Après tout, même un vampire aurait eu du mal à sentir son venir s'agiter ainsi, j'ajoutais alors au dessus de ses jérémiades:
" Tu dois surement te demander ce que tu fais ici, crois-moi, si ça ne tenait qu'à moi tu serrais déjà mort depuis un bon moment, mais il semblerait que ton père, Bruce que tu as vu un peu plus tôt, et les boss Volturis, que tu n'auras jamais l'occasion d’apercevoir, prévoient un peu plus pour toi..."
Je ne voyais vraiment pas pourquoi je prenais la peine de lui adresser la parole, à lui, un gamin insignifiant et un toutou qui plus est. Je laissais de côté son sang, le laissant reprendre son souffle tout en baillant d'ennuie. Puis je m'entailla la paume gauche à l'aide d'une roche qui dépassait du mur, laissant mon venir s'écoulait doucement je le modelais avant que la première goutte ne touche le sol, formant une lame longue de plus d'une dizaine de centimètre, un lame bien sombre, dure comme fer et aiguisée à souhait. Jouant avec de ma seconde main j'apparus la seconde qui suivit derrière le loup, faisant passer ma lame derrière ses deux genoux, la sentant déchirer sa peau mais aussi couper finement ses tendons, appréciant le sang qui giclais à flot. Me déplaçant la seconde qui suivis je me retrouvas en face de lui, un sourire narquoi sur les lèvres en jouant de nouveau avec la lame tandis qu'il tombait à genoux ne pouvant plus tenir sur ses jambes. Soumis.
"Si ça ne tenait qu'à moi, on jouerait à ça en continue, et je me ferais un plaisir d'en finir avec toi une fois que tu m'ennuierais... En clair je t'aurais tué depuis un moment."
Ajoutais-je après un petit moment de réflexion. Je baillais de nouveau, franchement c'était l'une des victimes les plus ennuyeuse et barbante que j'ai jamais eu. Enfin quelqu'un ouvrit la porte du cachot et je vis entrer Bruce d'un air sérieux, il semblait embêté de s'être fait engueuler par les boss et mon sourire s'élargit d'autant plus.
"C'est pas trop tôt, tu veux pas t'occuper de ton gamin, sinon je t'assure que je vais le tuer dans la seconde, il est encore plus chiant que toi."
Ajoutais-je à l'intention de Bruce avec dédain et froideur sans jeter le moindre regard au gamin et sans même être gêné d'avoir rendu son fils dans un tel état. |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Lun 7 Oct - 20:22 | |
| Alors que j'attends une réaction de la part de mon interlocuteur, j'en profite pour réfléchir, aux raisons pour les quels qu'ils m'avaient emmener ici contre ma volonté? Je me souviens que Jake m'avait parler d'un clan de vampire était venu chercher le combat parce que soit disant, le clan des Cullen, avaient enfreint une de ses lois mais qu'en fin de compte, ils étaient repartit sans avoir livrer bataille. Alors que je suis entrain de réfléchir, je ressens une douleur inimaginable à travers tout mon corps, qui m'oblige à m’agenouiller. Je serre les dents, essayant de me concentré sur quelque chose, qui m'aidera à supporter cette douleurs. Quelques cris s'échappe de ma bouche, mais très vite, je fais en sorte que plus rien sorte, je ne dois pas cédè à la colère, et à la mutation car à cause des entraves qu'il m'a mit, j'aurai commencer à peine de muter que la douleurs deviendra plus puissant, donc ça m'aidera rien. Alors qu'il se semble se délecté de ma souffrance, il me dit quelques paroles, que mon putain de père et ses supérieurs ont des projets me concernant mais bon, pour l'instant, je m'en fout complétement, là, je suis légèrement occuper à essayer de ne pas muter et à ne lui donner plus de satisfaction, et croyez moi, c'est assez difficile. Après plusieurs minutes que me semble être des heures, la souffrance s'en vas aussi soudainement qu'elle est arrivé. Comme j'ignore de combien de temps de répit je dispose, j'en profite pour reprendre mon souffle, tout en gardant un œil sur mon bourreau de sangsue. Je le vois se mutilé la paume de sa main et puis à mon étonnement, son sang, au lieu de s'échappe par des goutes de sa blessure, se transforme en une sorte de lame d'une dizaine de centimètre et qui semble assez bien aiguisé. Bon, moi qui me posait des questions sur la manière qu'il se prenait pour me faire souffrir, je pense que j'ai la réponse, enfin je crois. Je me redresse difficilement, je veux lui prouver qu'il aura du mal à me faire rester à terre,très longtemps, tout en le fixant d'un regard glacial. Soudain, il se déplaça avec sa vitesse vampirise avant que je me rends compte, il se plaça derrière moi et planta sa "lame" de sang derrière de deux genoux. Je sens sa lame me trancher lentement sous les genoux, continuant jusqu'aux tendons et les tranchants. Je serre les dents en ressentant à nouveau la douleur, laissant une plainte s'échapper de ma bouche quand je m'écoule sous mon poids, m'obligeant à nouveau à m'agenouiller. J'essaye de lui donné un coup de poing qu'il esquive facilement et viens se planter devant moi, me nargué. Je me surprends grogner, ne prêtant aucune attention à ce qu'il dit, cette sangsue commence franchement à me taper sur les nerfs. S'il veut vraiment en fini, qu'il me détache et là, ça sera beaucoup plus intéressant. Mais nous sommes interrompu par l'arriver de mon connard de père, qui semble tirer une de ces têtes, comme s'il venait d'avoir passé un sale moment. La sangsue dénommé Shannon me laissa tranquille pendant un moment, allant parler avec l'autre buveur de sang. J'en profite pour faire une pression sur mes blessures, le temps que je cicatrise puisque depuis que j'ai muté, je cicatrise mille fois plus vite. J'essaye en même temps de poser ma respiration, afin qu'elle soit plus calme. Au bout de quelques minutes, le dénommé Bruce se dirigea vers moi, tout en commençant à me parler. Disant que j'allais devenir le premier loup à servir le clan et que j'avais intérêt de lui obéir, et lui témoigné du respect, étant donné qu'il était mon père. Je le fixe d'un regard sauvage et un léger sourire ironique se dessina légèrement au coin de mes lèvres, j'avais presque envie de rire, tellement que je le trouve pathétique. Attend, pendant près de 11 ans, il n'en a rien à fout de ma mère ou de mon existence et puis maintenant, il revient, il m'enlève contre ma volonté et me dit que je dois être super content d'être le premier loup de ses supérieurs. Euh attends là, je crois qu'il rêve éveiller car s'il pense qu'il a encore des droits sur moi après 11ans d'absence et avoir tuer ma mère, il se fout le doigts dans le cu et loin!! Je sais que Maman m'a transmit le sang d'Alfa, qui me donnerai le droit de crée ma propre meute mais bon, d'après ce que j'avais compris, ce sang d'Alpha était "endormi" et sans une bonne rébellion de suivre un ordre de mon chef de meute, cette partie d'héritage ne se réveillerai pas. Donc pour faire simple, je devrai me battre contre mon cousin et franchement, je ne vois pas qui pourrait m'obliger à le faire. Alors que je le fixe d'un regard glacial, je remarque quelque chose de familier, accroché à son cou. Après quelques secondes, je réalise que le vieux schnock qui est malheureusement mon géniteur avait un pendentif en forme d'une de tête de loup de profile sous le fond d'une pleine lune. Je savais que ce pendentif appartenait à Maman pour la simple raison que c'était moi qui l'avait fait, j'avais passé des mois à le faire, à le graver dans un morceau de bois. Je sens que la colère est là, prête à éclater mais je ne peux pas la laisser faire. Je jette un rapide coup d’œil à mes chaines, calculant la liberté qu'elle me donne. En même temps, les paroles de celui qui m'appris les arts mariaux," Si tu ne sais pas entrer dans l'espace de ton adversaire, trouve un moyen pour qu'il rentre dans le tien". Après quelques secondes de réfection , j'ai trouver un moyen mais bon, je risque de le sentir passé mais je m'en fout, je ne laisserai pas une minute de plus ce pendentif au cou de cette pourriture. J'essaye de me relever, apparemment les tendons de mes genoux avaient eut le temps de se guérir, même si une certaine douleur se faisait sentir. Tout en faisant face à Brucy et le fixant d'un regard ironique, d'une voix sans aucune intonation, avec une certaine ironique :
- Tu crois vraiment que je vais t’obéir pour la simple raison que tu es mon père? Alors que tu n'as pas su soumettre Maman?
Avant que j'ai pus ajouter quelques choses, je sens la peau de mon connard de père sur mon joue droite, mais cela ne m'empêche pas de continuer, tout en reculant légèrement :
- Alors je ne me suis pas trompé, elle t'a résisté jusqu'au bout, tu n'as pas sur le briser!
Je sens à nouveau une vive douleur sur ma joue droite, cette fois ci mais je ne prête pas attention, et tout en reculant légèrement, je continue :
- Et tu crois que tu brisera son fils? Tu n'en es même pas capable!!
Je ressens à nouveau une vive sur ma joue gauche. Tout en me hurlant de me taire, de baisser mon regarde, qu'il est mon maitre. Je ne prête aucune attention la douleurs, ni même à ses propos. Le sourire ironique ne quitta pas les lèvres, puis tout en reculant encore un peu, je termine :
- Je suis sûr que tu as toujours eu besoin d'aider !! Et encore maintenant!
Là, je l'avais vraiment foutu en rogne et tout en me donnant une paire de baffe, il me hurla dessus. Je recule encore de quelques pas, et puis le fixe d'un regard sadique, je me laisse tomber en arrière, tout en pliant les bras, dès que mes mains sont en contact avec le sol, je donner une impulsion dans mes bras et bondit sur mon géniteur, m’accrochant à son cou en croisant mes pieds derrière sa nuque. Puis sans lui laissez le temps de réagir, je lui arrache le pendentif avant de faire repartie vers l'arrière, comme pour faire une sorte de cumuler, tout envoyant Bruce volé à plusieurs mètres, enfin c'est ce que j'avais l'attention de faire mais le vieux schnock se dégagea assez rapidement, avant que j'ai fini mon mouvement et commença à me battre sans aucune retenue. Je m'en fiche, j'ai atteint mon but, le reste je m'en fout. Je sais parfaitement qu'il ne peut pas me tuer sinon il risque de passer de très mouvais moment. J'essaye de me mettre en boule et puis j'attends que Brucy se calme ou une réaction de la part de l'autre sangsue Shannon. Je garde précieusement le pendentif contre moi......
Dernière édition par Nashoba Black le Dim 27 Oct - 12:37, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Jeu 17 Oct - 18:53 | |
| Je le regarde tenter de ne pas muter, de se contrôler pour ne pas souffrir plus. Il avait l'air bien perdu et il était amusant de sentir son sang vibrer dans tous les sens sous la force de ses émotions. Je ne fais pas attention à son étonnement face à la forme que prend mon sang, j'étais bien trop habitué à voir cette expression sur le visage de mes autres jouets... Je sens bien que je l'énerve, ça s'entend à ses grognements de chiot inoffensif. Mais alors que j'avais envie d'ajouter du piment à ce petit meeting j'entendis au loin des pas précipités et lourds venant à notre rencontre. Quelques minutes plus tard voilà que notre fameux Brucy passait la porte sans aucune classe, aussi bourru qu'il l'a toujours été. Je savais que Bruce était loin d'être le plus malin des nouvelles recrues Volturis, mais alors là il faisait que de me faire honte, et ce depuis notre arrivée à Forks le matin même. Savoir que nos trois supérieurs lui avait fait part de leur mécontentement m'amusait, me distrayait mais entendre qu'ils souhaitaient que ce gamin inutile et chiant fasse parti de leur chenil m'énerva encore plus. Mes yeux rouge sang flamboyaient sous l'énervement, moi qui avait déjà prévu beaucoup pour la fin de l'enfant. Il faudrait que j'en dise deux mots à Aro...
"Sérieusement?! Il est chiant au possible ton gamin, t'arrives même pas à le cerner et je lui donne pas longtemps avant qu'il ne cherche à se barrer ou à planter ses petites canines dans ta gorge... M'enfin, c'est bon? Je peux me barrer maintenant? J'ai beaucoup mieux à faire."
Sans attendre de réponses, levant les yeux au ciel face à la niaiserie du père comme du fils, je me dirigeais vers la porte. Le gamin crachait des mots qu'il voulait surement violents à l'égard de son paternel, mais qui n'avaient ni queue, ni tête. Je me retourne et pousse un long soupire d'ennuie en entendant la tournure que prend leur échange plus que sympathique..
"Voilà. Qu'est-ce que je disais..."
Marmonnais-je en les voyant se battre, Brucy reprenant le dessus et se défoulant sur le gamin recroquevillé sur lui-même. Son sang giclait au sol, imprégnant son odeur nauséabonde partout... Je ne pus m'empêcher de penser qu'il faudrait que je ramène une petite dizaine de victimes humaines pour embaumer de nouveau mon petit boudoir favoris. D'un mouvement lassé de la main le sang présent à Terre s'éleva en colonne séparant la petite famille.
" Bruce, ton sort je m'en fous mais tu pourrais au moins attendre que je sois sorti de la pièce pour le tuer, j'ai pas envie qu'on m'accuse de ne pas t'avoir baby-sitté correctement."
Sous l'énervement, il voulu me frapper mais d'une poigne je saisis sa gorge et alla écraser son visage au sol, fendant les dalles, sentant sa mâchoire craquer sous la pression et appréciant la plainte qu'il laissa échapper. Mes iris étaient toujours animés de cette colère engendrée par mon énervement et leur comportement plus que déplorable.
"N'essaye même pas de me défier, tu sais à qui tu as à faire, tu sais que c'est bien bête d'oser y penser. Puis tu sais aussi, Bru-cy, que personne ne te pleurerait, toi, si tu manquais étrangement et du jour au lendemain à l'appel..."
Ajoutais-je avec un sourire en coin, faisant ainsi référence au vide qu'avaient connu les Volturis face à mon départ inattendu. Si je les tuais tous les deux seuls Aro me ferait une remarque quant à mon comportement qu'il ne connaissait que trop bien, mais je ne craignais rien de plus. Je le lâchais malgré tout. Il avait gâché mon envie de meurtre et c'était loin d'être une bonne chose tellement j'étais pour le coup en rogne. J'allais ensuite à la rencontre de son fils alors que Bruce avait des difficultés à se relever. Je vis l'enfant serrer quelque chose contre lui. Attrapant son poignet, le brisant aussi facilement qu'un biscuit sec tellement ma colère m'imprégnait, je vis alors un bijoux dans le creux de sa paume... Sérieux?! En plus d'êtres cons c'étaient deux folles qui se fightent pour un collier?! Avec un haussement de sourcils désespéré j'attrapais le collier et m'éloignais, détaillant le pendentif. M'adressant alors aux deux imbéciles je repris:
"Tout ça pour ça? C'est quoi cette merde d'abord... On va vraiment perdre du temps avec des conneries comme ça Bruce? Ils t'ont pas donné mieux à faire avec le chiot?"
Je ne hurlais pas, non, le ton de ma voix était glacial, plein de dégoût envers ces deux-là. M'adossant à une des tables de tortures je leur jetais un regard dur.
"Gamin, je vois bien que t'es qu'un enfant mais à ce point-là tu devrais avoir comprit que t'es pas prêt de partir. Alors essaie de faire preuve d'un minimum de maturité sinon je ne donne pas cher de ta peau."
S'il était intelligent il comprendrait le double sens de mes paroles. S'il voulait avancer alors il devrait fermer sa gueule, faire semblant d'être docile et alors Brucy, qui était assez con pour se laisser berner, baisserait sa garde. Là, c'était pas donné vu les actes du gamin qu'il capte, à croire qu'il voulait provoquer pour en finir rapidement. J'étais donc très loin de m'attendre à ce qu'il se calme, c'est pourquoi j'ajoutais en montrant le pendentif:
"Je garde ça en attendant que vous vous calmiez, sérieux n'essayez pas de me saouler sinon ne l'un ni l'autre ne pourra remettre la main dessus, okay?"
Ajoutais-je avec un grand sourire. |
| | | Nashoba Blackの SHAPE-SHIFTER の
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Ven 18 Oct - 12:21 | |
| Le dénommé Shannon ne mit pas très longtemps à nous séparer,avant d'en mettre une à Brucy qui fait mine de s'en prendre à lui. Moi, je m'en fous, j'essaye de respirer plus lentement ,tout en bougeant lentement mes muscles qui ont bien souffert. Mais bon, j'en avait l'habitude. Je ne prête pas vraiment attention à ce qui se passe entre les deux sangsues, je suis beaucoup plus attentif à vérifier si tout les os qui se sont cassé durant le combat, soient bien en place, afin qu'ils se ressoudent convenablement. Soudain, le buveur de sang blond, m'attrapa mon poignet dans lequel je tenais le collier et sans aucun ménagement, il me cassa le poignet. Il pris le collier et s'éloigna tranquillement, tout en nous parlant. Je ne le quittais pas des yeux, tout en serrant les dents. Quand il y fini de parler, je reste silencieux, contrairement à Brucy qui commence à parle,essayant de lui faire changé d'avis. Je n'y prête pas vraiment attention, je suis fatigué, j'ai faim et soif mais bon ce n'est pas vraiment important. Je m'éloigne d'eux, le plus possible, autant que me permet les chaines et je m'assois contre le mur, la fraicheur du mur, me fit un bien fou, calment légèrement la douleur que je sentais partout. J'en profite pour réfléchir à ce que je vais décidé, je n'avais pas vraiment beaucoup d'option, soit j'accepte de devenir leur toutou, soit ils me tuent. Mais mon sangsue de géniteur est une véritable menace pour les miens, car si j'ai bien compris son "don", il peut aller n'importe où sans qu'on puisse détecte sa présence. Si je n'accepte pas, rien n'empêche leurs chefs de l'envoyer à nouveau, un autre Black pour crée leur propre meute. Je sais que je ne suis pas le seul parmi la tribu, à avoir du sang Alfa, mais je suis celui qui a plus de risque de se réveillé. Sans même le regarde, je lui dit d'une voix glacial et sans aucune intonation :
- あなたが欲する、私が好きであるものでそれがそれ(誰ですか)がそうであるあなたであるとは彼を作る(彼女、それ)それ彼. (Fait en ce que vous voulez, je préfère que ça soit vous qui l'ait que lui.)
Je me suis exprimer en japonnais, c'est un langue que je maitrise assez bien et je ne veux plus m'adresser au vieux schnock, seulement à l'autre sangsue. J'ai remarqué que le dénommé Shannon est bien plus âgé que l'est l'autre connard et j'espère qu'il comprend ce que je venais de dire. Je me calme doucement, la fraicheur du mur m'aide à me calme, me font pensée aux moments que je passais en compagnie de Maman dans la foret, quand les bois étaient recouverts d'un manteau de neige. En même temps, je me masse légèrement le poignet qui s’auto-guérit. Je repense à la philologie des arts martiaux , notamment le judo et le tai chi, toujours essayé d'être le plus fluide dans toutes ses actions et nos mouvements. Un chêne se rompt sous les vents violant mais pas le roseau qui se plie sans se rompre. Comme le roseau, il faut s'adapter à chaque situation sans casser et sans se perdre. Je pousse un soupire et je regarde les deux sangsues sont silencieux, même si je devine assez facilement que Brucy est sous le point de péter son câble car apparemment il n'a rien comprit à ce que j'avais dit quelques temps au paravant. Tout en regardant devant moi, d'une voix toujours glacial et sans aucune intonation :
-私はあなたの一族に合流することに同意します。(J'accepte de rejoindre votre clan.)
J'entendis un léger grognement de la part de mon enfoiré de père. Je l'ignore totalement continuant en regardant droit devant moi et d'une même voix:
-私は他の畜生の教育(教授)を受けることを望みません。 もしそれが彼であるなら、あなたは私の何も得ないでしょ。 (Je ne veux pas recevoir l'enseignement de l'autre Trou du cul. Vous n’obtiendrez rien de moi si c'est lui.) Je laisse le silence s'installe, je suis parfaitement calme même si je ressens toujours de la colère tout en fond de moi, mais bon ce n'est que quelques petites vague sur l'océan. Apparemment, ce n'est pas le cas de Brucy qui explose m'ordonnant de traduire ce que je viens de dire. Il se dirige vers moi et lève la main comme pour me donné une baffe mais j'arrive à attraper sa main avant qu'elle me touche. Je le retiens durant quelques secondes, durant lesquels, je termine :
- シャノン どの. (Shannon dono)
Cette dénomination montrait qu'on avait un certain respect pour la personne. Et c'est ce que je voulais lui souligné. Car des deux sangsues se trouvant dans la pièce, c'est lui pour qui j'ai le plus de respect. Je baisse légèrement la tête sans pour autant quitter des yeux Shannon. Dans les art mariaux, ce geste signifier qu'on acceptait l'autorité de la personne en face du quel, on le fait. Je fini par lâcher mais n'eut pas le temps de paré la deuxième baffe qui me plaqua au sol. Je me redresse sans rien dire, regardant droit devant moi. Une deux minutes plus tard, une autre baffe me plaque au sol, mais comme la première, je l'ignore totalement......
Dernière édition par Nashoba Black le Dim 27 Oct - 12:38, édité 3 fois |
| | | Shannon B. Volturiの VOLTURI COVEN の
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Jeu 24 Oct - 20:39 | |
| Je récupérais sans ménagement l'objet de tant d'agitation. Une breloque sans valeur et bien banale à mes yeux. Je leur dis quelques mots, légèrement excédé par la scène et pressé d'en finir pour pouvoir aller m'occuper plus intelligemment et changer vite fait l'odeur dégueulasse de l'endroit. Bruce voulu répliquer, plaider sa cause pour que je lui rende le collier, je sentais bien qu’il comptait l’utiliser comme moyen de pression contre son gamin et préféra l’utiliser contre eux deux. D’un regard froid je lui coupais la parole et sifflant entre mes canines je dis :
« Ose m’interrompre encore une fois et ce gamin sera définitivement orphelin, c’est clair ? »
Mon regard se fit si dur que je sentis Bruce tressaillir et lorsqu’il opinait par peur mon expression changea du tout au tout pour afficher un sourire. Oui il m’arrivait plus que souvent d’être aussi lunatique. Je vis du coin de l’œil le gamin bouger pour aller s’adosser au mur, vu son gabarit c’est clair qu’il avait pris cher déjà je pouvais lui accorder ce moment de faiblesse et donc ne retira pas sur ses chaînes pour l’arrêter. Je continuais de parler tandis que Bruce voulu de nouveau me couper mais voyant mon expression changer de nouveau et cette soif de massacre si refoulée aujourd’hui illuminer mon regard il referma bien rapidement la bouche.
Je fus distrait par la voix du gamin qui prit de nouveau la parole mais cette fois en japonais. J’eus un petit rire face au regard neutre du loup et à la colère qui montait chez le paternel. Je compris ce qu’il me dit sans grande difficulté, après un millénaire et demi à explorer le monde les langues étrangères étaient loin d’être un problème pour moi, surtout le Japonais, le pays du soleil levant aux mets si exquis et au sang digne des plus grands crus existant sur Terre. D’ailleurs, l’entendre parler Japonais me donna envie d’y retourner et je me promis d’y refaire un saut une fois que les choses auront retrouvées un certain calme. En clair, fallait que j’en finisse avec cette histoire de famille et de chien de garde et après basta…
Alors que je me remémorais mes jolies victimes à yukata je fus sortie de mes pensées par Bruce qui commençait à s’emporter contre le gamin, apparemment mécontent de ne rien comprendre. Je soupirais de nouveau et adressa un sourire au gamin et lui répondant, moi aussi en japonais :
« もし私が彼を破滅させるなら、私はあなたが好むと確信していません。 » [Je ne suis pas sûr que cela te plaise si je le détruis.]
Je ne comptais pas le détruire, à moins qu’ils me poussent tous les deux à bout, mais déjà entendre le loup parler japonais me montrait qu’il allait essayer d’écouter un peu et de faire avancer les choses, ne pas rester entêter à s’opposer à tout le monde et finir par mourir sans avoir rien fait de bien dans sa vie. Lorsqu’il reprit de nouveau la parole pour dire qu’il acceptait de se laisser faire je faillis pousser un ‘Alléluia’ en plus de mon soupir de soulagement. Toute cette agitation pour rien, on m’avait vraiment fait perdre mon temps mais au moins on était parvenu à nos fins, manqué plus qu’à ce que quelqu’un s’occupe du morveux et je pourrais aller continuer ma petite vie tranquille.
Le gamin avait seulement une condition, tandis que son père devenait intenable de colère comme il était assez bête pour parler moins de langue que son fils, je fis abstraction de ses grognements fatiguant pour écouter la condition du loup qui était de ne pas être chaperonné par son paternel. Je fis une moue lassé. Ce n’était pas ma journée franchement. D’une part je pouvais comprendre le petit, après tout c’était loin d’être la relation père-fils rêvé, puis si Brucy s’en occupait on allait perdre l’un des deux au bout de quelques jours tellement ils ne pouvaient se piffrer ni l’un ni l’autre. Trouver quelqu’un d’autre était possible, mais sur cette mission nous n’étions que très peu au courant et l’un d’entre nous a subit mes foudres ce matin… En clair il ne restait que moi. Je poussais un second soupir, je n’aime vraiment pas les tâches ingrates et il en fallait bien plus pour attiser ma curiosité et mon envie d’enseigner plutôt que d’étriper, et pour le moment je restais encore un peu tiraillé entre les deux options…
Alors que je passais en revue les autres membres de clan qui pourrait s’occuper du loup Brucy alla s’en prendre au gamin, ce-dernier stoppa la première branlé et ajouta quelque chose qui me fit sourire. Shannon-dono, certes ça sonnait bien et ça faisait bien quelques siècles que ce titre honorifique ne m’avait pas été associé. Bien qu’il n’était pas des plus malin ce gamin s’avait si prendre, consciemment ou non, et il savait faire preuve de respect quand il se le devait, car au Japon il est bien connu qu’il ne faut pas prendre à la légère ses suffixes lourds de signification. Le signe de tête qui accompagna la parole fini par me convaincre, pourquoi pas lui laisser une chance, voir ce que l’on peut faire de cet enfant et au pire le tuer un peu plus tard s’il s’avère qu’il est vraiment chiant, ennuyeux et inutile ? Je repris donc en mettant le collier autours de mon cou :
« もちろん » [Pourquoi pas…]
Puis la seconde qui suivit je retins le bras de Brucy qui allait de nouveau s’abattre sur le garçon et sans lui accorder un regard je lui dis d’une voix froide :
« Comme tu peux être susceptible petit Brucy, si tu n’as pas compris c’est que tu es un imbécile, chose dont tout le monde est au courant. Je vais m’occuper de lui, dis au boss que je prends la relève et que je les tiendrais informé de l’évolution de la chose. Ah et encore une chose… Dis-leur bien que je vais faire les choses à ma manière et que si ça tourne mal alors il faudra aller un chercher un autre plus robuste. »
J’avais dit cette dernière phrase avec un sourire sadique, je savais que Aro verrait de suite à quelles méthodes je faisais allusion, c’était ainsi que j’avais forgé les meilleurs, notamment mes propres vampires. Mais il y en avait aussi beaucoup qui avaient rendu l’âme…
Je relâchais Bruce qui voulut s’attaquer de nouveau au gamin mais je l’en dissuada d’un regard. Il finit par partir nous laissant seul. Ce fut une fois que les portes furent refermées que je lui ôtais d’une main ses chaînes et reprit d’une voix qui ne laissait pas place à la moindre réponse :
« Que ce soit bien clair, je sais bien que tu n’as pas plus envie de rejoindre notre clan que moi j’ai envie de m’occuper de toi, je ne suis pas bête tu auras toujours ce désir de rentrer dans ta petite forêt boueuse de Forks, mais pour le moment t’es là alors apprend ce que tu as à apprendre et après on verra ce que tu deviens. »
Je m’éloignais alors pour le laisser se dégourdir un peu, il avait beau être loup il était certain que contre un vampire de mon âge et face à mon don il ne pourrait pas faire long feu, j’espérais qu’il l’avait suffisamment compris pour ne pas faire la connerie. Je sortis une clope de ma veste et m’en alluma une avant de lui demander :
« A ton avis pourquoi on t’a emmené ici ? Puis pourquoi toi plutôt qu’un autre ? »
Il n’était pas encore apte à commencer l’entraînement, j’aurais peut-être du demander à Brucy de ramener une gamelle d’eau et quelques croquettes… On verra ça plus tard. Je tirais sur ma clope et fronçais les sourcils :
« Au fait c’est quoi ton nom déjà ? Je crois qu’il m’a échappé… »
Je ne cherchais même pas, ce n’était pas le genre d’infos que j’avais dû trouver intéressante pour la garder en mémoire.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Ven 25 Oct - 21:42 | |
| Je me laisse faire, je n'ai nullement l'attention de répliquer et puis j'avais "accepte" l'autorité de l'autre sangsue. Je ne suis pas comme semble être mon enfoiré de père, quand je dis quelque chose, je le fais et encore plus quand je m'exprime en japonnais. Je dois beaucoup à cette culture mais surtout à celui qui me l'avait apprise. C'est grâce à cette personne que je n'avais pas mal tourné. Quelques temps après que Maman a sut que le beau père me battait, elle m'avait inscrire à un cours de judo, donné par un vieux japonnais. Seulement après quelques cours, le vieux maitre avait sentit que j'avais trop de colère en moi. Il a commencé à me prendre à part et m'appris à canalisé cette colère. C'est ainsi qu'il m'a appris le japonnais, sa philosophie et sa culture. Au bout d'une année, le vieux maitre m'a dit qu'il n'avait plus rien à m'apprendre et que le reste, je devais l'apprendre seul. Avant de partir, il m'offrit un gros livre tout jaunis, qui contenait la plus part des différences techniques de différent art mariaux, ainsi que sur la médecine chinoises. Il ajouta qu'il l'avait reçu de son propre maitre et qu'il savait que j'en étais digne. Le lendemain, j'appris qu'il était mort durant la nuit. Depuis ce temps, son livre m'a toujours accompagner. Pour moi, le japonais est en quelques sorte une langue sacrée et que laquelle, j'ai un immense respect et apparemment le dénommé Shannon en connaissait les valeurs qu'elle renferme, puisqu'il empêcha mon connard de géniteur de me battre à nouveau, en lui disant qu'il allait s'occuper de moi et qu'il prévient leur chef. Brucy n'a pas très heureux en entendent que je ne serai pas sous ses ordres et il sortit de la pièce, tout en grognant. Je ne lui prête aucune attention, regardant l'autre sangsue qui avait mit le collier de ma mère, mais bon je m'en fout, tout ce que je voulais, c'est qu'il ne soit plus autour du cou de l'autre. Dès que celui ci eut claqué la porte, mon nouveau "maitre" me dit qu'il n'était pas tomber dans le panneau à propos de ma volonté de rejoindre leur clan. Tout en m'enlevant les chaines et puis il recule, sûrement pour me laisse me dégourdir. Je reste silencieux, souriant légèrement. Je me faisait pas beaucoup d'illusion à ce qu'il croit mes propose, surtout que même si je voulais vraiment, je ne pourrai pas, à moins de me rebeller contre Jake. Apparemment, j'avais vu juste, mon nouveau "maitre" n'était pas dans la même catégorie de mon enfoirée de père, mais nettement supérieur. Après m'être relever et avoir fait quelques pas, j’eus envie de muté pour retrouver cette sensation que je ressens à chaque fois que je suis sous ma forme loup, que je ne sais expliqué. Mais aussi pour voir si je ne pouvais pas joindre un membre de la meute afin de les rassuré. Au bout de quelques secondes d'hésitation, je décide de ne pas muté, car certain de mes os n'étaient pas encore solidifier et on m'a fait dit d'éviter de muté tant que mes os n'avaient pas fini de se solidifier. Je m'étire prudemment et doucement tout en écoutant la question de la sangsue me pose. Je ne réponds pas toute suite, car je ne connais pas vraiment la raison, même si j'en aie une petite idée. Au bout de deux trois minute, d'une voix froide et sans aucune intonation ou on pouvait sentit aucune crainte :
- Les Volturis voulaient leur propre meute mais je ne sais pas pourquoi. Et comme il n'y a que les descendants des Black qui ont du sang d'Alfa, ils ont pensé que comme la couille moelle de géniteur, est des leurs, ils leur seraient plus facile de me faire joindre leur clan, vus que un descendant direct des black par ma mère. Ils se sont trompé.
Je pousse un soupir, avant de terminer en disant, toujours d'une même voix :
- Nashoba, Ça signifie Loup en amérindien. Peut être parce que ma mère savait que j'en étais un , je ne sais pas. Je laisse le silence s'installer. Je n'ai pas vraiment peur pour l'entrainement qu'il compte me fait subir car je suis prêt à tout pour devenir plus fort afin d'être capable de tuer mon salopard de père. Plusieurs minutes passent ainsi puis sans prévenir, Shannon sortir de la pièce. Je vais m'assoir contre le mur froid en face de la porte, et je ferme légèrement les yeux. Je sens que je suis fatigué, j'aurai besoin de dormir mais la faim m'en empêche et puis je ne sais quand le vampire voudra commencer l'entrainement. Soudain, j'entends des bruits de pas, qui s'approche et étrangement ce n'était pas ceux de Shannon. Je reste immobile mais tout en étant prêt à réagir car je me doute que Brucy ne va pas lui laisser échapper ainsi, même si l'autre buveur de sang avait été assez claire à ce sujet. Quelques instants plus tard, je vis un vampire inconnu entré et me dire qu'il vient sur l'ordre de Shannon, celui ci veut qu'il me conduise à une nouvelle pièce où se déroulerait mon entrainement. Je ne réponds rien, trouvant cela un peu étrange car d'après ce que j'ai pu voir, il semble que ce cachot lui appartient car il semble avoir ses affaires et puis il me l'aurait dit avant de partir? Mais tout en réfléchissant, je sens l'odeur nauséabonde ( l'endroit en était remplit, là c'était plus fort, si on peut dire) de mon paternel. Je me révèle et je prends une position qui permet d'attaquer et de défendre en même temps. Je n'ai nullement l'attention de le suivre et même si c'est bien sous l'ordre de l'autre, je n'ai rien à foutre. Mon instinct me dit que c'est un piège et je n'ai pas l'attention de tomber dedans. Le vampire inconnu bondit sur moi, j'arrive à esquive, tout en tournant sur moi même et donnant un puissant coup de pied. Mais je n'arrive pas à être aussi rapide qu'en temps normal, le buveur sang, attrape ma jambe et m’envoie va valser à plusieurs mètres. Je n'ai pas le temps de me relever qu'il m'attrape par le poignet et me fait un clé de bras et m'oblige à me relever en me tirant par le peau du coup. Une fois début, je remarque que mon enculé de père juste devant moi. Je serre les dents et je le regard d'un air glacial. Brucy me regard en me souriant d'une manière sadique et sans même prévenir me donne une raclé qui m'aurait mit au tapis si l'autre vampire ne tenait pas fortement. Il commença à me parler de mère, de la manière qu'il s'était amusé avant de la tuer. Son calvaire avait durée plusieurs heures. il termina en disant que ce n'était qu'une putain car si elle lui avait simplement dit où je me trouvais, elle n'aurait pas souffert ainsi. En même temps,que mon enfoiré de père parle, il pose la main sur l'épaule de l'autre buveur de sang, et immédiatement, je vois la scène sous mes yeux, comme si j'avais été présent. Je vois ma mère torturé pendant des heures, refusant de révéler où je me trouve, ou même répondre à la moindre de ses questions me concernant. Je me débats comme un beau diable, mais quand je vois ma mère rendre son dernier soufle, je pousse un puissant cris de rage et sans vraiment savoir comment je fais, j'arrive à me dégager et je commence à me battre, je ne sens plus la douleur, je n'entends plus rien, je n'ai qu'un objectif,c'est de me débarrassé de l'autre sang froid et de m'en occuper une fois pour tout de mon géniteur. Au bout d'un certain temps que je ne sais pas vraiment dire la durée, je me retrouve sur les épaules du vampire inconnu, sa tête entre mes jambes et alors que je m’apprête à le décapité, j'entends crié "止まってください(逮捕してください)" ce qui signifie "Arrêter"
Inconsciemment, je relâche mon adversaire et je recule de plusieurs pas, tout en reprenant mes esprits. Je découvre Shannon à l'entré qui semble d'être assez énerver. D'une voix froide et sans aucune intonation mais où on peut sentir que une certaine surprise :
- シャノン どの? (Shannon dono?)
Je reste immobile, reprenant peu à peu mes esprits, en revoyant en pensée ce que ce qui s'était passé durant les 5 minutes précédentes car je ne sais pas comment j'ai fait pour me retrouver sur les épaules du vampire inconnu sans que je mute. Au bout de quelques secondes, je m'écoule par terre, mon corps est trop épuisé pour me tenir debout. Alors que je suis totalement perdu, des très fines larmes se forment aux coins de mes yeux que j'essaye de retenir, ainsi que les tremblements qui parcourt mon corps
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| | | Shannon B. Volturiの VOLTURI COVEN の
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Jeu 31 Oct - 14:28 | |
| Je ne prêtais aucune attention aux bougonnements de Brucy alors qu’il se dirigeait d’un pas lourd en direction de la majestueuse porte du cachot. Il m’avait suffisamment énervé, je n’avais pas envie de lui accorder une seule minute de plus de mon attention. Je rangeais le collier pour qu’il n’engendre pas de nouvelles émeutes et pour qu’on puisse passer à autre chose. Enfin. Je me retrouvais donc seul avec le gamin, une part de moi souhaitait toujours jouer avec lui, ça c’était la partie taré et complétement dénué de raison de ma personnalité, tandis que l’autre part, la plus mature, acceptait de l’entraîner, de le prendre sous mon aile, de voir quel était son potentiel et surtout de juger s’il était digne ou non d’un tel apprentissage. Si ce n’était pas le cas il encourait une mort plus que certaine. Je le laissais se redresser, jamais je n’avais porté d’intérêt ou d’attention à l’âge des personnes, je pouvais aussi bien torturer un vieux, qu’un adulte, qu’un nouveau-né, alors il ne m’avait pas effleuré l’esprit que ce gamin, qui devait tout juste avoir une dizaine d’années, et un peu plus de mal à récupérer ou à capter. En même temps, j’espérais pour lui qu’il était plus mature que la norme, après tout il avait eu des conneries dans sa vie, le seul côté positif à ses hauts et ses bas c’est que ça forge un putain de caractère. Bon après tout dépend des épreuves connus au court de sa petite existence, mais j’espérais que là-dessus non plus il ne me décevrait pas. Ou plus, car leurs crêpages de chignon entre lui et son paternel étaient loin d’être signe de maturité. Je me concentrais sur le flux de son sang, c’est fou comme cela m’était à nu la personne, lorsqu’il bouillait, lorsqu’il accélérait, ralentissait, sautait… Il n’était pas à l’aise ici, pas besoin d’être devin pour le deviner, et il devait surement se demander s’il devait se transformer ou pas, quoi de plus normal après avoir été enchaîné, mais il ne le fit pas.
« Il vaut mieux que tu t’abstiennes de te transformer en toutou pour l’instant ça m’embêterait de devoir moi-même te calmer cette fois. »
Il avait beau être loup, son énervement le transformait, son flux sanguin, lorsque ce précieux liquide rouge lui montait trop vite au cerveau, chose avec laquelle je pouvais faire mumuse. Je me rendis alors compte que c’était très certainement pour cette habilité qu’Aro souhaitait que je m’occupe moi-même des lycans… Mais c’était plus ennuyant que de les calmer à force d’affaiblissement… M’allumant une clope je commençais à le faire travailler sur la réflexion, il n’était en état pour l’entraînement physique alors autant ne pas perdre de temps et tester son mental. Voir comment il réfléchissait et réagissait. Après tout il avait beau avoir eu ce beau discours japonais, j’avais beau respecté grandement cette culture et ses préceptes, je n’étais pas prêt de pardonner s’il ne les appliquait pas à la lettre. Il était temps d’évaluer son respect, sa manière de répondre, de réagir, de faire et alors je verrais si oui ou non je restais dans cette pièce à lui apprendre quelque chose ou si au contraire je l’envoyais à la fosse. Je doutais de l’environnement dans lequel il avait grandi vu sa manière de parler en comparaison à son âge, je n’étais pas choqué mais faillit bailler ou soupirer. J’ai failli de nouveau céder lorsqu’il partit dans toute une explication quant à la signification de son prénom.
« Je t’ai simplement demandé ton prénom, pas de me romaniser le tout. »
Ajoutais-je tout simplement sans état d’âme, de la même voix neutre qu’il m’arrivait souvent d’adopter. Pour le moment ce n’était pas gagné, j’étais déjà ennuyé. Puis un chuchotement parvins à mon oreille. Mon prénom prononcé par personne d’autre que mon créateur. Je levais les yeux au ciel et sans prêter la moindre attention à la loque canine je sortis de la pièce pour me retrouver la seconde qui suivi aux côtés de mon créateur.
« J’aime ta ponctualité Shannon, une des facette de ton comportement qui m’avait manqué pendant ta petite escapade… »
Aro, il trônait au centre de la pièce, me fixant avec un sourire, faisant référence à ces soixante années que j’avais passé loin de tous et de Volterra.
« Comment se passe l’entrevue avec notre petit loup ? »
J’eus un petit rictus avant de lui tendre ma main.
« Pourquoi ne pas voir par toi-même. »
D’un simple contact Aro eu une vision entière de ce qu’il s’était passé depuis notre arrivée à Forks. Je ne pris pas la peine de m’excuser pour ce nigaud de nouveau-né, ni même pour les traitements accordés à Bruce et son gamin. Je ne reflétais pas la moindre once de culpabilité, je m’en foutais royalement voilà tout.
« Je vois qu’il t’énerve… mais je vais devoir te demander de faire avec, tu sais bien que tu es l’un des rares à avoir ma confiance, pourquoi t’aurais-je pris sous mon aile dans le cas contraire ? Je sais que l’on peut aller plus loin avec cette enfant-loup, alors tâche de l’entraîner du mieux possible, même si tu n’y accorde pas la totalité de ton attention et de tes capacités, ça sera déjà parfait. Évites de le tuer ça m’ennuierait de t’envoyer en chercher un deuxième… »
J’eus un petit rire froid. C’était bien simple à dire… J’opinais, après tout je n’avais aucune envie de retourner dans ce taudis pour aller chasser le chien puant.
« Bien, je te laisse donc y retourner. »
Il m’adressa un rictus que je lui rendis. Je me retournais donc en direction de la porte, lassé mais sachant que si Aro me le demandait alors je me devais de faire un minimum d’effort, je le lui devais bien. Alors que j’allais passer les porte en chêne j’entendis sa voix m'interpeller de nouveau :
« Oh, et Shannon… »
Je me retournais donc une seconde fois en direction de mon créateur poussant un léger soupir sachant que ce qui allait ajouter risquait de m’importuner un peu plus.
« Si tu pouvais éviter de le faire trop saigner, tu sais bien que notre très chère Sulpicia est légèrement à cran ces temps-ci, polluer son atmosphère ne nous aidera pas … »
Nous eûmes tous deux un petit rire amusé, elle était son épouse, je la considérais comme ma propre sœur et la connaissais presque par cœur. Il est vrai qu’il aurait été amusant de la voir piquer sa crise mais il y avait aussi un risque qu’elle abîme mes cachots en solde… Je venais d’ouvrir la porte lorsque des images vinrent se loger dans mon esprit. Des images montrant notre petit Brucy mettre fin à la vie de son ancienne compagne. Ce don n’était autre que celui d’Ed l’un des meilleurs potes de Bruce et pourtant tout aussi inutile. Là je ne pus m’empêcher de lever les yeux au ciel. Me retournant vers Aro je dis dans un soupir :
« Je vais essayer de garder le petit vivant mais si Bruce n’arrête pas de faire des siennes c’est pas dit qu’il foule encore le sol bien longtemps. »
J’entendis Aro ajouter qu’il fallait que je me limite sinon il se retrouverait bien rapidement avec la moitié du clan en moins, j’esquissais un sourire et la seconde qui suivit je me retrouvais dans les cachots. J’assiste à un combat entre le gamin et les deux vieux et ne peut m’empêcher de soupirer :
« Voilà, vous me l’avez énervé. »
Je le laisse se défouler, ça ne lui fera pas de mal, ni même à Ed qui se prenait la raclé, il n’avait qu’à pas suivre les conneries de Brucy. Je restais donc quelques instants à regarder adosser à l’encadrement de la porte, puis regardant ma montre et l’état des intéressés je finis par lui demander de s’arrêter. Il se calma de suite et s'affala a terre. Ed se retrouva lui aussi à Terre, se tenant la gorge, Brucy quant à lui voulu mettre un pain à son gamin. J’empoignais son poing et lui chuchota à l’oreille dans un feulement menaçant qu’il m’était rare d’utiliser, je lui dis quelques mots, le sentant se raidir par la peur, baisser les yeux, tenter vainement d’ôter sa main de ma poigne tandis que je la refermais faisant craquer ses os, continuant de lui chuchoter à l’oreille et le sentant se décomposer. Après quelques secondes je le relâchais et le vit reculer en titubant me regardant d’un air apeuré.
« Maintenant dégage avant de te faire dessus et de bousiller encore plus cet endroit. Et emmène ton chéri avec toi sinon je ne donne pas cher de sa peau. »
La seconde qui suivit, ils avaient tous deux disparut. J’aspirais longuement avant de me tourner vers le lycan que j’avais quelque peu oublier. Je le vois trembler, je le vois commencer à pleurer et je fronce les yeux en réaction. Le soulevant d’un bras je lui dis d’un ton qui n’imposait aucune réplique :
« N’essaye même pas de sombrer maintenant pour si peu. Tu t’attendais à quoi. Aller on va essayer de te remettre un peu sur pied avant que tu finisses dans les vapes. »
Je l’entraînais à ma suite, le soulevant presque tellement il était petit, il était désagréable de sentir la chaleur inhumaine de son grain de peau, je n’aimais pas ça mais m’en moquais en même temps. On avait suffisamment perdu de temps avec les deux imbéciles il fallait maintenant qu’il retrouve des forces. Je ne le menai pas à ma chambre, que très peu y avait accès, mais à une seconde pièce dans laquelle je recevais quelques proies mieux choisies et avec lesquelles je passais plus de moments privilégiés. En y entrant la pièce baignait de lumière faisant briller ma peau mais je n’y prêtai pas la moindre attention. Je le laissais devant une table sur laquelle trônaient de nombreux plats, de nombreux mets de toutes régions du monde et autres breuvages. Je lui servis notamment un verre d’eau.
« Si tu veux devenir plus puissant il te faut déjà retrouver des forces alors même si ce que tu as vu ne t’as pas plu, mange. »
Ajoutais-je en désignant les mets d’une main lasse. M’asseyant sur une autre table me servant moi-même un verre, sortant une nouvelle cigarette n’ayant pas pu apprécier la première…
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Jeu 31 Oct - 21:20 | |
| La sangsue s'occuper de mon connard de père, je n'en ai rien à foutre. Je suis trop occuper à essayer de calmer ma respiration mais surtout à essayer de comprendre comment j'avais pu réussi à tenir tête à deux buveur de sang froid sans muter? Ce n'est pas parce que les images qu'on m'avait en tête ne m'avait pas foutu dans un colère noir, puisque j'en ressens encore les sensations, elle est prête à me recouvrir. Alors quoi? Qu'est ce qui m'avait empêcher de muter? D'après ce que je savais, c'est la colère ou la peur qui fait qu'on mute, et la, rien, nada. Ça ne m'est pas venu à l'esprit. C'est comme si la partie "loup" que je ressens quand je me transforme, s'était réveillé dans mon corps humain. Je ne vois que ça comme explication, enfin si on peut appeler cela ainsi. Alors que je m'interroge sur ce qui s'est passé, celui dont j'ai accepté l'autorité, me souleva en me prenant par l'avant bras, il me dit que je ne dois même pensé à sombrer, qu'on allait faire en sorte de me remettre sur pied avant que je perde connaissance. Je ne répond rien, je ne suis pas du genre à reste très longtemps par terre et puis s'il fait référence à mes yeux humides, ce n'est vraiment pas ce qu'il croit, je n'allais pas me mettre à pleurer, ça fait longtemps. C'est plus tôt des larmes de rage, car je ressens encore une telle frustration que j'en ai des fourmis dans le bras. J'aurai bien aimer qu'il me laisse lui en foutre un bon petit pain. Je le suis tant bien que mal, tant que le dernier combat m'a épuisé, qu'il devait presque me porter. Il m’emmène dans une pièce qui était baigné par la lumière, où se trouve de la nourriture de plusieurs pays différent. Tout me servant un verre d'eau, il me dit que je dois manger pour devenir plus puissant, même si je n'avais pas aimer ce que j'avais vu. Je reste silencieux, vidant le verre d'une traite, tellement que j'avais soif et je me sers une bonne assiette de pâtes et de viande. Après quelques bouché, je m'arrête et je jette un coup d’œil sur la table, à la recherche de quelque chose bien en particulier. Ne trouvant pas ce que je cherche, je ferme les yeux et je fais confiance à mon odorat pour trouver ce que je cherche. Je me lève et je me dirige vers une petite commode, que j'ouvre et je prends une carafe et un verre, avant de retourner à la table. Je le regarde tout en versant un verre de sang qui apparemment venait d'être tirer et je vais me rassoir. Je n'aime pas être le seul à manger et puis je dois bien m'habitue à voir ce genre de chose, donc pourquoi pas commencer toute suite. Je termine assez rapidement mon assiette et je m'en resserve une deuxième, sachant qu'il n'y touchera pas donc et puis c'est lui qui m'avait dit de manger. Je ne me remets pas toute suite à manger, après quelques minutes d'hésitation, d'une voix sans aucune intonation : - Est ce que c'est vous m'avez empêcher de muter quand je me suis battu avec les trous du culs?
J'avais besoin de savoir car je n'avais rien sentis, aucune pression. Si ce n'était pas lui, alors ça voulais dire que j'ai une sacré "colère" en moi pour avoir réussit à tenir contre ceux deux enfoirés sans me transformer. Je mange quelques bouchées, avant de continué :
- Je veux qu'il paye ce qu'il a fait, qu'il souffre et surtout qu'il ait dans son regard, cette peur qu'il avait en partant. Pour ça, je suis prêt à tout.
Le silence s'installe pendant quelques minutes. Pour la première fois de ma vie, je veux faire souffrir quelqu'un, entendre ses cris de douleurs, entendre ses os se cassé, supplier et j'espère que Shannon m'apprendre comment on s'y prendre. Car durant le dernier combat, j'avais sentis une sensation bizarre que j'avais ressentit un ou deux fois, une sensation agréable, comme on ressent quand on prend du plaisir à faire quelque chose qui n'est pas très gentil. Je le regarde à nouveau et d'une voix toujours sans aucune intonation :
-Pourquoi avez vous accepter de vous charger de moi? Vous auriez très bien put me laisser à la petite bite, malgré ma demande.
Je termine ma deuxième assiette, avant de terminer :
- Comment je dois vous appeler? Maitre?
Je reprends encore une petite assiette et je me ressert un autre verre d'eau, que je vide de nouveau d'une traite. Je termine mon assiette tout en attendant une réaction de la part de mon interlocuteur...
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mer 27 Nov - 8:31 | |
| Le louveteau était encore gaga, n’arrivant pas à remettre en place ce qu’il lui était arrivé, mais je ne lui prêtais pas attention m’occupant plutôt de ceux qui me saoulaient le plus à l’instant présent c’est-à-dire les deux vampires les plus imbéciles et inutiles de Volterra. Une fois que je m’en fus débarrassé je pris le temps de tourner la tête vers Nashoba toujours aussi béat. Je réprimais un soupire en devant le porter pour qu’il tienne debout, le traînant derrière moi pour l’entraîner à ma suite. Il avait déjà suffisamment foutu le bordel dans ma cours de récréation ce n’était pas le moment qu’il continu d’y foutre son odeur insupportable.
Il suffisait que je me réfère au fourmillement de son sang dans ses veines pour comprendre qu’il avait encore les nerfs, normal, c’était pas l’une des plus sympathiques journées pour lui. Quoiqu’il en soit ce n’était pas mon souci car c’était aussi loin d’en être une pour moi… On arrivait enfin dans la pièce m’amusant de la grimace que faisaient mes compères sur le passage du loup, dissuadant d’un regard ceux souhaitant se jeter à sa gorge pour venir à bout de cette misérable menace odorante. Je le lâchais sur un siège lui imposant un verre et d’une voix n’appelant à aucune réponse lui dit de manger. Je m’assois à mon tour un peu plus loin jetant un regard aux différents mets présents sur la table, me rappelant ceux que j’avais pour habi-tude de manger du temps où j’étais humain, c’est-à-dire très peu de chose présente sur cette grande table, notre pauvreté de l’époque ne pouvant nous permettre de goûter de tels plats. Mais la nourriture était en rien ce qui me manquait le plus de mon temps d’humain, rien ne me manquait, si ce n’est deux personnes particulièrement chères à mes yeux. Je chassais rapi-dement cette pensée, me concentrant de nouveau sur les faits et gestes du loup. Celui-ci cher-chait quelque chose en particulier, chose que je déduis à ses coups d’œil furtifs. Il n’allait pas commencer à faire le compliquer tout de même, il y avait ici de quoi nourrir tout un régiment, de la nourriture qu’il n’aurait jamais les moyens de se payer, des choses tellement diverses telles qu’il n’en avait jamais imaginé, alors non ce n’était pas le moment de faire la fine bouche. J’allais prendre la parole quand je le vis se lever. J’eus un petit sourire en regardant ce qu’il fit, me servir un verre de sang. Bonne initiative je mourrais d’envie d’arracher la gorge d’une jolie demoiselle.
Je ne pris pas la peine de le remercier, je ne remercier jamais personne sauf ceux que je pensais dignes de mon attention. Il lui fallait encore faire beaucoup pour arriver à ce niveau. Il se rassit et entreprit de continuer son repas, pour ma part je sirotais lentement le sang présent dans la coupe, il était tiède, loin d’être aussi exquis qu’arraché du corps de son propriétaire… Mais j’allais m’en contenter pour cette fois, je me rattraperais ce soir, me trouverais de quoi passer du bon temps et me rassasier un peu plus.
Il reprit la parole et je redéposais mon verre avec un soupir d’impatience, ces jurons de gamins me fatiguaient et je savais que je n’allais pas pouvoir le supporter bien longtemps alors je commençais par le lui faire remarquer :
« Tu seras prié de surveiller un minimum ton langage, si tu veux insulter utilise de vrais insultes pas des mots sorti de la cours de récré compris ? Sinon je sens que ça va rapidement me fatiguer. »
J’eus un petit rire las, voilà pourquoi je n’étais pas doué avec les gamins. S’il voulait qu’on s’entende il lui faudrait faire preuve d’un peu plus de maturité. J’adorais moi-même jurer, mais les bonnes vrais injures, celles qui ont du sens et qui sont dites avec le ton qu’il convient, non pas d’un ton aussi las et neutre que cela. J’étais sûr d’une chose, ça ne m’embêterait pas de le former la dessus, j’avais un joli lexique à lui proposer. Malheureusement mon travail ne consistait pas en cela. Je pensais alors à sa question et eu un petit rire. Il ne savait donc vrai-ment pas ce qu’il s’était passé, j’en fus en rien étonné. Et je repris alors la parole pour lui ré-pondre, jouant avec le sang restant dans mon verre, le faisant se modeler en diverses formes.
« Non, ce n’était pas moi, j’aurais trouvé plus amusant que tu te transformes personnellement, ça n’aurait pas été une grande perte. Mais ici tu es à Volterra, même si les trois frères semblent avoir quelques projets pour toi il n’empêche pas qu’ils t’arracheront le crâne si tu touches de trop près à leur pions. Tu ne leur es pas encore suffisamment indispensable pour t’en sortir indemne. »
C’était un simple avertissement, à prendre ou à laisser au moins je l’avais prévenu on pourrait pas me reproché de ne pas l’avoir fait plus tard. Je réprimais un petit rire en l’entendant re-prendre la parole. J’avais ressenti la même chose à l’égard de mon propre paternel alors que j’étais bien plus jeune que lui. Au moins cette colère lui servirait à quelque chose, le mènerait loin et le rendrait peut-être un peu plus intéressant. J’opinais simplement, ça ne m’étonnait en rien qu’il ressente autant à l’égard de l’assassin de sa mère. Mais il était bien trop gentil pour devenir un vrai tueur, il avait encore trop de monde auxquels il tenait pour s’élever à un niveau acceptable. Son regard montrait, qu’il le veuille ou non, sa gentillesse profonde. Certes il voulait faire du mal à Bruce, mais il n’était pas prêt à faire du mal à des innocents, à tuer ses proches et ça ne changerait pas. J’en avais entraîné suffisamment pour le savoir. Mais je ferais avec, je l’avais déjà fait, que ce soit un vampire ou un lycan ne changeait en rien la chose.
Il me demanda ensuite pourquoi j’avais accepté de le prendre en charge, j’eu un nouveau rictus, me resservant un verre de sang avant de répondre :
« J’étais loin d’être partant crois-moi, et j’imagine que tu l’auras deviné. Mais vu la relation que tu as avec ton père je pense que l’un ou l’autre n’aurait pas fait long feu. Aro n’aime pas perdre du temps, il aime que les choses soient bien faites et rapidement. Il me connaît bien, il sait que je ne suis pas du genre à perdre mon temps avec des éléments inutiles. Puis je lui de-vais bien ça. »
J’eus un petit rire, après tout ça faisait un moment que je n’avais pas fait ça pour Aro, j’avais du temps libre et bien que j’aurais aimé le passer à autre chose cela me donnait une raison pour rester un peu plus longtemps dans la forteresse. Sinon je savais que je serais très certainement reparti. Je repris donc entre deux gorgées de sang :
« Donc je m’occuperais de toi, au moins tu es sur que tu sortiras changer de cet entraînement, c’est par contre à toi de voir si tu en sortiras vivant ou pas, j’ai un tempérament très particulier, le pire des Volturi’s comme on s’amuse à me le dire, tu seras prévenu. »
Il me demanda alors par la suite comment il se devait de m’appeler. Je faillis m’esclaffer lors-qu’il proposa maître. Cela faisait bien longtemps que l’on ne m’avait pas nommé de la sorte, mais c’était loin d’être ma nomination favorite. Je réfléchis un instant:
« Ce qui est sur c’est que pour le moment tu n’as en rien le grade et l’importance de simple-ment Shannon. Tu es japonais, pourquoi ne pas partir sur un suffixe japonais. Sama est peut-être un peu trop neutre, puis une seule personne m’a nommé ainsi et j’aimerais que cela reste ainsi. »
Ajoutais-je avec un sourire amusé en me souvenant de mon dernier passage au Japon… Je me laissais une minute pour réfléchir à un suffixe qui me plairait puis je me souvins qu’il avait déjà employé Dono. Oui, pourquoi pas… Maître en japonais sonnait de suite beaucoup mieux.
« Et pourquoi ne pas rester sur le dono comme tu l’as employé plus tôt ? Qui sait si tu sais être digne de mon entraînement peut-être que cela évoluera avec le temps… »
J’en doutais fort, mais si c’était le cas alors cela voudrait dire qu’il aurait attisé ma curiosité. Chose que très peu de personne avaient réussi à faire jusqu’à ce jour, ces quelques personnes étant les rares comptant pour moi aujourd’hui. Au fond de moi il me tardait de commencer, je savais que l’on commencerait par le combat, il avait les nerfs à vif ici, c’était ce qu’il fallait. Mais il était hors de question que je le laisse se transformer. Après tout s’il voulait être efficace ce n’était pas sous sa forme lourde et indiscrète de loup qu’il y parviendrait. Il me faudrait lui apprendre à se contrôler… ça n’allait pas être une partie de plaisir pour lui mais j’étais sûr que j’allais pour ma part bien m’amuser. Reste à savoir si je l’entraînais ici ou si l’on allait dans l’une de mes demeures pour ne pas être importuné par les mauvaises ondes des imbéciles… A voir ce que désirerait Aro… |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Dim 8 Déc - 22:43 | |
| Je termine mon assiette en attendant une réaction de la part du dénommé Shannon, qui ne tarde pas à me reprendre sur mon vocabulaire, ce qui me fait sourire légèrement. Ça me rappelle la rencontre avec celui qui allait m'apprendre les arts marteaux, qui avait été assez sympas, enfin cela dépendait du point de vus qu'on prenait car à l'époque, je ne l'aurais pas qualifier ainsi. Ma mère avait découvert que depuis quelque temps, mon beau père me battait Je m'étais mis à devenir brutal, irrespectueux, à vite prendre la mouche. Maman m'avait amené le voir, c'était un vieux maitre japonnais. Le cours commença de façon habituelle pendant quelques minutes, avant que le maitre demande un gradé de me prendre et de me défouler car j'avais trop de colère contenu pour apprendre quoi que se soit. Le gradé m'amenait dans un coin, et il commença à me cherche. Je me retenais pendant deux trois minutes avant d'explosé de rage, à taper n’importe ment, essayant de le visé sans y parvenir. Après une heure, durant laquelle je m'étais défoulé, le vieux maitre s'approcha de moi, me disant que ce n'est pas parce que j'ai hait un être ou quelque chose, que je dois me montrer irrespectueux en vers ceux qui m'entourent, car en faisant cela, c'est moi qui met m'a baisse à leur niveau et je gaspille mon énergie de façon inutile. C'est le vieux maître qui m'appris que lors qu'on décide d'appeler quelqu'un avec certain suffixe bien précis,c'est qu'on montre un certain respect, qu'on trouve une certaine résonance, qu'elle soit conscience ou pas et qu'on accepte son enseignement. Et dès lors, toute forme d'irrespect, signifie qu'on perd toute dignité et honneur des autres par rapport à nous mais le pire, c'est surtout par rapport à nous même.
Il continua que mon paternel est pour l'instant intouchable car contraire à moi, il avait encore plus valeur pour leurs chefs, ce qui n'était pas mon cas. Je ne suis qu'un louveteau, je ne suis rien. Mais j'ai bien l'attention de changé assez rapidement cette situation et pour cela, je suis prêt à tout.
Je n'ai nullement l'attention de m'excuser pour le langage que j'avais utilisé précéda ment car les excuses sont pour les faibles et je préfère lui monterai par les actes que j'allais être attentif au langage que j'utilise et montrer ainsi, tout le respect que je lui dois, puisque que c'est moi qui l'ai appeler en premier "Shannon Dono". Je le fixe du regard, en baissant légèrement la tête, une manière de dire que j'avais compris. J'attends une réaction de la part du vampire, tout en étant attentif à mon environnement. Je sens légèrement la fatigue me gagner car malgré le fait que j'avais dormit dans l'avion, je n'avais pas récupérai du dégalage horaire, de plus, je n'avais dormir que deux trois heures les deux nuits d'avant. Je ne prête pas vraiment d'attention, préférant me concentré sur les voix qu'on entend depuis la rue, surtout la langue. Je n'ai aucune notion d'italien mais j'espère que je pourrai aussi apprendre quelques mots.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Lun 6 Jan - 15:11 | |
| Ce qui me gênait chez ce Nashoba, mis à part le fait que ce soit un louveteau puant, était son manque d’éducation marquant et dérangeant. Après tout j’avais près de 1500 années d’existence, bien que moi-même je n’étais pas des plus respectueux et employant un langage approprié je savais faire preuve de respect envers ceux qui le méritaient et qui m’étaient supérieurs, même s’ils n’étaient pas nombreux. Chose que ne semblait pas avoir capté le louveteau et qu’il lui faudrait remédier, voilà pourquoi je lui fis la remarque, pour qu’il change cela, sinon il allait devoir se passer de mes services. Je le lui fis comprendre et j’espérais qu’il avait compris message car je me montrerais moins clément au prochain dérapage. Il ne s’excusa pas, encore une preuve d’irrespect qu’il devait prendre pour de la détermination. Il se mélangeait, il était jeune c’était normal. Il fallait qu’il se rende compte de la place qu’il occupait, qu’il s’en rende compte et qu’il reste à sa place justement. Qu’il cesse et qu’il apprenne pour ensuite pouvoir employer les mots qu’il désirait, et alors ça serait un vocabulaire plus mature, du moins j’espère. Il se contenta d’un signe de tête pour me montrer son accord et je soupirais, il commençait à m’ennuyer et je dus prendre sur moi pour ne pas l’envoyer valser et aller m’occuper d’autre chose. Nous restâmes un instant silencieux, la fatigue se lisait sur son visage, mon dieu qu’il était faible… Je poussais un nouveau soupir avant de désigner négligemment d’un signe de tête un sofa au fond de la salle. « Si tu es trop épuisé prend le temps de te reposer sinon on avancera jamais et tu n’apprendras rien. Je n’entraîne pas les inattentifs, autant que tu retrouves tes esprits et tes capacités sinon tu ne survivras pas à mon entraînement. » Oui je comptais ne pas l’entraîner de la même manière que mes autres élèves, ou plutôt victimes, il avait un niveau beaucoup moins important, j’aurais pu mal le prendre qu’on me l’ait assigné d’ailleurs, mais il était particulier comme il était un loup. Je lui préparais donc un entraînement spécial, plus soft, bien sûr des combats, mais aussi travailler sa concentration, sa colère, le contrôle de lui-même qu’il ne semblait pas du tout avoir assimilé. Sa pauvre mère devait se retourner dans sa tombe en voyant ce qu’était devenu son fils… S’en rendait-il compte ? Ou fermait-il les yeux, préférant se voiler la face en pensant qu’elle aurait été fière de lui ? Fière qu’il ait ainsi réagi ? Fière qu’il ait ainsi parlé ? Fière qu’il ait ainsi perdu ce qu’il était vraiment ? Je ne la connaissais pas, mais je pouvais être certain que ce n’était pas ce que désirait une mère… Je finis mon verre avant de m’en resservir un, puis réprimant un autre soupir je lui adressais de nouveau la parole : « Sinon, si tu t’en sens la force, et si tu ne penses pas perdre de nouveau bêtement la tête, tu peux m’en dire plus sur toi, ton histoire, on pourra peut-être avancer un peu. » Je m’en foutais royalement, mais il était toujours intéressant d’entendre les recrues parler d’eux-mêmes. Le ton qu’ils em-ployaient, la posture, la manière de conter les choses, la manière d’être, de dire et de faire, voilà ce que j’analysais, voilà ce qui me permettait de savoir à qui j’avais à faire et ce que je pouvais prévoir ou non pour cette recrue. Pour l’instant je ne voyais rien de bien intéressant, il semblait déterminer, okay, mais c’est loin d’être un tout… très loin… |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mer 22 Jan - 22:05 | |
| J'attends une réaction de la part de Shannon, tout en étant attentif à ce qui se passait autour de moi. Je lutte pour ne pas m'endormir car cela fait presque deux jours que je n'ai quasiment ne pas dormir sans conté le décalage horaire. Et ce n'est pas le petit somme que j'avais fait dans l'avions qui aurait rattrapé mon manque de sommeil. Au bout de quelque minute, il me désigne un sofa au fond de la salle en me disant que si j'étais trop fatigué, je devrais aller me reposer car je n'apprendrai rien et qu'on n'avancerait pas. Je reste silencieux, j''hésite un peu pas parce que je ne veux pas aller me reposer mais surtout, j'ai un peu peur de muter durant mon sommeil. En effet depuis que j'avais muté, il m'arrive de muter durant mon sommeil, pourquoi? Je n'en ai aucune idée, peut être parce que sous cette forme, je me sens plus en sécurité que sur ma forme humaine. Alors que j'hésite, il me demande que si je n'ai pas l'attention d'aller me reposer, si je pouvais lui raconter un peu mon histoire. Je ne réponds pas toute suite, je ne suis pas très doué pour parler, en général et encore moi sur moi. Après quelques minutes, tout en m'étirant, d'une voix glacial et sans aucune intonation :
- Après que ma mère ait été violée, elle a rejoints la ville de Kanata. C'est là que je suis né. Quelques mois après, Maman s'est mit avec un homme. Celui-ci est devenu mon beau père. Après quelques années, voyant que ma mère ne tombait pas enceinte, il a commencé à me battre. Je le laissais faire à condition qu'il ne fasse pas de mal à celle qui m'a donné le jour. Quand j'eu 11 ans, ma mère est morte et je suis parti vivre chez mon oncle. C'est à ce moment là que j'ai muté. Le reste, vous connaissez.
Je laisse le silence s'installer à nouveau pendant quelques minutes avant de me lever et me diriger vers le sofa. Je me couche sur le coté, de telle sorte que la sangsue soit dans mon champ de visions. Je ne mis pas longtemps à m'endormir. Un certain temps plus tard, je me réveil enfin, reposer. Apparemment je n'ai pas muté durant mon sommeil ce qui est une bonne chose car si j'ai bien deviné, je ne vais pas pouvoir muter quand ça me plait ou quand je suis sous le coup d'une émotion, ça serai plus tôt le contraire. Je risque d'avoir un peu de mal mais bon, depuis que je suis tout petit, quand j'ai un adjectif à atteindre, je fais tout ce qui est possible pour l'atteindre.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Sam 1 Fév - 22:43 | |
| Il me semblait qu'on n'avait pa beaucoup depuis l'affrontement dans les bois, le comportement du loup me saoulait, cette soi-disant mission que l'on m'avait assignée me saoulait, en clair je sentais mon énervement monter de plus en plus. Mais je savais que si je refusais de le prendre en charge alors il serait mis sous la charge de son père qui était rien de plus qu'un vrai connard, et les pères-connards et salaups je connais. Puis ça aurait fait trop plaisir à Bruce. Il se serait pavaner à avoir sous sa garde le louveteau que j'ai refusé... Donc je décidais de prendre sur moi quelques temps. Si vraiment je m'ennuyais trop alors je n'aurais plus qu'à me défouler sur l'imbécile ou alors le tuer et dire aux trois frères d'aller se trouver un autre poilu... J’essayais de calmer mon ennui en lui demandant de m’en dire un peu plus sur lui comme il ne semblait oser aller se reposer. Je ne vois pas pourquoi je lui avais posé cette question, j’en avais strictement rien à carrer et vu son comportement ce n’était pas gagné. J’écoutais d’une oreille discrète mais son ton sans aucunes émotions me dégoûta d’écouter un peu plus. Avait-il ne serait-ce qu’un peu aimé sa mère pour en parler aussi froidement ? Enfin, ce n’était pas mon problème, mais s’il ne se respectait pas lui-même et sa famille alors sa mise en scène précédente n’allait pas lui servir beaucoup. Je n’ajoutais rien et il se décidait d’aller se coucher. Je continuais d’avoir un certain contrôle sur son sang pour qu’il ne se transforme pas. Je chuchotais quelque chose et la seconde qui suivi quelqu’un frappa à la porte. Je me levais donc et laissa le louveteau seul dans la pièce dormir. A la porte se trouvait Alexey, un sourire moqueur sur le visage : « J’étais persuadé que tu allais nous ramener sa dépouille, ou alors refuser catégoriquement la demande de tes soi-disant patrons… » Je soupirais pour le couper, je savais sur quel sujet il allait s’avancer et ce soir je n’étais pas d’humeur à débattre de liberté. Je savais bien ce que c’était pour lui de vivre ici, mais je ne savais toujours pas ce que je voulais alors je ne pouvais que lui demander d’être patient et savais qu’il le serait. Comme toujours. Je me frottais le front avant de lui jeter un regard sévère : « Hey, déjà te moque pas de moi, puis ouais j’ai hésité à refuser, mais tu me connais, j’aime les challenges. » Ajoutais-je avec un sourire sadique avant de lui demander de faire attention à ce que personne ne rentre le temps que j’aille me trouver quelque chose à grignoter. J’avais envie, besoin, de me défouler sur quelque chose. Heureusement on m’avait bel et bien gardé une délicieuse touriste de côté. Je ne pris pas la peine de la descendre à la salle de cachot et m’occupa de suite d’elle dans une des salles annexes de la forteresse. Sa peur lui donna un goût exquis et je pus me défouler quelque peu ce qui ne me fit pas de mal. Je relevais ma tête de sa gorge pâle à son ultime soupir, l’état de la pièce était déplorable. En même temps fallait s’y attendre avec moi, mes vêtements étaient imbibés de sang. Je me rendais alors dans ma chambre, me passa un coup, enfilais de nouveaux vêtements propres, puis redescendais en direction de la salle où j’avais laissé Alexey et le loup. Mon frère était adossé à la porte et attendait patiemment en pianotant sur son portable. Je lui demandais si Brucy n’avait pas fait des siennes pendant mon absence mais apparemment il avait comprit la leçon. « Pas de Bruce en vue, par contre une de tes conquêtes te cherchait, j’ai dit que tu avais bien trop à faire pour t’occuper d’elle. » Ajouta-t-il avec un sourire sadique, alors que je laissais échapper de faux « ah-ah ». Je n’aurais pas été contre retrouver une de mes maîtresses, ça m’aurait distrait un instant, mais bon, plus vite je m’y mettais, plus vite je me débarrassais du loup. Je tapotais l’épaule d’Alexey lui permettant de retourner aux côtés de sa belle étant donné que je sentais son parfum sur lui puis je rentrais de nouveau dans la pièce m’installant à la même place où j’étais précédemment. Boire cette petite humaine m’avait fait du bien, certes je n’étais toujours pas au meilleur de ma forme mais c’était déjà ça. J’avais réussi à garder mon influence sur le sang du loup pendant tout ce temps, chose qui ne m’étonnait plus désormais. Quelques heures plus tard voilà qu’il se réveillait, je le laissais se redresser un instant avant de me lever à mon tour et de lui dire en montrant d’un doigt ce qu’il y avait sur table : « Prend un truc à grignoter et suis-moi, on s’y met maintenant. » Sur ces paroles je partais en direction de la porte, le sentant me suivre j’avançais au travers des différents couloirs de la demeure, descendant des étages, parcourant quelques autres couloirs, finalement je ne le menais pas aux cachots, il allait juste réussir à me pourrir l’odeur de ma pièce favorite. Je décidais plutôt de le mener à l’une des salles d’entraînements que possédait la forteresse. J’ouvrais la double porte et le laissais entrer avant de refermer la porte. La seconde suivante j’étais au centre de la pièce, entouré de quatre piliers de roche dure et grise. Je l’invitais à me rejoindre avant de lui dire : « Maintenant voyons voir ce que tu vaux gamin sans ta transformation. Essaie de me toucher. » Ça lui était impossible, du moins pas tant qu’il ne s’avait pas se contrôler, je continuais de faire en sorte qu’il ne se transforme pas, ça ne me demandait pas d’effort, mais étant donné mon âge, je n’aurais pas besoin de lever le petit doigt pour éviter la moindre de ses tentatives. Tout ce que je voulais c’était qu’il se dépense et qu’il se rende compte par lui-même qu’en effet il n’y parviendrait pas, qu’il réfléchisse au pourquoi. |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mar 4 Fév - 20:31 | |
| J'attends une réaction de la part du dénommé Shannon, me doutant qu'on allait sûrement commencer l'entrainement. Le buveur de sang me conseilla de prendre quelque chose à grignoter et de le suivre. Je prends vite un gros morceau de gigot et je le suis. On marche pendant plusieurs minutes avant d'arriver devant une double porte qui donne sur une immense salle. Je rentre en observant la salle qui est totalement vide, mise à part de quatre piliers en pierre grise au centre de la salle. Après avoir refermer, il se mit dans la seconde qui suit, au centre et me mit au défit d'essayer de le toucher sans avoir recours à ma partie animal. Je reste silencieux, je me doute bien que je ne suis pas capable de le toucher, surtout grâce à la vitesse que lui confère sa nature mais aussi grâce à son expérience. Je me doute également qu'il m'empêchera de muté grâce à son don. Au bout de deux trois minutes, je commence à essayer de le toucher après avoir fait un léger mouvement de tête, en fixant le sangsue. Au début, je ne fais pas vraiment attention à ce que je fais, j'ai trop besoin de me dépensée, afin d’évacué la frustration que je ressens toujours depuis ma dernière interaction avec mon enfoirée de Père. Après deux trois heures, je commence à me calmé, à faire plus attention aux mouvements que je fais, je ne cherche pas vraiment à le toucher mais plus tôt à ce que mes coups se reproches plus de lui. J'essaye de rester fluide dans mes mouvements mais se n'est vraiment pas facile. J'essaye de ne pas trop pensée, de laisser plutôt mon instinct guider. Le mental aime tout contrôler, ne laissant aucune liberté à l'instinct, à l’inconscient de s'exprimer et ainsi de ne pas être à cent pour cent de ses capacités. J'essaye aussi de garder à l'esprit l'image d'une mer calmer afin de ne pas muté même si je sais que Shannon m'en empêche. Mais bon, ce n'est vraiment pas facile car quand j'arrive à ne plus pensée, l'image d'une mer calmer s'éloigne et quand l'image est bien net dans mon esprit, le mental revient au galop. Mes mouvements deviennent plus lent, pas à cause d'une fatigue quel contre, bien que ça fait plusieurs heures que nous avions commencé l'entrainement mais juste que parce que je remarque que ça ne sert strictement à rien et que je gaspille mon énergie inutilement. Je me souviens d'avoir lu un livre d'un maitre d'art martiaux qui disait que de faire des grands mouvements très rapides dans le but de toucher son adversaire, ça ne servait à rien , à part brassé de l'air mais par contre si on met toute notre énergie en faisant des mouvements plus petits et plus lent, sans se préoccuper du but, le résultat sera totalement différent, les mouvements deviendrons d'eux même plus rapide car cela voudra dire qu'on est en harmonie avec les énergies qui nous entourent. Si quelqu'un venait à pénétrer dans la salle, il aurait pu croire que j'étais en train de répéter une série de kata de plusieurs arts martiaux , malgré le fait que j'avais un adversaire réel, mais Shannon se déplace comme une ombre, esquivant le moindre de mes mouvements, quelque soit l'angle utilisé. Je dois avoué au début, ça m'énervait chaque fois un peu plus quand je pensais enfin l'atteindre et que je le voyais esquiver, glisse mais fur et à mesure que les heures, cet énervement se transforme doucement en amusement , et en jeux simple. Je me souviens d'avoir lu que si on veut connaitre une personne, c'est en se battant contre cette personne. J'ai bien envie de penser que c'est vrai même si pour l'instant je ne le comprends vraiment mais je commence à comprendre la raison qui m'a poussé à l'avoir appeler " Shannon Dono ", car pour une raison que j'ignore, il me semble me comprendre. C'est la première fois que je ressens autant de plaisir à me battre. Un léger sourire se dessine aux coins de mes lèvres et malgré le fait que je suis couvert de sueur, que j'ai une soif de malade, l'idée de m'arrêter quelques minutes pour prendre une petite pause, ne me travers pas l'esprit. J'espère être capable de lui montrer qu'il ne perd pas son temps en m'entrainant.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Ven 21 Fév - 12:15 | |
| On allait enfin pouvoir se défouler, lui comme moi en avions besoin. Enfin pour le moment c'était plutôt lui qui allait réellement le faire comme je lui proposais de m'attaquer et d'essayer de me toucher. Pour que le combat reste un minimum juste je n'utilisais pas la totalité de ma force vampirique ni même de ma vitesse, sinon j'allais le déprimer. Bien qu'il ait dormi il restait une boule de nerfs ambulante et ça ce vit beaucoup au début comme il se jetai sans trop réfléchir, pour le coup même pas besoin d'être un vampire pour esquiver, il suffisait de maîtriser les secrets des arts martiaux pour deviner et feinter ses tentatives. Easy. Et je m'y attendais, non seulement à cela mais aussi au fait qu'il n'ait pas digérer l'embrouille avec son paternel. Pour cette première partie je n'attendais rien de lui, je voulais juste qu'il laisse s'évacuer une partie de sa colère pour ensuite lui donner des conseils. Et qu'enfin il laisse tomber ce masque ridicule et chiant de gamin trop sérieux et trop con pour se mettre à fond dans ce qu'il faisait. Il ne laissait transparaître que de la froideur, ne savait-il donc pas que le jeu d'expression est tout aussi primordial? En tous cas mieux valait pour lui qu'il arrête de faire sa diva sinon j'allais le laisser en plan sans aucuns états d'âmes. Ouais je sais je ne parlais plus de le tuer car je pouvais pas le laisser mourir sans assouvir sa vengeance, je me m'étais à sa place, en tant qu'humain je ne vivais que pour tuer les salops qui avaient torturés, violé et tué ma Katya ainsi que ma mère, mais aussi et surtout pour mettre un terme à la vie de mon connard de salopard de père de merde.
Il était bien bête de m'être autant de temps à m'attaquer, certes deux-trois minutes pouvait n'être rien pour certains mais cela était pour moi un signe de manque de motivation et d'intérêt, il était déjà lassé le pauvre chou? Bin qu'il fasse gaffe et qu'il s'y mette sinon ça n'allait pas le faire longtemps. J'en arrivais même à me perdre dans mes pensées et à laisser mon instinct s'occuper du reste, les yeux dans le vague et ce pendant plusieurs heures. Ce n'est qu'après tout ce temps qu'il liait la réflexion aux gestes. Pas trop tôt. Car bien qu'il ai eu un précédent entraînement il n'empêchait qu'il lui restait pas mal de travail avant de pouvoir laisser l'instinct faire le travail pour lui. Pour le moment il lui fallait faire marcher son petit crâne et bosser sérieusement, à moins qu'il n'en ai pas vraiment envie et pour le moment c'était la mauvaise impression qu'il laissait passer.
Je remarquais donc qu'il tentait de préciser ses gestes sans pour autant chercher vraiment à me toucher. Là on allait vers quelque chose! Comme je l'avais pensé plutôt il avait réfléchis et voilà qu'il laissait son instinct lui indiquer quoi faire. Comme quoi fallait bien passer par la réflexion... Mais il vient tout gâcher par son manque de motivation, ses attaques, si on pouvait appeler ça comme ça, se faisant plus lentes, apparemment il n'avait pas capté l'intérêt de la chose. J'avais définitivement affaire à un gamin imbu de lui même, fier, con certes, et sans trop d'intellectuel. Comme ça allait être long ... Il n'y mettait pas suffisamment d'énergie, même s'il n'atteignait pas son but au moins l'énergie montrait qu'il ne laissait pas tomber.
Ce n'est qu'après quelques heures supplémentaires qu'il y mit un peu du sien. Et bin voilà on allait peut être en tirer quelque chose de ce mioche. Il laissa un peu tomber son visage de gamin constipé et qui se la pète pour céder à l'amusement. Car c'est ce que c'est. Un combat, un entraînement n'est en rien une corvée, il va en apprendre, s'il fait sa tête de con jamais il n'apprendra, s'il s'en délecte alors il prendra plaisir et fera plus attention à l'enseignement, les informations utiles et si complexes à déceler de tout ça. Le principal c'est qu'il avait enfin une partie de l'attitude que j'attendais de mes apprenants. Je le laissais continuer quelques temps afin de voir si ce n'était pas qu'une feinte ou que ça ne durerait pas puis après une heure supplémentaire je décidais de mettre fin à cette première partie. Pour ça je décidais de me venger du temps perdu à attendre sa réaction en lui faisant une prise de judo le mettant alors à terre sur le dos.
"Putain Nashoba t'as pris ton temps! J'espère que t'essaieras d'être plus réactif par la suite. Arrête de te prendre au sérieux, t'es là pour apprendre, si tu garde un tête de blasé de la vie t'y arrivera pas. Laisse toi aller, laisse tomber le sérieux et on perdra pas de temps, compris ?!"
C'était bien rare que je prenne la peine d'expliquer autant à un de mes apprentis. Je l'avais fait avec Alexey mais lui avait été de suite plus respectif car il avait confiance et me connaissait, il ne lui avait pas fallu très longtemps pour assimiler la majorité de ce que j'avais voulu lui enseigner. Il était sûr que ce serait plus long avec Nashoba mais il avait de la chance j'étais relativement cool et patient avec lui. Je me demandais bien pourquoi. Peut être parce que son histoire avait quelques similarités minimes avec la mienne. J'eus un haussement de sourcils avant de lui tendre une main pour qu'il se relève. Je savais qu'il pouvait le faire seul et qu'il voudrait sûrement s'en passer mais s'il se mettait à réfléchir alors il deviner que ce geste avait une autre signification, ça voudrait dire qu'il accepte de m'écouter, qu'il accepte de faire un effort et de faire attention à mon enseignement. Comme un contrat officieux en quelques sortes:
"Maintenant que tu t'es défoulé, que t'as mis ta rage de côté on va pouvoir passer à autre chose. " |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Dim 2 Mar - 21:38 | |
| Je continus à essayer à toucher le dénommé Shannon, le sang froid qui a accepté de m'entrainer, tout en prenant un certain plaisir, un plaisir simple. En même temps, je prends conscience qu'il n'y a pas seulement la frustration de ma confrontation de la veille, avec mon père qui s'en allait doucement, mais une autre, beaucoup plus veille, plus ancienne, au quelle je n'avais pris soins de prêter une attention quelque compte. C'est la premier fois que je m'amuse vraiment. Au bout d'un certain temps, sans prévenir, il me fait un technique de judo et je me retrouve au sol, tout en l'entendant me passant un sacré savon. Il me fixa pendant quelques dizaines de secondes avant de me tendre la main pour m'aider à me relever, sachant parfaitement que je n'avais pas besoin d'aide. Je n'attrape pas immédiatement sa main, les mots qu'il avait utilisé raisonné encore en moi, réveillant une partie de moi, qui était endormir, qui ne s'était pratiquement jamais exprimer. J'avais l'impression que pour la toute première fois de ma vie, j'étais libre de faire ce que je veux, sans me préoccupé des conséquences, que je n'étais plus obligé d'encaisser les coups sans réagis. Ce qui était le cas depuis le jour où mon bon père avait commencé à me battre. Si une fois, une seule fois, j'avais tenus tête à mon enfoiré de beau père, il allait se venger sur Maman et elle était trop faible pour le supporter. Alors j'ai accepté le " marcher", j'avais été obligé à grandir beaucoup plus vite que les autres enfants. Et quand Maman est morte, j'aurai pu mettre un terme à ce " marcher" mais j'étais tellement habitué à porter ce masque, que je ne savais pas comment faire pour l'enlever. Et puis, avec le devoir des modificateurs, ça n'avait pas vraiment aider, car je ne pouvais toujours pas être moi même, enfin essayer. Je pense comprendre la raison , enfin je crois, pour laquelle je lui ai donné cette dénomination " Dono", je ne sais pas comme il a fait, mais il a comprit qu’inconsciemment, j'avais besoin de liberté, qu'on me libère des chaines au quel je m'étais enchainé depuis que j'avais accepté le "marcher". Je sens que quelque chose de nouveau est entrain de se réveiller, et ça fait un bien fout, comme si j'avais enlevé un énorme poids. Je le fixe, mon regard a changé, on pouvait y voir un certain respect, j'attrape sa main et je me relevé. Tout en lui fixa, j'appuie mon point fermé contre ma paume et je le salue tout en disant d'une voix froide mais où on pouvait entendre plusieurs de note de respect :
- ありがとうございま. ( Merci)
Je laisse le silence s'installer pendant quelques secondes avant de terminer d'une même voix :
- 私の行動のためにすみません シャノン どの. (Escusez moi pour mon comportement Shannon Dono)
Je laisse à nouveau le silence s'installer, attendant la suite. Je suis encore un peu hésitant, pas vis à vis de son enseignement, je suis totalement prêt à l'écouté et à suivre ses conseils, mais plus tôt vis à vis de cette sensation; ce que je ressens, ça me fait bizarre, je l'impression de me réveiller. Le sang froid va chercher une sorte de mannequin en bois avec des bards, qu'on appele " Mook Jong " qu'on utilise en Kung Fu. Tout en l'installant, il me dit que je commence à faire l'enchainement que je veux, peut importe lequel, puis après avoir fait une vingtaine de fois, je dois essaye de le toucher, en me prévenant que si j'étais aussi lent que tout à l'heure, il se laissait le choix de répliquer. Et quand il me ferai signe, je devrai à nouveau me remettre devant le mannequin et recommencer. Je me positionne devant le mannequin et je commence à faire un enchainement simple, allant les deux premières fois doucement, comme si je veux faire attention à ne pas faire " mal", mais au fur et à mesure, je ne fais plus vraiment attention à ma force, faisant plus confiance à mon instinct et je suis attentif aux conseils qu'il peut me donner. Quand j'arrive à la vingtième enchainement, sans prendre le temps de prendre une mini pause pour essuyée les goutes de sueur qui coulent doucement de mon front, je me mets en position et après quelques secondes d'observation, je passe à l'attaque. Et comme au début, j'ai l'impression d'avoir une ombre comme adversaire mais j'arrive quand même à le frôler ( de quelques centimètre mais bon ). Je me découvre à prendre un véritable plaisir à m'amuser, tout en gardant à l'esprit mon but. Je me surprendre à m'entendre rire légèrement, hors que c'est très rare. Je sens de plus en plus léger, libre . J'ai l'impression de retrouvé la sensation que j'aime tant quand je suis sous ma forme loup. A plusieurs reprises, il me met à terre sans ménagement, pour me signifier que je suis un peu trop lent. Je me redresse immédiatement et je repars de plus belle, essayant de mettre en pratique les conseils qu'il me donne. Au bout d'un certain temps, il me fait léger signe, immédiatement, je m'arrête et je viens me placer devant le mannequin et je recommence un nouvel enchainement. Les heures s'écoulent aux rythmes des enchainements avec le mannequins et des combats au corps à corps . Le masque je portais jusqu'ici à pratiquement disparus, je ne dissimule plus rien, à part le fait que je suis un simple gamin qui s'amuse à se battre et qui est content d'apprendre , un léger sourire aux coins des lèvres. Je suis content de ne pas devoir faire attention à ne pas muter. Sur les centaines de chute que je fais, par deux fois où j'arrive à parer la technique par une autre mais bon, je me retrouve toujours au sol. Au bout d'un certain temps donc je ne serai incapable de définir, il me fait signe qu'on fait une pause. Je me laisse tomber , essayant de reprendre mon souffle, tout en m’essuyant la sueur de mon front.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Jeu 13 Mar - 15:05 | |
| Je venais de le m'être à terre en lui disant non sans un léger emportement que je n'aimais pas qu'on se fasse désirer et que j'attendais de lui qu'il soit plus rapide, qu'il devine plus rapidement ce qu'il devait vraiment faire sinon j'allais finir par vraiment m'énerver et finirais par séparer sa tête de son corps. Enfin, énerver, pas vraiment. Personne jusque là n'avait réellement réussi à le sortir de mes gonds, mais s'il m'ennuyait ça se finirait pour sûr de cette manière. Bien qu'il soit surtout question de physique, de force, de combat on ne pouvait pas non plus différencier cela de la réflexion. Et c'était son problème, il n'alliait pas suffisamment les deux. Il prend un peu de temps avant de prendre ma main, j'allais la retirer quand il fini par l'attraper, m'adressant un regard bien plus respectueux et j'eus un léger sourire en coin. Voilà, on y arrivait, il comprenait, on allait enfin pouvoir s'y mettre. Voilà enfin le respect que j'attendais depuis un moment déjà. Bien que je n'aime pas cette expression, mieux vaut tard que jamais non? Mouef... Au moins il s'y était mis suffisamment rapidement pour que je ne lui arrache pas le coeur. Il n'y a aucun intérêt à entraîner quelqu'un qui ne respecte pas celui qui lui enseigne. C'est comme espérer qu'un poisson rouge vous réponde. Ridicule. Il s'inclina alors pour présenter ses excuses, je me moquais de ses excuses, ce que je voulais c'était du changement, de l'évolution, qu'il comprenne et qu'il se bouge. Alors tandis qu'il était toujours incliné je vins lui frapper le crâne de la tranche de ma main, pas fort bien sûr mais pour lui indiquer de se redresser alors que j'ajoutais en ramenant un mook jong pour qu'on passe à un autre exercice. "Moins d'excuses, plus d'action. " Je lui expliquais alors le but de ce nouvel exercice, il avait intérêt à être attentif comme je ne comptais pas répéter une seconde fois, ce que j'aimais le moins c'était perdre du temps. L'exercice était simple, première partie avec le mook, deuxième partie avec moi puis on recommençait jusqu'à ce que je dise stop. Donc pas de si tôt. J'ôtais mon haut pour être plus à l'aise et surtout pour eviter d'avoir son odeur collée à ma peau. Ieurk... Je le regardais faire, ajoutant de temps à autre quelques conseils, qui d'ailleurs ressemblaient plus à des ordres qu'autre chose... Du genre: "Frappe plus fort", "plus vite", "enchaîne" ou encore "tu le frappes vraiment ou tu le caresse là? !" il fallait bien le réveiller, la fatigue n'était jamais une excuse à mes yeux. Puis après je lui indiquais de s'en prendre à moi, n'étant pas au maximum comme je n'en avais pas besoin face à lui on enchaîna un instant, il prenait enfin du plaisir à la chose et ne trouvait plus ça ennuyant seulement parce qu'il n'y parvenait pas. C'est cet esprit qui lui permettrait justement de me toucher. J'ai un petit sourire en coin en l'entendant rire inconsciemment, mais ce n'est pas pour autant que je me montre plus clément à son égard. Même en l'affrontant je lui fais des remarques ou encore cherche a le provoquer pour qu'il se donne encore plus à fond en baillant en évitant ses coups, je n'utilise pas ma vitesse vampirique, je n'en ai pas besoin aillant plus d'un millénaire d'expérience pour ce qui est de toutes sortes d'arts martiaux. Puis il faut bien que j'y trouve aussi une once de plaisir non? On effectue a plusieurs reprises l'exercice, la première fois qu'il parvient à parer mon attaque je le gratifie d'un rapide sourire fier mais ne perd pas notre temps dans des félicitations, en vrai combat il n'aura jamais le temps de s'émerveiller sur ce qu'il fait, alors je reprends de suite en faisant de même la seconde fois qu'il pare. Plusieurs heures se passe jusqu'à ce que je le remette à terre et lui indique qu'il suffit pour l'instant, place à une petite pause. Je le laisse s'asseoir pour reprendre son souffle et lui lance un serviette pour éponger son front. Puis je le quitte un court instant, allant chercher une bouteille d'eau fraîche et une autre de sang pour ma petite personne. Croisant sur ma route Alexey toujours moqueur, sentant son dédain pour le loup, n'appréciant vraiment pas que j'ai un nouvel apprenti, d'autant plus un loup. J'eus un petit rire, au moins si je cherchais quelqu'un pour opposer et observer Nashoba face à un vampire qui ne craint pas les foudres des Volturi je savais que je pouvais m'adresser à Alex... Pour sûr il se montrera sans pitié. Je revins dans la salle où se trouvait toujiurs le loup et je lui tend la bouteille: "Va pas te déshydrater. Bois." Puis je m'assied en face de lui et bois une gorgée de sang avec plaisir. Je laisse le silence s'installer un instant le temps que son souffle se fasse moins rauque et qu'il soit apte à me prêter de nouveau son attention. " C'était mieux, surtout que là tu n'avais pas la possibilité de te transformer, ça te rendra d'autant plus fort. Il faut que tu saches différencier ta force de loup et d'homme pour pouvoir les allier. L'une n'est pas moins importante qu'une autre." Puis je me levais et regarder le mook. Il ne l'avait pas abîmé, toujours sans user de ma force vampirique je brisais suite à un enchaînement l'une des barres. Puis je lui montrais d'un signe de tête la barre manquante: "Tu dois pouvoir le faire sans ta force de loup, pour le faire devenir plus fort, tu dois devenir plus fort. Ce n'est que quand tu y parviendra qu'on pourra envisager de te laisser te transformer. " Ce qui est sûr c'est que ça ne serai pas aujourd'hui, ça ne lui prendrais sûrement pas longtemps maintenant qu'il avait compris ce que je lui avais dit plus tôt, mais vu ce que j'avais vu il lui fallait un peu d'entraînement, bien qu'il paraisse plus mature il n'empêchait qu'il avait le corps d'un enfant d'à peine 12 ans... Et ça ça le limiterait pour sûr dans ce qu'il ferait, il y a beaucoup de choses que je ne pourrais pas lui apprendre à moins de prendre des années, mais vu ce que j'avais vu de son histoire il m'étonnais grandement qu'il reste bien longtemps dans l'enceinte de notre clan. Et c'était très certainement mieux pour lui, c'était ce que je désirais aussi pour Alexey, ils ne seraient que plus puissants sans les limites qu'implique la vie ici. |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Ven 21 Mar - 11:10 | |
| Je reste à terre, étendu sur le sol, essayant de reprendre mon souffle, fermant les yeux pendant quelques instants, essayant de mettre des mots sur ce que je ressens et ce sur ce qui s'est réveillé durant l'entrainement. J'ouvre les yeux et je me redresse, au même moment, je vois mon maitre, me tendre une bouteille d'eau bien fraiche en me disant de boire avant d'aller s'asseoir devant moi, à quelques mètres. Je ne me fais pas prier, j'ai une de ces soifs, je vide pratiquement la moitié d'une traite. Quelques minutes passent avant qu'il commence à me parler. Je l'écoute avec attention car pour une raison que j'ignore, il me connaît mieux que moi. Il me dit que c'était beaucoup mieux que durant la première partie, surtout que là, je n'ai pas la possibilité de muter. Je dois apprendre à faire la différente entre ma propre force et celle du loup qui vit en moi. Je ne dois pas en privilégier une plus autre. Puis il se leva et fit face au mannequin pour me montrer ce qui voulait dire. Je le regarde faire, avec grande attention. Pour être franc, je n'ignore si je suis capable de cassé une des barres en bois, avec ma force humain car j'ai l'impression de ne plus me reconnaître et ça me rend un très légèrement inquiet. C'est comme si je devais réapprendre tout, depuis le début, que ce que je pensais connaître sur moi-même, n'est qu'une illusion que je m'étais fait à moi-même. Je termine rapidement le reste de ma bouteille et je me relève avant de venir me placer devant le mannequin et d'une voix légèrement froide où on peut entendre plusieurs notes de respect :
- Comment faire la différence entre la force du loup et celle de l'humain? Je n'arrive pas à faire la différence.
Je laisse le silence s'installer, c'est la première fois que j'admets mon ignorance devant quelqu'un, je n'ai pas peur du jugement que mon maitre pourrait avoir. Sans vraiment en avoir conscience, je l'avais choisi comme maitre et donc je n'ai pas à dissimulé ce que je pense ou les questions que je me pose. Je l'écoute me répondre et puis alors que je me mes en position pour reprendre l'exercice, j'entends qu'on frappe légèrement à la porte. Je commence à faire une nouvelle série d'enchainements. Je ne tarde pas à entendre la voix de mon enfoiré de père qui demande à Shannon s'il peut me présenter sa nouvelle compagne car il vient de la demander en mariage et donc par ce fait, elle deviendrait ma belle mère. Je ne prends même pas la peine de lui adresser un regard, je devine facilement que la fille en question est une humaine qui doit ressembler à Maman. Je sais qu'il n'a nullement l'attention de se marier, il le fait juste dans le but de me faire réagir, à cause de la ressemblance avec Maman mais surtout, à cause du devoir que j'ai en tant que modificateur, à savoir, protéger les humains des buveurs de sang. Il aurait sûrement réussi, il y a plusieurs heures mais je sais parfaitement que le destin de cette jeune fille était scellé à la seconde même où elle a rencontré mon géniteur. Je ne prête pas attention à ce qui se passe à la porte, me concentrant sur mon enchainement. Je sens la même colère qui m'a habité lors de ma précédente rencontre avec Bruce, monter en moi et exploser, cassant une barre en bois, l'envoyant volé à quelques mètres. Je m'arrête, reprenant mon souffle et sans même me retourner, d'une même voix que précédemment :
- Ça ne compte pas. J'ai réussi parce que j'étais sous le coup de la colère et ce n'est pas mon but.
Je laisse le silence s'installer, reprenant les enchainements en augmentant légèrement la vitesse d'excusions, tout en prenant de plus en plus de plaisir. A chaque série d'enchainement, je me détends. Au bout d'un certain temps, Shannon Dono me fait signe de lui l'attaquer. Sans même pendre quelques secondes pour reprendre mon souffle, je commence à l'attaquer comme précédemment mais je remarque que je me rapproche encore de quelques millimètre de lui. J'essaye de mettre de la force, la même force que j'avais ressentit quelques instants plus tôt, sous le coup de la colère mais je n'y parvins pas. C'est comme ci quelque chose bloque la porte, empêchant cette force de se libérer et je suis pratiquement sûr que le vampire n'y est pour rien. Les heures passent lentement, sans que je m'en rencontre, je suis simplement heureux de me battre sans faire attention à rien même si je n'arrive toujours pas à mettre plus de force. Je reste attentif aux conseilles que Shannon me donne, essayant de les mettre en pratique mais je dois avouer que j'ai un peu de mal à y arriver. J'arrive encore à parer quelques unes de ces attaques mais bon, j'y arrive une fois sur vingt. Après plusieurs heures, alors que je termine une série d'enchainement, j'arrive à fendre une barre. Je m'arrête quelques instants, fixant le mannequin pendant quelque instant. Je n'arrive toujours pas à libérer ma force et je ne sais même pas si je fais des progrès. Soudain, je reviens à la réalité et je viens me placer devant le vampire pour passer à l'attaque pendant encore plusieurs heures avant qu'il me dise qu'on arrête pour aujourd'hui. Sans attendre, il se dirige vers la porte et je le suis, apparemment on retourne à la salle où j'avais mangé et dormit. Une fois arrivé, le buveur de sang m'indiqua une porte et me dit que je peux aller me rafraichir. J'acquiesce légèrement de la tête et je me dirige vers la salle de bain où je prends une douche bien froide, ça fait un bien fou. Quand je sorts de la douche après quelques minutes, je trouve un simple pantalon et un ti shit que j'en file, tout en me demandant où sont passé mes vêtements. Je reviens dans la salle où comme la veille, je me sers d'une grosse assiette de pâte avec plusieurs morceaux de viandes. Avant de m'asseoir pour commencer à manger, je vais lui servir un grand verre de sang bien frais. Une fois assit, je vide d'un coup un grand verre d'eau et je commence à manger. Après quelques minutes, d'une voix légèrement froide où on peut entendre plusieurs notes de respect :
- Est-ce que tu pense que j'arriverai à libérer ma force? Je me rends compte que j'ai toujours retenu ma force depuis toujours, sans vraiment en avoir conscience jusqu'ici, excepté lorsque je suis en une colère, comme les deux dernières rencontres avec Brice
Je laisse le silence s'installer, en continuant à manger. J'ai l'impression d'avoir une sorte de poids à mes poignets que je n'arrive pas à enlever. J'attends patiemment une réaction du vampire.
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mar 8 Avr - 10:03 | |
| Bien que cet entraînement ait traîné en longueur au départ voilà que le louveteau avait décidé de se bouger et de faire avec ce qu’il lui arrivait. Plus la peine de continuer de perdre du temps à espérer pouvoir s’en sortir, ça n’arriverait pas et je ne pouvais pas me permettre de le laisser filer même si l’envie n’en manquait pas. Quoiqu’il en soit il m’écoutait enfin et se rendait réellement compte qu’il n’avait que ça à faire sinon il risquait de ne plus mettre un pas dans une forêt et encore moins voir la lumière du jour. Mais comme son comportement semblait changé c’était un bon point pour lui, et lorsque je suis satisfait je sais féliciter mes apprentis comme il se doit, car oui enseigner quelque chose n’est pas qu’à sens unique de l’apprenti vers le maître, mais demande aussi une certaine attention en sens inverse, du maître vers l’apprenti, les années me l’avaient dévoilé. Alors que j’avais fait ma démonstration je n’avais en rien utilisé ma force vampirique. J’avais appris il y a plusieurs siècles à différencier ces deux forces, celle que j’avais acquéris alors que je n’étais qu’humain et aveuglé par ma soif de vengeance pendant bien des années puis celle que j’avais gagné grâce à ma transformation… Il vint se placer en face du mannequin de bois me posant une question qui ne m’étonna guère, lui donnant une pichenette sur le front j’entrepris de lui répondre : « C’est de là que vient le problème et la solution, de ta tête. Tu n’arrives plus à faire la différence entre celui que tu es et le loup qui est en toi. Tu les mélanges tous les deux pensant que ça te rendra plus fort, mais tu n’as pas idée à quel point tu le seras d’autant plus lorsque tu auras pris confiance en toi, en ce que tu es, que tu accepteras. » Je m’arrêtais un instant avant de reprendre : « Tu réfléchis trop à compliqué, arrête de penser, regarde ce que tu es, en toi. Regarde le loup droit dans les yeux et rends-toi compte de sa force, de sa puissance, de l’ampleur qu’il a en toi, et alors tu verras la force humaine que tu as toujours eu à côté, celle de l’enfant d’une dizaine d’années que tu es censé être. Cette force te paraître peut-être débile et inutile mais elle ne l’est pas, les deux sont importantes, primordiales pour que tu es plus de puissances. Compris ? » J’avais un peu déblatérer, mais il m’avait demandé, si je m’étais contenté de quelques mots il n’aurait sûrement pas compris ce que je voulais vraiment dire ou mal interpréter mes paroles et alors je n’aurais plus eu qu’à tout reprendre du début… Une fois qu’il eut un peu récupéré et qu’il se sentait d’attaque à reprendre il se repositionna devant le mook, alors qu’il allait reprendre les enchaînements quelqu’un vint frapper à la porte. Je fis un signe de tête à Nashoba pour qu’il continue malgré tout et alla ouvrir, me promettant d’arracher le crâne de cette personne si elle n’avait pas une bonne excuse car j’ai toujours détesté que l’on m’interrompe pendant mes entraînements… C’était Bruce et direct en ouvrant la porte j’eus un soupir et levais les yeux au ciel : « Sérieusement Brucy, t’as vraiment rien de mieux à faire que nous faire chier ? » Il déblatéra je ne sais quelles conneries comme quoi il avait trouvé compagne et allait se marier tout cela dans le but d’exaspérer Nashoba. Je le regardais d’un œil sombre, trouvant son comportement pathétique et loin d’être digne d’un adulte, encore moins d’un Volturi. Je le poussais donc d’une main, laissant Nashoba continuer et refermant la porte, plaquant Brucy contre le mur avec un sourire mauvais. « Maintenant mon petit tu vas arrêter de faire le malin et te casser, la prochaine fois que tu te ramènes tu serviras de souffre-douleur à ton gosse et ce n’est pas moi qui l’arrêterait vu ce que tu lui as fait. Compris ? » J’aurais même apprécié le tuer moi-même comme ces actions me rappeler quelques peu celles de mon père, mais comme de mon temps d’humain j’avais apprécié me venger moi-même je savais que ça ferait aussi du bien à Nashoba de s’en débarrasser tout seul. Bruce énervé de se faire aussi facilement manipuler, se rendant compte qu’il était bien plus faible que moi tenta de se dégager de mon étreinte avant que je ne le laisse tomber au sol et rapporte mon attention sur la jeune humaine, délicieuse d’ailleurs. « Ce n’est pas une bonne idée de le choisir lui comme compagnon, il a pour habitude de violer les humaines avant de les assassiner. Moi par contre, je saurais te faire bien plus plaisir et te laisserais très certainement la vie sauve, une telle beauté ne peut être gâchée n’est-ce pas ? » Ajoutais-je avec un sourire charmeur en coin qui fit rougir et sourire l’humaine, comme il est facile de les faire tomber. Mais au moins elle était protégée de Brucy non pas que le sort de cette humaine m’inquiète mais plutôt parce que j’adorais piquer sa femme et le voir bredouiller sans savoir quoi faire ou dire pour la récupérer. Je chuchotais ensuite le nom de mon frère qui apparut la seconde qui suivit. Je lui tendis la main de l’humaine : « Alex ça t’embêterais de t’occuper de cette charmante demoiselle et de la mener à mes appartements pour qu’elle s’y détende, je te laisse aussi ramener Bruce qui je crois c’est perdu ou du moins à eut plus confiance en lui qu’il ne le devrait… » Ajoutais-je en jetant un regard glacial à Bruce, souriant au petit rire d’Alexey. Puis je les laissais partir, narguant Brucy d’un signe de main avant de rentrer de nouveau dans la salle d’entraînement. Heureusement, Nashoba était toujours posté devant le mook, il ne s’était pas laissé trop déconcentré et ce n’était pas plus mal comme son père n’en valait en rien la peine. Alors que je fermais la porte j’entendis une barre valser puis le louveteau dire que ça ne comptait pas parce qu’il s’était laissé distraire par son père et la haine qu’il éprouve à son égard. Je ramassai donc la barre et revint la planter à sa place : « Dans ce cas, recommence, et cette fois ne te laisse plus déconcentré. » On reprend l’exercice, première partie sur le mannequin, deuxième partie en conditions réelles. Il s’améliore doucement mais sûrement, il n’empêche qu’il est certain qu’il ne parviendra pas à me toucher ainsi, il n’arrive pas à avoir suffisamment confiance en sa force d’humain pour me toucher. Plusieurs raisons possibles à cela, soit il préfère amplement être loup, soit c’est suite à son traumatisme, la perte de sa mère et le fait qu’il n’ait rien pu faire pour la sauver, cela engendrerait alors son manque de confiance en sa force d’humain. Mais il lui faudrait s’y résoudre pour pouvoir me faire face. Je lui donne des conseils, l’engueule quand il oublie de les mettre en œuvre, le félicite quand il parvient à contrer mes attaques ou lorsqu’il se rapproche un peu plus de moi, continue de lui dire de se concentrer, de faire la distinction entre lui et son loup. Enfin il parvient à fendre une barre et reste en bug devant. Je lui secoue le crâne pour qu’il sorte de sa torpeur et lui dit : « Tu vois quand tu veux. » Certes il ne l’avait pas brisé, cela lui demanderait encore plus longtemps, mais au moins il avait fendu cette barre sans le loup, juste avec l’humain et c’était déjà pas mal. Je décide alors qu’il est temps d’arrêter, la fatigue se lit sur ses traits, quoi de plus normal, il est loup mais encore humain et enfant, alors il ne sert plus à rien de poursuivre. Je lui demande de me suive et reprend la direction de la salle où l’on s’était installé précédemment. Je lui indique une salle dans laquelle il peut aller se rafraichir et pendant ce temps j’appelle une des humaines qui aide à l’entretien du château et lui montre la porte en me bouchant le nez : « Il a transpiré toute la journée, s’il te plaît passe ses fringues à la javel ou autre mais fais-moi disparaitre cette odeur. » Elle eut un petit rire avant de s’exécuter. Je jette un coup d’œil à la fenêtre et vois qu’il fait nuit noire, en effet on a passé la journée à s’entraîner. La jeune fille revient avec des vêtements propres qu’elle dépose en silence dans la salle d’eau et installe quelques nouveaux plats sur la table. Elle dépose aussi un bon pichet de sang frai. Je la laisse repartir et pendant que Nashoba finit sa douche je me retrouve en une seconde dans mes propres appartements, esquisse un sourire en voyant l’humaine endormie sur mon sofa avec un de mes livres dans les mains, n’ayant pas transpiré je me contente d’une toilette rapide avant d’enfiler de nouveaux vêtements qui ne put pas le loup et me retrouve de nouveau dans la salle alors que Nashoba sort de la salle d’eau. Comme précédemment il se sert à manger et me sert un verre de sang que je déguste lentement, écoutant sa question avant d’opiner. « Bien sûr que tu y arriveras, c’est juste que tu n’as pas confiance en toi, voilà pourquoi tu retiens tes coups. Tu dépens trop du loup qui est en toi, voilà pourquoi dès que tu es en colère sa force prend le dessus. Tu dois avoir confiance en toi, l’humain pour que la colère vienne aussi de cette partie de ta nature. » C’était compliqué certes mais il lui fallait s’en rendre compte. Alors après une nouvelle gorgée de sang je repris en le fixant : « Et est-ce que tu arrives à deviner pourquoi tu n’as pas confiance en toi ? » |
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mer 9 Avr - 20:31 | |
| Je continue à mangé en attends une réponse de la part de celui que j'avais choisit comme un maitre. Je l'écoute avec attention. D'après lui, c'est parce que je n'aurais pas confiance en moi et il me demanda quelques dizaines secondes plus tard, si j'avais une idée de la raison pour laquelle je n'ai pas confiance. Je prends quelques instant pour réfléchir, même si je m'étais déjà posé la question depuis qu'il m'avait répondu à propos de la différence entre la force du loup et de celle de l'humain. J'ai bien une toute petite idée mais je ne sais pas si c'est vraiment cette raison. Puisque jusqu'au moment où il m'avait mit au tapis, je n'en avais pas vraiment conscience. Après avoir prit la dernière bouchée, d'une voix légèrement froide où on peut entendre plusieurs notes de respect :
- Je pense avoir une idée mais je ne suis pas certain que ça soit ça.
J'hésite un peu car c'est la première fois que j'aborde le sujet avec quelqu'un, autre qu'un animal. Même avec Maman, je n'en avais pas parlé parce que j'avais peur de ce qu'elle aurait pu pensée. C'est comme si le fait d'avoir pris conscience cette partie, avait ouvert une porte. Quelques dizaines de seconde plus tard, je me lance, toujours avec la même voix, légèrement hésitante :
- Je pense que c'est lié au fait que je ne me connaissais pas très bien, enfin pas aussi bien que je le pensais avant de commencé l'entrainement. Depuis que j'ai accepté l'être le souffre douleur de mon beau père sans jamais lui tenir tête pour protéger Maman qui n'avait pas une très bonne santé. Et comme je ne voulais pas lui crée de problème, que je me suis oublié qui j'étais, ma soif de liberté. Je laisse le silence s'installer pendant quelques minutes, le temps de me resservir une nouvelle assiette, avant de reprendre d'une même voix, avec trois quatre de note de tristesse :
- J'ai toujours pensé que c'était mon devoir de la protéger, puisque je pensais que c'était ma faute si elle avait une santé fragile. Même après tout ce que Brucy lui a fait, elle n'a jamais tenus des mauvais propos, elle abordait jamais le sujet. C'est seulement à sa mort que je sais qu'il ne s'était pas contenté de la violé, il lui avait laissé un autre souvenir, en plus du fait qu'il l'avait mis en enceinte.
Je laisse le silence s'installer pendant quelques minutes, durant les quels, je jette un coup d'œil à la fenêtre, avant de continué :
- Ça ne m'est jamais venus à l'idée qu'elle pourrait mourir par ma faute, je pensais que j'aurais toujours été là pour elle.
Je prends une gorgée, avant de terminer en disant, toujours d'une voix légèrement froide où on peut entendre quelques notes de respects :
- Tu as dis tantôt que je dépends trop du loup et que c'est pour cela qu'il prend le dessus quand je suis en colère. Tu as raison, depuis la première fois que j'ai muté, je ressens une certaine peur qu'un jour, j'oublie Maman, mes souvenirs que j'ai avec elle et que je n'arrive plus à reprendre ma forme humaine. Quand elle est morte, je me suis aperçu que c'était elle qui me rattachait au monde des humains, qui me dégoute d'une certaine manière. Le fait que je suis obligé de les protéger, ne me va pas.
Je continue à manger, laissant le silence s'installer. Contrairement à la première fois où Shannon Dono m'avait demandé de lui raconté mon histoire, cette fois ci, j'avais été franc et honnête. C'est la première fois que je parle autant avec quelqu'un et je dois avouer que ça fait du bien. Je sais surtout que c'est le fait que je l'ai accepté comme Maitre que j'accepte d'enlever le masque que je porte en permanence et de lui parler sans détour, sans rien dissimulé sur les questions, les pensées, les réflexions que j'ai. Je le fixe doucement en attendant une réaction de sa part, tout en ressentant la fatigue qui me gagne lentement
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| | | Shannon B. Volturiの VOLTURI COVEN の
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| Sujet: Re: La vengeance est un plat qui se mange froid - Nashoba Mer 4 Juin - 16:09 | |
| Désormais il m’accordait toute son attention lorsque j’ouvrais la bouche. C’était tant mieux pour lui vu que je lui donnais des conseils ou lui faisais des remarques pour qu’il s’améliore tout simplement. Il pensait avoir une idée mais se faisait désiré. Je jouais avec mon faire attendant patiemment qu’il se décide. Ça devait venir de lui, pas de moi, j’allais pas le harceler il allai se braquer. Il hésitait et j’en conclus que ce ne devait pas être quelque chose de facile à dire, j’attendais d’autant plus même si ma patience n’était pas des plus réputées… J’opinais à ce qu’il dit, effacer qui l’on est pour être celui que l’on veut être dans l’idée de protéger quelqu’un, ouais je connaissais et c’était une bonne raison. Cette notion de devoir de protéger sa mère dont il parlait je la connaissais, je ne l’avais pas oublié. Quand mon père malmenait ma mère je ressentais pareil, quand il s’en était pris à ma chère sœur, je ressentais d’autant plus fort. La culpabilité de n’avoir pas bien fait les choses, de n’avoir su protéger et de se retrouver coupable de la mort de cette personne qui a tant été aimée et protégée, je connaissais aussi. Mais je faisais de mon mieux pour ne pas ressombrer dans mon passé, fronçant les sourcils et me passant une main sur mon visage j’avais peur de ces souvenirs d’humains, de ces souvenirs dans lesquels j’étais si faibles.
Il ajouta qu’il avait peur d’oublier et j’eus un sourire. Non pas moqueur, du moins pas à son égard, mais plutôt au mien. Pour ma part, j’avais espéré oublier, ça me faisait trop mal ces souvenirs, je me rappelais de chaque secondes, de l’odeur, de la tonalité de leurs hurlements, les visages de chacun de leurs bourreaux, le sang qui avait giclé dès fois j’avais l’impression de le sentir toujours sur ma peau, derrière mes ongles que la folie qu’engendraient ces souvenirs me faisait arracher avec violence. Elles me hantaient, toutes deux, et même après tant de siècles d’existence, elles continuaient de me hanter, je continuais de me le reprocher, et je continuais de le haïr lui plus que n’importe qui sur cette Terre, et ce même s’il n’était plus.
Mes yeux étaient dans le vague, me perdant de nouveau dans ses souvenirs mais je les chassais pour ne pas sombrer de nouveau dans ma folie destructrice, serrant avec force le collier que je portais à mon cou, seul souvenir me restant d’elles. Puis je lui affirmais, le fixant sans sciller, prouvant que j’étais sûr de ce que j’affirmais :
« Crois-moi, si tu l’aimais réellement, si tu tenais autant à elle que tu me le laisses entendre alors crois-moi, jamais tu n’oublieras. Jamais. »
C’était impossible d’oublier ces êtres qui avaient que trop comptés à nos yeux. C’était tout simplement inimaginable et impossible voilà tout. Je ne sais si c’est le fait que son histoire m’ai remémoré la mienne ou quoi mais pris d’un élan de sympathie rare voir tout nouveau j’ajoutais :
« Merci d’avoir partagé ça avec moi, je sais que ce n’est jamais facile de se confier sur quelque chose qui a été vécu de si difficile. »
Je le savais car jamais je ne me confiais entièrement sur mon histoire sauf en ce qui concerne Sulpicia, la seule, l’unique à tout savoir… Puis je repris en terminant mon verre et m’en reservant un que je descendais tout aussi rapidement, noyer ce que mes souvenirs faisaient ressortir pour retrouver mon calme.
« Il faut que tu apprennes à tirer ta force de cette expérience. Tu ne l’oublieras jamais, tu sais que tu t’es senti incomplet. Alors fais en sortes d’être complet, de ne plus rejeter qui tu es pour pouvoir réellement protéger. Cette colère que tu ressens pour ne pas avoir su la protéger, dompte-la, contrôle-la et use-la pour te venger. C’est ce que j’ai fais, c’est ce qui te fera passer au niveau supérieur. »
Ajoutais-je en terminant de nouveau mon verre et ajoutant encore une fois un peu de sang humain dedans.
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