La nuit silencieuse et noire, les étoiles nous guidaient, il faisait un froid glacial et Vasilisa était exténuée et je l'avais placé derrière avec une couverture et un oreiller. Nous avons beaucoup roulé, mes yeux étaient sombres, noir ténèbres. Je ne m'étais pas abreuvé de sang animal depuis quelques jours... Malgré ça, nos pensées étaient concentrées sur la Roumanie et son contenu, nous ne savons pas si nous allons survivre. Au loin, nous pouvons décortiquer des habitations délabrées et sûrement inhabité, je pouvais sentir si il y avait des présences humaines, animal où vampires. Je les regardai et me concentrai et je vis une maison en bon état, je m'arrêta et je rentra dedans et je prêtais attention à l'odeur mais aucune odeur dérangeante, tout était en bon était et bien rangé comme si les habitants venaient de partir mais sa sentais le vieux, alors, j'ouvris les fenêtres et j'attendais cinq minutes pour que l'air se purifie et j'alla nettoyer rapidement. Ma voiture était ouverte et les phares était allumés, Vasilisa était encore endormie, il faisait froid, il commençais à neiger. Je me dépêcha d'amener les bagages et j'ouvris doucement la porte et je prends Vasilisa par le bout des bras pour la coller à mon corps et tranquillement, je me dirige vers le salon et je la déposa sur le canapé. Elle est si légère et ses cheveux bruns tombaient, cela me rappellais Bella quand elle était encore humaine et s'endormait régulièrement chez moi. Elle se réveilla.

« - Que fais t-on ici ?
Tu étais fatiguée, tu étais mal a l'aise donc, j'ai trouvé cette demeure et je t'ai installé. »
Elle souria et se rendormis, j'attendis 8 heures, une fois réveillée. J'étais allez lui acheter des croissants entre temps, je me suis nourris.
Nous commençons une discussion sur le combat ....
Je demanda a Vasilisa de se faire discrète, de ne pas muter même quand elle en avais envie.

Lisa avait dut s’endormir et se réveilla brutalement. Avait elle dormit longtemps ? Elle n’en savait rien, elle n’avait pas bien dormit en tout cas, l’histoire de cette guerre lui trottant dans la tête. C’était bien malheureux d’en être arrivé ici. Elle se réveilla dans une maison, qui lui était étrangère. Elle était visiblement en bon état mais cela inquiétait Lisa. Elle ne voulait pas rester ici, la Roumanie était certes un pays chaleureux et pleine de culture mais elle n’aimait pas loger dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Elle se leva et se dirigea vers Edward.

- Que fais t-on ici ?

Elle voulait bien entendu dire, que faisaient-ils dans une demeure inconnue.

-Tu étais fatiguée, tu étais mal a l'aise donc, j'ai trouvé cette demeure et je t'ai installé.

Elle soupira et eut un sourire triste, avant de rejoindre sa chambre, il crut peut être qu’elle dormait mais elle rassembla ses affaires avant de revenir vers lui, il ne semblait pas inquiet d’être chez des gens que ni l’un ni l’autre ne connaissaient.

-Ne te transforme pas et sois discrète.

Si il avait bien une chose qu’elle détestait, c’était qu’on perle d’elle et de transformation, elle eut un air agacé avant de se dirigée dehors. IL n’y avait rien, de la végétation sans rien. Elle se tourna vers lui.

- Excuse-moi mais s’installer chez des gens qu’on ne connaît pas, ce n’est pas être discret. Quand mes transformations, tu dois savoir que je ne mute jamais sans raison valable, considère-moi comme une humaine, ou trace ton chemin. A ce que je sais je ne me traine pas à quatre pattes, donc sauf si tu veux finir mort, ne me dis plus ce que je dois faire.

Elle s’avança vers la voiture, mettant les affaires une par une dedans. Sous l’œil interrogateur du jeune homme, elle se mit au volant et lui fit signe de venir.

-L’hôtel est trop loin, mais je reconnais la région, je connais un endroit plus sure pas loin, ou tu pourras te nourrir a ta guise.

Elle attendit qu’il monte pour prendre la route. Ils roulèrent quelques heures avant d’arriver sur un chemin boueur bordé de pierres rouges menant à une petite maison, derrière laquelle se tenait une ferme. Il y avait une basse cour avec de nombreux animaux et un petit ruisseau. Derrière un large foret s’étalait dans toute sa splendeur. Elle installa en un éclair les bagages dans deux chambres différentes, une pour elle et une pour Edward. Puis elle s’installa dans la petite cuisine.

-Tu peux sortir te nourrir dans le foret, celle qui possède la maison devrait venir bientôt... Ou pas.

Elle ne savait pas quand est ce que Eva rentrerais, quoi qu’il en soit elle accepterait de les hébergés, elle la connaissait assez bien pour l’affirmer.

Quelques heures plus tard.

Elle posa le plat de pates a la sauce au milieu de la table et se servie allégrement. C’était tout ce qui restait sa précédente visite. Edward pénétra dans la pièce en souriant, les yeux jaunes éclairés. Elle eut un sourire et attendit qu’il s’asseye pour commencer a parle.

-Nous sommes a quelques bornes de Dacia, nous irons las bas voir l’état de la situation demain, en attendant pas un bruit. Celle qui nous héberge nous renseignera d’avantage.

Elle ne savait pas ou était Eva a ce moment même, et cela l’énervait légèrement. Et ce qui l’inquiétait, c’était avec qui ? Mais quand avait-elle à faire ? Rien, ou plutôt… Tout.

-Bon, alors que soupçonnes tu exactement.

Et mieux valait qu’il explique ce qu’il soupçonnait dans les moindres détails, toutes les preuves qu’ils avaient contre les Dacian.

Elle n'étais pas d'accord pour qu'on habite dans une maison, qui appartenait à quelqu'un donc nous sommes parties, elle était en colère. Quand je lui ai demandé d'être discrète, elle m'agressa presque. Les mains en l'air, je prononce un léger Désolé. Elle mis ses affaires dans la voiture et nous parcourons pendant de longues heures, ambiance tendue, les phares illuminaient la route et nous étions pressés de se faire loger par Eva, nous étions chez Eva qui n'était pas là ce qui énervait légèrement Lisa, la colère passera ... Elle me dis que je peux aller chasser tandis que elle, alla manger chez Eva. Je chassa rapidement, j'étais chargé de la sécurité de Lisa. Les yeux oranges écarlates, je m'installa devant Lisa qui dégustait un plat de pâtes avec de la sauce de couleur rouge sang. Avec une touche d'humour, je lui demanda.

- C'est du sang ?

Elle arrêta de manger, me regarda, tourne des yeux et continue avec un sourire aux lèvres, moi aussi d'ailleurs.
Pendant qu'elle souriais, elle ne me parlais pas, elle était sûrement trop concentré sur son plat. Et elle me demanda ce que je soupçonne réellement.

- Je soupçonne les Dacian de créer une armée, nous combattre mais ils ne risquent pas de nous battre. Nous avons déjà battues une trentaine de nouveaus-nées sans aucun problème.

J'entendis les pensées embrouillées de quelqu'un, mais de qui ? Je me dépêcha pour aller voir la personne mystérieuse mais je ne vis qu'un humain, vu l'odeur. Je m'approchais de plus près, la personne n'avait pas le droit de visiter les terrains privées. Je hurla :

- Qui êtes-vous ?
Humain - Je me baladais et vous, qui êtes vous ?
- Vous n'avez pas le droit, je suis le propriétaire de cette maison.
Humain - Vous dites n'importe quoi !
- Partez où j'appelle les forces de l'ordre !
Humain - Vous battre ne vous plaît pas ?

L'humain voulait se battre contre ... moi. Il allait perdre, je hocha la tête pour dire non et j'attendais qu'il parte, il s'en alla.

Lisa se tourna vers lui, et il eut un air pensif mais néanmoins assuré :

- Je soupçonne les Dacian de créer une armée, nous combattre mais ils ne risquent pas de nous battre. Nous avons déjà battues une trentaine de nouveaus-nées sans aucun problème.

Lisa eut un air elle aussi pensif et réfléchissait a haute voit :

-Certes, mais les Dacian sont vieux, ils ont de l’experience, cependant leur plus gros point faible, c’est que peut d’entre eux ont des dons.

Puis Edward se tournit vers la petite porte jaune, par laquelle filtrait quelques rayons de soleil pales, il se leva d’un bond et alla a la porte, sortit deux minutes et elle entendit une conversation :

- Qui êtes-vous ?
- Je me baladais et vous, qui êtes vous ?
- Vous n'avez pas le droit, je suis le propriétaire de cette maison.
- Vous dites n'importe quoi !
- Partez où j'appelle les forces de l'ordre !
- Vous battre ne vous plaît pas ?

Lisa s’en s’aurais royalement foutue si elle n’avait pas reconnu la voix du dit humain, elle se précipita dehors, voir l’altercation. Elle arriva dehors alors que l’homme s’apprêtait a partir, téléphone a la main. Elle n’en était pas sure, mais son visage lui disait quelque chose, tout comme sa voix, et elle tenta brièvement un nom.

-Raoul ?

L’homme se retournât, bingo ! Il eut l’air penaud que quelqu’un lui dise son nom puis quand il vit Lisa s’approcha d’elle en souriant, poussant des petites exclamations de joie.

-Miss Szelsky ?

Vasilisa n’avait pas l’habitude qu’on l’appelle par son nom de famille de Roumanie, mais cela lui faisait a chaque fois chaud au cœur, comme si elle était elle-même.

-C’est bien moi. Sais tu ou est Eva ? Je voulais la voir pour… Quelque chose de personnel.

L’homme se gratta la tête. Puis il continua dans un roumain parfait, pour ne pas que Edward comprenne :

-Ea revine in seara asta in mod normal, ea era in oras astazi, cu un tinar atit de fermecator*

Vasilisa aurait sans doute rit de la tête de Edward si elle n’avait pas était énevrée que Eva ne soit pas la avant le soir.

- Multumesc Raoul, daca ai de crossover, spune-i ca Vasi este în oraş.**

Il acquiecat et lanca un regard mauvais à Edward avant de s’éloigner. Elle fit rentrer Edward et ne fit mot de la conversation.

-Alors je pense qu’ils ne vont pas nous attaquer nous spéciallement, plutôt les Volturis, mais s’ils prennent le control, les années de «paix » seront compromises. Les Dacians, c’est le chao.

Aucun exagération dans ses propos, juste de la peine.

-Si ca tourne au vinaigre à Dacia, je ferais mieux de contacter une meute que je connais, c’étaient des amis de mes parents… Mes vrais parents.

Elle aimais se savoir en sécurité. Elle posa sa tête contre le dos de la chaise et prit un air plus enjoué.

-La chasse était bonne ? Je sais qu’il y a toute sorte d’animaux las bas.

Ainsi Edward avait forcement dut apprécier. En fait, elle essayait surtout de détourner la conversation, car si il lui arrivait de parler des Hope, elle ne parlait jamais de ses vrais parents.

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* Elle revient ce soir normallement, elle était en ville aujourd'hui, avec un charmant jeune homme
** Merci Raoul, si tu la croise, dis lui que Vasi est en ville.