Copyright Avatar | | Olja Vasilova ft. Amber Heard Né le:: En 842 après la naissance de barbu fils. Age d'Apparence:: Une vingtaine d'année. Sexe:: Si c'est une proposition, elle est indécente, sinon la présence des deux proéminences sur mon buste est, je pense, un bon indice quant à ma féminité. Origine:: Norvégienne Statut:: Fiancée Pouvoir:: L'électricité dans tous ses états, du plus petit courant à la tempête foudroyante la plus dangereuse au monde. Allégeance:: Le clan Vasilova Péché:: L'orgueil Race:: Vamp-vamp Profession:: J'ai plus de mille ans, vous ne pensez pas que j'ai eu le temps de réfléchir à un moyen de ne pas avoir la nécessité de travailler comme un de ces idiots d'humain ? Régime Alimentaire:: Le sang humain. Nomnomnom.
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Information
SI VOUS ÉTIEZ UNE FLEUR • Un lys blanc
SI VOUS ÉTIEZ UNE ÉPOQUE • Le futur, ce qu'on a pas encore vu, ce qui est imprévisible
SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL • Un grand corbeau
SI VOUS ÉTIEZ UNE QUALITÉ ET UN DÉFAUT • La loyauté & l'arrogance.
AMBITION(S) • Devenir quelqu'un de meilleur, pour être réellement digne de Yelena. Et arrêter de m'ennuyer.
SECRETS(S) • C'est moi qui ait poussé mon créateur du bateau.
Psychologie
Exprimer ici toute la complexité du caractère d'Olja me semble vain, je vais néanmoins tenter de vous dresser un portrait pour le moins fidèle. La vampire est une femme issue d'un passé lointain, aux valeurs bien différentes des nôtres, et dont le tempérament a été forgé par les temps, lissés et poli pour essayer d'en réduire les imperfections.
L'esprit vif et agile, toutes ces années ont su lui apporter la connaissance, mais également une certaine sagesse, bien qu'il soit rare qu'elle exploite cette dernière. A quoi bon se montrer sage lorsque la vie nous tend les bras ? Alors qu'il y a encore tant à voir et à vivre. Cet état d'esprit est assez récent chez elle à vrai dire, puisqu'elle a passé les derniers siècles dans l'ennui, jusqu'à ce que quelqu'un de cher à son coeur l'en tire et lui montre qu'il y avait encore bien des choses à vivre et à découvrir.
Olja est de par sa nature de guerrière, une personne au caractère fort, et si elle n'est pas un leader, elle n'est toutefois pas dénuée de charisme. Personne très vivante, elle est toujours occupée à faire quelque chose, ne se repose presque jamais, et peut s'avérer parfois très difficile à suivre autant sur le plan de sa réflexion que de ses activités. Vous avez souvent à peine le temps de comprendre ce qu'elle fait qu'elle est déjà passée à autre chose. Ce qui n'est pas étonnant étant donné sa tendance à l'ennui chronique.
Sociable et loyale, Olja peut s'avérer une excellente amie pour qui sait la mettre dans sa poche. Ce qui n'est pas nécessairement une mince affaire. Car simple à approcher ne signifie pas nécessairement devenir proche en cinq secondes top chrono. Surtout étant donné la tendance qu'a la miss à suivre ses instincts. Ceux-ci sont d'ailleurs particulièrement développés, sans doute des restes de son passé d'humaine où elle se devait de s'y fier. Ce qui fait qu'une fois qu'elle a décidé de suivre son instinct, il est impossible de la débarrasser de l'idée qui lui trotte dans la tête. Car évidemment, elle ne change pas d'avis très facilement, et a tendance à ne faire que ce qui lui chante.
D'ailleurs, si elle a décidé de s'amuser un peu avec vous, vous n'êtes pas sorti de l'auberge, car elle peut s'avérer tout à fait joueuse. Taquine, elle aime bien un peu embêter les gens de temps en temps, les faire marcher, et d'ailleurs elle est très bonne à ce jeu là. A noter qu'elle est elle-même assez crédule par moment, surtout avec les gens qui l'apprécient, qui peuvent sans mal lui renvoyer l'ascenseur grâce à ça. Elle ne le prend pas mal en général, puisqu'elle n'est pas vraiment du genre à se prendre extrêmement au sérieux. A quoi bon après tout ? Mieux vaut rire que pleurer. Surtout qu'elle déteste les chouineurs. Néanmoins ce manque de sérieux ne signifie pas une incapacité à en faire preuve, simplement cela s'avérera plus rare et plus précieux. Elle l'est notamment lorsqu'elle décide de faire montre de son amitié ou de son amour, et dans ce dernier cas, elle peut se révéler étonnamment romantique. Ce qui est pour le moins surprenant quand on la connaît un minimum.
Protectrice, mieux vaut ne pas jouer avec ceux qu'elle aime et ce en quoi elle croit au risque de voir des vies être considérablement raccourcies. Car si elle a toujours cru en l'exploit guerrier, au delà du désir de tuer, c'est justement ce qui la rend si dangereuse. Car si elle doit tuer pour protéger quelqu'un, elle le fera. Et elle n'hésitera pas une seule seconde pour le faire. Il n'y aura ni hésitation dans son regard, ni tremblement dans ses membres, elle sera la tueuse parfaite. Et elle ne préviendra pas, ne prendra pas son temps, elle le fera aussi simplement qu'il le faut, puisque son but n'est pas d'asseoir sa puissance à ce moment là. Elle n'est pas une narcissique sadique, pas plus qu'elle n'est un bisounours qui croit qu'on doit épargner la vie des gens. Elle élimine le danger, fin de l'histoire.
Au delà de ça, Olja conserve une personnalité pour le moins nuancé et subtile, et comme toute personne, elle peut parfois se révéler parfaitement irrationnelle dans certaine situation, et faire des crises où ses actes n'auront rien à voir avec ce qu'elle peut être en temps normal. Mais évidemment, il faudrait une situation extrême pour provoquer ça.
Histoire
Vous n'avez jamais vu ces lumières, les nuances si subtiles de couleurs divines, jamais sentis leurs odeurs et distingué les mots qu'elles murmuraient. Les ondes d'un vert singulier, message des dieux sur le tissu ténébreux de la nuit. Moi, si. Je pouvais les sentir sous ma peau, sentir leur appel, écouter le souffle de leurs paroles à mes oreilles alors que ma peau se paraît de frissons amoureux pour ces teintes magiques. Parce que c'est là que débute l'histoire de ma naissance, sous les aurores boréales du grand Nord, qui jamais ne m'ont quittés, et que j'ai vénéré jusqu'à ma mort.
Ma première mort.
Née dans un village viking, mon destin en tant que simple humaine était des plus banales. Ou du moins ça aurait pu l'être, si notre Ancienne n'avait tiré les runes pour prédire un avenir radieux pour moi. C'était la tradition de le faire, voyez-vous, de trouver la voie des nouveaux-nés ayant survécus leur première année de vie. Si on pouvait appeler ça une vie à cette époque. Mais je ne vais pas jouer les ancêtres en vous disant que de mon temps, tout était plus dur. Ce n'est pas le sujet actuellement.
Car comme je le disais, les forces du destin guideraient les voiles du navire de ma vie, avait-elle déclaré. Et cela me mènerait aux portes des légendes, aux côtés de Beowulf ou des Dieux.
Odin et Thor avaient posés leur marque sur moi.
Bien que femme je choisis, et surtout obtint le droit, d'exercer la portée de mon chemin en embrassant la voie des guerriers et des conquérants. Je découvrit les îles septentrionales du nord des îles britanniques, qui ne portaient pas encore ce nom à l'époque, découvrit l'Islande aux côtés de mes compagnons et connus des batailles grandioses.
Ce n'était pas par goût du sang et de la violence que je pris les armes, bien qu'il fallait tout de même éprouver un certain intérêt pour cela afin de s'aventurer là. Mais pour trouver ma place au sein d'une communauté laissant bien trop souvent la femme sur la touche, et marquer l'histoire de mes semblables ainsi. Nous étions évidemment moins barbares que ce dont l'Histoire se souvient de nous,mais à quoi bon se perdre en détails insignifiants aujourd'hui ?
Je devais bien admettre trouver une certaines satisfaction dans la vie que je menais alors. L'excitation qui enflammait mes veines me faisait me sentir vivante. Mais lorsque les flammes s'éteignaient pour ne laisser que des cendres, et que je regardais derrière moi, je ne pouvais m'empêcher de voir le gâchis apporté par les conquêtes, les vies prises et brisées comme les navires contre les rochers. Etait-ce réellement nécessaire pour découvrir de nouvelles terres ?
Non.
Rien ne justifiait les massacres que j'avais accompli lors de ma vie humaine.
Rien ne le pourrait jamais.
Mais aucune légende ne s'était construite sur la paix parmi mon peuple.
A l'époque, mon souhait le plus cher restait malgré tout de périr au combat. Je n'avais jamais rencontré de guerrier digne, en mesure de me faire tomber sur le champ de bataille, jusqu'au jour où mon chemin croisa celui de l'homme qui me priverait de mon Valhalla.
Voyez-vous, personne n'est éternel, et on finit toujours par rencontrer plus fort que soi. Même pour nous vampire. Nous sommes au final aussi mortels que notre forme précédente.
Lorsque je l'ai rencontré, j'étais en train de mourir. Une blessure, une infection, un rien avait suffit à m'amener au terme de ma vie. Et il me prit de pitié. Je me souviens de la douleur insupportable, de la brûlure au sein de mes veines, du brasier que même milles champs de batailles n'auraient su allumer. Cette sensation est gravée dans ma mémoire.
Ce qui me maintint à flot au cours des années suivante fut la croyance - des plus stupides - qu'il s'agissait d'un don de Thor. Sinon comment expliquer que je puisse également apprivoiser la foudre et dompter les éclairs ? Mon créateur avait bien essayé de m'expliquer. J'avais choisi de ne pas l'écouter alors, malgré la soif qui me poussait à dévorer mes semblables, qui ne l'étaient plus tant que ça. La peur me guidait, et je ne savais plus vraiment quoi penser de ma condition, à vrai dire. Fort heureusement, j'eus le temps de travailler sur l'idée de ce changement, toujours guidé par celui qui m'avait transformé. Notamment une fois que j'eus quitté mon village natale lorsqu'ils se rendirent compte des changements qui avaient opérés chez moi à mon retour. Ils décidèrent de me bannir ce jour là, un sort chanceux, si on considère qu'ils auraient pu choisir de tenter de me tuer. Chanceux pour eux donc. Malgré tout ce soir là le ciel se teinta d'une aurore rouge, signe des mauvais présages. L'hiver suivant, la majorité du village était balayé par une famine qui les fit disparaître.
Ma vie en tant que vampire ne s'avéra pas particulièrement différente de ce que j'avais vécu jusque là. Du sang, des explorations... Mais en même temps, elle s'avérait tellement plus singulière, notamment parce que lors de ces voyages, nous n'étions que deux, et en dehors des jours où l'on s'abreuvait, ils n'étaient que découverte de ce monde immense qui nous attendait. Suffisamment grand pour qu'en plusieurs vie on ne puisse pas tout voir. Mais je n'en avais pas juste plusieurs, alors, j'en avais des centaines devant moi.
J'ai découvert les merveilles de cette terre, étudié des cultures, aimé des mondes qui n'étaient pas miens. Je comprenais la vanité dont j'avais fait preuve dans ma vie passée, apprenais tant et tant de choses que je gardais précieusement dans les recoin de mon esprit. Je faisais ce monde mien, sous les yeux d'un créateur qui semblait se réjouir de l'éclat dans mon regard à chaque nouvelle chose que je découvrais. Je pouvais voir dans ses prunelles le désir qu'il éprouvait pour moi, l'amour. Quelque chose que je ne connaissais pas. Je n'avais jamais aimé quelqu'un, seulement haït. Et par Odin, que je le détestais, cet homme. Mais il m'apportait tant que ma reconnaissance était infinie, et que je l'aimais comme une fille son père. Mais il ne serait jamais un amant pour moi.
Au cours de nos voyages, rares furent les vampires à croiser notre route. Il m'apprit bien sûr les règles et les lois qui régissaient ce monde, mais nos contacts avec restèrent purement anecdotique. Et puis surtout, il désirait me garder pour lui, alors il faisait en sorte de toujours les éviter.
Avec le temps, j'appris également à maîtriser mon pouvoir. Comme déjà dit, je pouvais maîtriser les tempêtes, mais je compris très vite qu'il y avait bien plus que ça. Je me rendis compte qu'en utilisant des puissances infimes, je pouvais contrôler les impulsions de son corps, et très rapidement je m'exerçais sur d'autres sujets vivants. Une impulsion bien placée, et il lève le bras, une autre et c'est la jambe, et très rapidement tous pouvaient danser pour moi. Ca ne me permettait bien sûr pas de contrôler l'esprit, mais il suffisait d'appuyer sur le bon bouton pour endormir le corps, ou encore provoquer des vagues de plaisir dans celui-ci. J'utilisais ces méthodes lorsque je devais me nourrir, notamment, pour que ma proie n'ait pas à souffrir lors de sa mise à mort.
Lors de la découverte de l'Amérique, on décida avec mon créateur de nous rendre sur ce nouveau continent. Nous en avions déjà entendu parler au cours d'un voyage sur les terres chinoises, ou encore avant lorsque nous vivions encore sur les terres vikings, puisqu'il est connu que ceux-ci ont déjà pu atteindre un jour ces contrées et même y laisser leur marque.
Malheureusement, lors d'une violente tempête, il fut éjecté du navire et disparu dans les flots. Je ne l'ai plus jamais revu après ça, et seuls les Dieux savent ce qu'il est devenu. J'étais évidemment particulièrement triste de cette disparition, mais je ne pouvais rien faire pour le faire revenir. Il était perdu en mer, et je savais que si je devrais le revoir un jour, cela arriverait. J'étais persuadé qu'il n'était pas mort. Et je décidais de ne pas me laisser abattre par la perte. J'étais une battante après tout, et j'avais passé bien assez de temps à ses côtés. Et puis ce n'était pas comme si cette perte n'était pas voulue...
C'est ainsi que je découvrais un tout nouveau monde de mon propre chef, jusqu'au jour où je décidais de retourner dans ma chère Europe. Car cette fois-ci, durant mes voyages, j'avais pu sympathiser avec d'autres représentant de ma race, et une femme m'avait proposé de la suivre dans son clan, qu'elle avait quitté le temps d'explorer un peu, promettant de revenir par la suite. J'acceptais de l'accompagner, malgré mon désir de poursuivre mes explorations, pour découvrir une nouvelle famille qui m'accueillit à bras ouvert.
Ce clan de vampire exclusivement féminin s'avéra être un espace où j'en appris plus à mon sujet en une poignée de siècles que je l'avais fait en plus de sept cent ans. Je me découvrit plus sociable que je l'aurais pensé. J'avais toujours été intriguée par mes semblables, évidemment, mais j'ignorais si je pourrais vivre réellement parmi eux. Bien sûr j'avais mes affinités, mais je me trouvais plus confortable que je l'aurais pensé. Et je découvrais en la culture et la science un passe-temps compensant la sédentarité de ce mode de vie.
J'étudiais l'étendu des capacités de mon pouvoir si élémentaire mais à la fois tellement complexe. Je me penchais sur les études de Tesla, de Watt, sur la physique et les lois de ce monde dans son ensemble. Je découvrais que je pouvais sentir et influencer les champs et les ondes électromagnétiques, bien qu'il s'agissait d'une tâche des plus délicates, et pouvant même s'avérer dangereuse, mais qui dans l'ère moderne était un véritable don. Car il est difficile d'imaginer que si je peux me jouer d'un cerveau je ne le pourrais pas d'un téléphone ou d'un ordinateur, ou de n'importe quel appareil fonctionnant à l'électricité et utilisant des circuits pour fonctionner.
Et tout ça avait beau m'intéresser terriblement, il m'arrivais de trouver le temps long, et bien souvent je m'ennuyais. C'était le problème d'être vampire, d'avoir un esprit si vaste et si puissant. Il y avait trop de place, et l'ennui en venait toujours à s'installer, peu importe ce que je faisais. J'aurais pu faire des dizaines de choses en même temps, mon ennui persisterait sans doute.
Je finis par m'y résigner en un sens, bien que je tentais toujours de compenser. J'essayais toujours de nouvelles choses, j'expérimentais, dans tous les sens du terme.
Mais ça ne suffisait pas. Jusqu'au jour où de nouvelles arrivantes s'invitèrent parmi le clan. Deuc vampires, terriblement âgées, puisque la plus jeune avait tout de même plus de mille années d'avances sur moi. Et elle s'appelait Yelena.
Apprendre à la connaître fut un véritable bonheur, et il fallait bien avouer que cela prit énormément de temps. Elle avait une histoire assez lourde, marqué par la perte, et cela se voyait dans son regard, dans la façon dont ses lèvres retombaient après un sourire parfois. Et par Odin, que j'aimais ce sourire. Je m'évertuais à essayait de lui rendre son bonheur pour que jamais elle ne le perde, en toute amitié dans un premier temps. Puis les choses évoluèrent. L'avantage de vivre au sein d'une communauté de femme, c'est que les relations saphiques ne choquent jamais vraiment. Bien au contraire. Notre amour dévoilé, on le célébra, heureuse l'une avec l'autre. Mon sentiment d'ennui disparaissait lorsque j'étais avec elle, et petit à petit il commençait à s'effacer de ma vie, bien qu'encore aujourd'hui je le ressente parfois, lorsqu'elle ne me regarde pas.
C'est une sensation étrange, que je ne saurais expliqué.
Toujours est-il que désormais, les choses commencent à changer. La guerre à venir, la Lune qui décide de punir les êtres éternels que nous sommes... Les événements se précipitent, et je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour ma bien-aimée qui est alors loin de moi. Car c'est bien la seule chose qui puisse me préoccuper réellement, à l'heure actuelle. Je n'avais pas dans l'idée de prendre un parti jusque là à vrai dire, mais maintenant que nous sommes redevenus humains, même si ça ne durera pas... J'avais choisi mon camp, et j'étais prête à reprendre les armes pour aller rejoindre ma belle et la protéger s'il le fallait.
Car à la perdre jamais je ne pourrais me résigner.
Et vous?!
PSEUDONYME • Sylence
AGE IRL • 21 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM • Je fouinais sur les recherches de partenaire sur PRD =)
COMMENTAIRES • C'est application, pas apply, apply est un verbe x_x Désolée x_x Ah et je fais la fiche d'un scenar, so y'ken o/
MOT MAGIQUE (CF REGLEMENT) •
Validée par la fragile EST-CE VOTRE DERNIER MOT ? • WRITE HERE.